La waṣla (arabe : وَصْلة, « liaison ») est un signe diacritique de l'alphabet arabe utilisé dans l'écriture de l'arabe classique et de l'arabe standard moderne, ainsi que dans celle du lori et de certains de ses dialectes.
Lettre. Alif de prolongement, ʾalif maqṣūra. La lettre ى ne s'utilise qu'en fin de mot, sa forme qualifiée de « isolée » apparaît derrière une lettre qui ne se lie pas à la suivante. Comme l'alif standard, c'est une lettre de prolongement pour le phonème /a/.
Alif (en arabe : الألف, al-alif, ou simplement ا) est la première lettre de l'alphabet arabe. Elle existe aussi dans l'Alphabet hébreu mais sous le nom d'Aleph et sous une forme plus proche du hiéroglyphe égyptien du taureau (aussi ancêtre de l'Alpha grec et ainsi du "A" latin).
La hamza (en arabe هَمْزَة) est un signe de l'alphabet arabe qui note le « coup de glotte » [ʔ].
Nom commun. Dans l'alphabet arabe, signe diacritique "ـْ" représentant l'absence de voyelle après un graphème, c'est-à-dire une lettre scriptée.
Amine ou Amin (arabe : امين) est un nom propre masculin signifiant "(Quelqu'un de) Sûr". Il peut être employé comme prénom ou comme nom. En phonétique, le [e] final n'est pas prononcé.
L'alphabet arabe est de type abjad (ابجد en arabe), qui note exclusivement les consonnes du système phonologique de la langue arabe. La graphie des lettres est différente selon que la lettre se trouve en début de mot, au milieu ou en fin, voire isolée. Il n'existe pas de majuscule, par exemple en début de phrase.
Comme le « J » du français, mais précédé d'un « D » lui aussi comme celui du français. Ce phonème est donc un phonème complexe, qui se prononce comme « DJ ». Il commence comme « D » et se fini comme « J ».
Concernant la prononciation de la lettre Alif en arabe, il faut savoir qu'elle ne possède pas réellement de son qui lui soit propre. En effet, nous utilisons principalement cette lettre arabe pour prolonger le son de la Fatha, proche du son [a] en français.
De son côté, Alif Lām Mīm serait, à la fois, une abréviation du nom al-Rahman et de plusieurs formules dédiées à Allah, comme « Je suis Allah le Très-Savant »). Pour Suyuti, elle servait à Mahomet pour capter l'attention de l'assemblée à qui il énonçait le Coran.
Définition: Le Tanwine: est l'action d'ajouter une deuxième voyelle à la fin d'un nom, ce redoublement de voyelle nous permet de savoir que le nom est indéfini.
Pour apprendre l'alphabet arabe par cœur, mieux vaut donc s'entraîner à lire et écrire, et relire les signes arabes à voix haute pour en tirer une sorte de mélodie, plus facile à retenir que la simple lecture. Cela constituera un apprentissage ludique, sans avoir l'impression de travailler.
Le terme « Taa Marbouta » correspond dans l'alphabet arabe à la lettre « ة », qui est la désinence du féminin (en particulier pour les adjectifs). Le logo de la campagne représente cette lettre, avec une calligraphie qui ressemble à deux bras liés.
Les premières inscriptions en alphabet arabe, d'époque préislamique, ont été retrouvées en Syrie et de Jordanie et datent du Ve siècle. Elles furent réalisées sous la dynastie des Ghassanides, bien que ceux-ci aient utilisé la langue grecque dans des contextes officiels.
Il s'écrit avec un "3". Ce son ressemble à un "a" prolongé mais qui se forme dans la gorge. C'est le son produit quand vous retirez l'arrière de votre langue vers votre gorge. Pour ne pas la confondre avec d'autres lettres, elle s'écrit souvent avec un "3".
Liste des chiffres arabes : 1 – ١ wahid (واحد) · 2 – ٢ ithnan (إثنان) · 3 – ٣ thalatha (ثلاثة) · 4 – ٤...
Par exemple, le chiffre 7 se dit سَبْعة (sab'ah) et le nombre 17 se dit donc سَبْعةَ عَشَر (sab'ata 'ashar). Comme le veut le sens de lecture arabe droite gauche.
Par ailleurs, six lettres (و ز ر ذ د ا) ne s'attachent jamais à la lettre suivante, de sorte qu'un mot peut être entrecoupé d'une ou plusieurs espaces.
Les notions de lettre majuscule et lettre minuscule n'existent pas en arabe : l'écriture est monocamérale.
Étymologie. De l'arabe ما شاء الله , mā šāʾAllāh (« Dieu l'a voulu »), composé de ما , ma (« que »), شاء , sha (« vouloir ») et الله , Allāh (« Dieu ») → voir Mashalla et Allah.
Interjection. Formule par laquelle les musulmans expriment leur gratitude à Dieu, leur satisfaction d'un évènement ou d'une affaire qui tourne bien.
Ce terme est utilisé par la plupart des musulmans. Les musulmans estiment souhaitable (mustahabb) de prononcer cette formule quand ils évoquent une action à réaliser dans l'avenir.
En effet, on note une ressemblance indéniable entre le chiffre et la lettre de l'alphabet arabe qu'il remplace : 3 pour le 'ayn (ع) et 7 pour le ḥā (ح), par exemple.