Sacrifice (moral, spirituel). Offrande à Dieu d'un acte de renoncement, d'une privation en union avec le sacrifice du Christ.
Il ressort de ces différentes désignations que, selon la Bible, le sacrifice est un don fait à Dieu, un don qui prend la forme d'un repas, zèbach, lequel est préparé à son intention en vue de l'honorer, minchah.
Effort volontairement produit, peine volontairement acceptée dans un dessein religieux d'expiation ou d'intercession. 3. Renoncement volontaire à quelque chose, perte qu'on accepte, privation, en particulier sur le plan financier : Faire de grands sacrifices pour ses enfants.
Le sacrifice de bonne odeur est un message, une demande, un apaisement. Il ouvre le dialogue avec la divinité. 7Cette conception de l'odeur comme un médium de communication est d'autant plus importante en Israël, qui postule une absolue transcendance de Dieu.
Sacrifice agréable (à Dieu, aux dieux); sacrifice privé, public, rituel, solennel; sacrifices païens; sacrifice d'animaux; sacrifice d'action de grâces, d'adoration, de communion, de louange; sacrifice expiatoire, propitiatoire; appareil, apprêts, rites du sacrifice; autel, couteau, parfum, sang, viande, victime du ...
Le but du sacrifice est de renvoyer les choses, et surtout les choses les plus sacrées ; de congédier les Dieux qui, sans le sacrifice, pèseraient indéfiniment sur le sacrifiant ; de détourner les dieux, en faisant ce qu'on doit pour eux.
abandon, abnégation, dévouement, renoncement. – Littéraire : renonciation.
Mais cette démarche peut aussi être liée à la recherche d'affection ou d'une meilleure estime de soi. « Auquel cas, le sujet se sacrifie pour inconsciemment obtenir une contrepartie », précise Gene Ricaud-François. Enfin, troisième cas de figure, on fait preuve d'abnégation « afin de donner un sens à sa vie.
La tradition antique est unanime sur un point: les Carthaginois sacrifiaient leurs enfants par le feu pour s'attirer la faveur des dieux. Des recherches récentes remettent en question l'interprétation traditionnelle de ces rites peu compréhensibles aujourd'hui.
Le sacrifice étant un échange, il est un partage. Une des formes est donc le repas sacrificiel où la victime est « sacrifiée » puis consommée de concert entre Hommes et Dieux, chaque partie recevant sa part, différence qui marque la séparation en le Ciel et la Terre mais aussi leur communion.
Renoncer à ses propres besoins et objectifs ne fait que briser l'amour et la relation de couple - en plus de sa propre identité. Les sacrifices ne sont absolument pas des compromis basés sur la communication, mais des renoncements personnels qui peuvent avoir un coût psychologique et vital très élevé.
Le sacrifice signifie donner au Seigneur tout ce qu'il requiert de notre temps, de nos biens terrestres et de notre énergie pour faire avancer son œuvre.
Définition "sacrifice expiatoire"
n.m. Dans l'ancien Testament, sacrifice offert par les Hébreux à Jéhovah et au cours duquel la victime était entièrement consumée.
L'Eucharistie est un sacrifice d'action de grâce au Père, une bénédiction par laquelle l'Église exprime sa reconnaissance à Dieu pour tous ses bienfaits, pour tout ce qu'il a accompli par la création, la rédemption et la sanctification.
Sacrifice de son intérêt personnel, renoncement, au bénéfice des autres. Exemple : Faire preuve d'abnégation au travail, d'abnégation de soi. Étymologie : du latin "abnegatio" (refuser).
Le sacrifice de Mina, le 10 dhul'hijja. 23Le plus important des sacrifices musulmans est celui qui est effectué à Mina, à la Mekke, le 10 dhul'hijja, à l'occasion du pèlerinage. La victime immolée porte alors le nom de hady.
Du latin sacrificium dérivé de sacrificare (« faire sacré, sacrifier »).
Pour Maïmonide ( XII e siècle), la volonté d'Abraham de sacrifier son fils démontre la limite de la capacité humaine à aimer son prochain et craindre Dieu tout à la fois.
Qui profane des personnes, des choses ou des lieux sacrés.
sacrificateur n. Prêtre ou prêtresse qui offrait les sacrifices dans l'Antiquité.
D'une part, le sacrifiant est le yajnapati, le « maître du sacrifice » : c'est pour lui, autour de lui, à ses frais et pour son bénéfice que le dispositif sacrificiel se met en place, et il faut savoir aussi que si les officiants sont habilités, et seuls habilités, à tenir leur partie dans ce dispositif, ils n'exercent ...
Dans la Bible, l'offrande est un acte de reconnaissance à Dieu. À l'époque de Moïse, Dieu a donné certaines prescriptions au peuple d'Israël. Il devait notamment lui apporter une part de sa richesse en guise de reconnaissance pour le pays que Dieu lui a donné pour héritage.
Contrairement aux sacrifices offerts aux dieux olympiens, les holocaustes sont réalisés de nuit, sans vin avec des bêtes noires, offertes tête en bas sur un autel peu élevé.