Procédé de style par lequel on revient en arrière dans un récit. Exemple : Afin de faire le jour sur le passé du protagoniste et d'expliquer ainsi son profil psychologique particulier, l'auteur a eu recours à différentes analepses.
(Littéraire) Retour en arrière dans une ligne narratrice. L'analepse sert à éclairer le passé des personnages et, ce faisant, justifier la psychologie des personnages.
L'analepse fonctionne de la même façon, un stimulus doit entraîner le retour en arrière. Le personnage va alors se remémorer un épisode de son passé, ou en discuter avec quelqu'un. Puis, un autre élément va le ramener dans le présent, et l'ellipse temporelle sera close.
Définition : L'analepse et la prolepse sont des figures de style. La première est un retour en arrière, un flashback, un récit d'un événement qui a eu lieu dans le passé. La seconde est une anticipation, une prévision, un flashforward, qui permet de voir ce qui arrivera plus tard.
en syntaxe, il s'agit d'une expression anticipée, dans le COD de la principale, du sujet de la subordonnée comme dans « Regarde cette auto, comme elle est belle ». en rhétorique, la prolepse est une figure par laquelle on prévient une objection, en la refusant d'avance comme dans « Cela serait trop long à expliquer ».
Leur place de prédilection diffère selon qu'il s'agit de structures dans lesquelles le segment proleptique est placé à l'initiale ou à la finale de l'énoncé : les unes apparaîtront en début de scène, voire au début de la pièce, et particulièrement dans les parties narratives ; les autres se trouveront en fin de scène.
Une prolepse est une anticipation des événements. Elle évoque des événements bien postérieurs à la narration. Lorsque le narrateur évoque le mariage d'un couple qui vient à peine de se rencontrer, il réalise une prolepse.
L'analepse – nom féminin (du grec ancien ἀνάληψις / análipsis) ou retour en arrière, dans un récit enchâssant, est une figure de style. Elle correspond à un retour en arrière, au récit d'une action qui appartient au passé.
En narratologie, une « ellipse temporelle », également appelée « ellipse narrative » consiste à passer sous silence une période, c'est-à-dire à ne pas en raconter les événements. Il s'agit donc d'une accélération du récit.
L'épanadiplose est également une figure de narration utilisée dans de nombreux genres littéraires ; elle est alors nommée « épanadiplose narrative ». Il s'agit de la reprise d'une scène initiale ou d'un motif initial (dans l'incipit) à la fin (ou clausule) de l'intrigue.
Dénouement ou élément de résolution : il met un terme aux actions et conduit à la situation finale. Situation finale ou explicit : c'est le résultat, la fin du récit qui redevient stable.
L'incipit d'une œuvre romanesque constitue un enjeu majeur du pacte de lecture : il a pour fonction de programmer la suite du texte, en définissant le genre, le point de vue adopté par le narrateur, les personnages, etc. , mais surtout, il doit donner envie de lire la suite.
Dans le récit au passé, le lecteur est plus passif, moins incité à participer à l'action. Mais en écrivant au passé, l'auteur prend du recul sur son histoire et peut partager de profondes rélexions à partir de son expérience de vie. Il peut tirer des leçons qu'il partagera avec le lecteur.
Les narrateurs personnages sont parfois appelés narrateurs présents. Les narrateurs personnages font partie de l'histoire. Ils la racontent donc principalement à la 1re personne et ne peuvent partager avec certitude que ce qu'ils perçoivent et ressentent.
Les analepses
Les retours en arrière qui s'intègrent à la narration, et qui correspondent aux flashbacks du cinéma, sont appelés des analepses. Le retour en arrière sert généralement à expliquer une situation dans laquelle se trouve un personnage.
Son équivalent littéraire est l'analepse.
L'ellipse est une figure de style d'omission. Elle consiste à effacer un ou plusieurs mots d'une phrase ou d'un vers sans en modifier le sens pour créer un effet. On retrouve cette figure de style dans différents types de textes. « T'avais qu'à revenir avant.
L'épilogue ne se conçoit donc guère comme une partie intégrante d'un ouvrage, discours, roman ou pièce de théâtre, et ne peut se confondre avec la péroraison, la conclusion ou le dénouement.
Une ellipse narrative permet au narrateur de passer volontairement sous silence certains épisodes de l'histoire. En grammaire, une ellipse désigne la disparition d'un mot ou d'un groupe de mots. En rhétorique, l'ellipse est une figure microstructurale de construction.
Peut-on écrire un roman à partir d'une phrase, la première ? L'incipit, c'est la première phrase d'un livre, celle qui peut inciter le chaland-lecteur à s'arrêter pour en savoir plus.
1. Procédé syntaxique consistant à placer dans la principale un terme qui devrait se trouver dans la subordonnée (par exemple la phrase Tu as vu ce type comme il est grand). 2. Figure qui consiste à réfuter à l'avance une objection possible.
On emploie alors la narration pour décrire, expliquer ou commenter certains éléments de l'histoire. Elle ne sert plus à faire avancer l'histoire. Elle me lança un regard noir.
proleptique ex. de Suhamy. 2. Figure de rhétorique par laquelle on anticipe les objections de ses adversaires en les réfutant à l'avance.