Un prisme topographique, également appelé prisme optique, est un dispositif utilisé en topographie pour réfléchir et rediriger un faisceau lumineux émis par un télémètre vers le récepteur. Les géomètres et topographes utilisent ces prismes pour mesurer avec précision des distances et des angles sur le terrain.
Un prisme est un milieu transparent et homogène limité par deux dioptres plans non parallèles qui constituent les faces du prisme ; celles-ci se coupent suivant une droite qui est l'arête du prisme.
Principe de fonctionnement d'un prisme optique
Le principe d'un prisme optique repose sur le principe de réfraction de lumière. Lorsque la lumière passe de l'air au verre d'un prisme optique, le faisceau de la lumière est réfracté, ce qui se passe de nouveau également, lorsqu'elle ressort par l'autre face.
Dans le domaine de la topographie, une polygonale est un cheminement topographique fermé, réalisé en centrage forcé à l'aide d'un tachéomètre, ou d'un théodolite équipé d'un instrument de mesure électronique des longueurs ("IMEL"), voire d'une station totale. Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le.
La constante
C'est une valeur qui est spécifique au modèle de réflecteur. Elle établit une relation entre la distance mesurée et le point de référence du prisme.
Un prisme est un bloc de verre taillé à 5 faces dont 2 sont parallèles. Il sert à décomposer la lumière blanche polychromatique en lumières de plusieurs couleurs par réfraction. Il joue le rôle de monochromateur dans les spectrophotomètres.
Le volume d'un prisme droit est donné par : V = A × h. A est l'aire de la base et h la hauteur du prisme.
2) Station libre
Cette méthode consiste à placer la station sur un point inconnu (point S, sans connaitre ses coordonnées) et de viser au moins 2 points dont nous connaissons les coordonnées (A et B).
Un levé topographique (relevé topographique) est l'ensemble des opérations topographiques destinées à recueillir sur le terrain les éléments nécessaires à l'établissement d'un plan ou d'une carte. Le lever comporte deux phases : l'établissement des canevas géodésiques et le lever de détails.
Mesures indirectes de longueur
L'angle stadimétrique correspondant à l'intervalle des deux fils vaut généralement : α = 1/100, de sorte qu'on obtient la distance stadimétrique Ds par la relation : Ds = l/α = 100 l. Lorsque la visée est horizontale, la distance Dh réduite à l'horizon est égale à Ds.
Isaac Newton (1643-1727) est une des personnalités scientifiques les plus célébrées de la physique.
Les prismes sont utilisés pour le traitement de petites déviations stables qui provoquent une vision double dans la position du regard primaire (regardant droit devant).
En géométrie euclidienne, un cube est un prisme droit dont toutes les faces sont carrées donc égales et superposables. Le cube figure parmi les solides les plus remarquables de l'espace. C'est le seul des cinq solides de Platon ayant exactement 6 faces, 12 arêtes et 8 sommets.
1. Polyèdre constitué par la partie d'une surface prismatique comprise entre deux plans parallèles (appelée surface latérale) et par les polygones sections des deux plans par la surface prismatique (appelés bases) ; volume intérieur à ce polyèdre. (La surface latérale est formée de parallélogrammes.
Un prisme est le solide délimité par cette surface et par deux plans parallèles. Les sections définies par les deux plans parallèles sont appelées les bases du prisme. La distance séparant les deux bases est appelée hauteur du prisme.
La hauteur d'un prisme droit est la distance entre les deux bases. Attention, la face sur laquelle repose le solide n'est pas obligatoirement une des deux bases.
Un tachéomètre est un théodolite (appareil de mesure d'angles horizontaux et verticaux) doté d'un distancemètre pour mesurer les distances. C'est l'appareil traditionnel des Géomètre-Experts.
La topographie est la technique permettant de décrire la configuration du terrain avec tous ses points caractéristiques. Les éléments à recueillir doivent permettre de positionner dans l'espace chacun de ces points dans le but d'en faire une représentation graphique, plan topographique.
La méthode la plus courante est la détermination des points par rayonnement à partir d'une ligne d'opération orientée, mais il est souvent nécessaire de faire appel à d'autres méthodes, comme le levé à équerre optique ou la méthode de la quasi-hauteur, du recoupement ou du rabattement.
La topographie s'appuie sur la géodésie, qui s'occupe de la détermination mathématique de la forme de la Terre (forme et dimensions de la Terre, coordonnées géographiques des points, altitudes, déviations de la verticale...).
Cheminement polygonal
Ce cheminement est dit encadré lorsque les coordonnées de point de départ et d'arrivée sont connues, il est dit en antenne lorsque seule les coordonnées du point de départ sont connues, et fermé lorsque les points de départ et d'arrivée sont confondus.
À partir du trait niveleur séparant les décimètres, il suffit de compter les centimètres, représentés par un carré rouge, noir ou blanc, en partant du bas. Le chiffre lu sur la mire correspond à la hauteur entre le sol et le plan horizontal décrit par le niveau.
L'aire de la base, généralement notée Ab, est la surface occupée par la ou les figures servant de base aux différents solides. L'aire latérale, généralement notée AL, est la surface occupée par les figures qui ne servent pas de bases aux solides.
Par exemple, pour calculer le volume d'un parallélépipède, la formule est : Volume = Longueur x Largeur x Hauteur.
On détermine d'abord l'aire B de sa base en cm2 : B = π × r × r. On en déduit le volume V du cylindre en cm3 : V = B × h.