La valeur d'un ton désigne son degré d'intensité par rapport à la lumière ou à l'ombre. En peinture, on peut obtenir une même valeur à partir de tous les tons. Pour chaque ton, il existe une échelle de valeurs que l'on utilise dans les dégradés, allant du sombre au clair.
VALEUR La valeur d'une couleur désigne son degré de clarté ou d'obscurité. Le noir et le blanc sont ses limites. Le nombre des valeurs est infini entre ces deux limites. Le jaune est la couleur dont la valeur est la plus claire.
Le terme « valeur », imprégné de la pratique artistique, exprime la force, l'évidence relative d'une plage de couleur dans un tableau, le « relief, force, intensité d'une partie […] comparativement aux autres parties » d'une peinture, l'« intensité relative des teintes ou des tons » dans un dessin.
Les valeurs sont les différentes nuances de gris que l'on obtient en faisant varier à la fois la densité des lignes dessinées, mais aussi la pression utilisée quand vous tenez votre crayon. Les valeurs peuvent transformer un dessin plat en un dessin d'objet en trois dimensions, en accentuant les reliefs et les formes.
Plusieurs valeurs humaines sont importantes pour avoir une société humaine harmonieuse. Parmi ces valeurs, on peut citer dix qui sont les plus importantes, il s'agit du respect, de l'amour, de la liberté, de la paix, de la justice, de l'équité, de la tolérance, de la responsabilité, de l'honnêteté et de la loyauté.
La valeur artistique peut se définir comme la plus-value immatérielle due à l'intervention d'artistes ou d'artisans renommés dans la construction d'ouvrages ou de part d'ouvrages, conçus comme une œuvre d'art, ayant acquis une valeur de renom ou promus au rang d'œuvre d'art en fonction de la qualité de leur réalisation ...
le noir et le blanc sont considérés ou non comme des « couleurs » selon la discipline qui en parle : imprimerie, photographie, physique, peinture, théorie de la perception. Dans le langage courant, elles sont appelées « non-couleurs ».
Le terme monochrome signifie « qui est d'une seule couleur », du grec : mono qui signifie « seul », et chroma, la couleur.
SPECTATEUR, -TRICE, subst.
Les couleurs pures sont plus visibles que des variations dégradées. Le ton est le degré de clarté ou d'obscurité d'une couleur, soit son équivalant de la valeur lorsque l'on parle du Noir/ Blanc.
REGARDEUR : Définition de REGARDEUR.
Téléspectateur : Définition simple et facile du dictionnaire.
Galeriste : Définition simple et facile du dictionnaire.
Non, les couleurs n'existent pas. La couleur d'un objet n'est que l'interprétation par notre cerveau du signal lumineux émis ou réfléchi par ce dernier. C'est pour cette raison que, sans lumière, c'est le noir total.
Le noir est l'absence de lumière. Contrairement au blanc et aux autres teintes, le noir pur existe dans la nature en l'absence totale de lumière. Certains considèrent que le blanc est une couleur, car la lumière blanche réunit toutes les nuances du spectre visible.
Le blanc et le noir ne sont des couleurs que selon la définition de la couleur que l'on considère. En termes de longueur d'onde donc, le blanc et le noir ne sont pas des couleurs (mais alors le magenta, le marron, le rose, le gris… non plus). Le blanc est un mélange de couleurs, et le noir en est l'absence.
En peinture, la couleur rose est obtenue en mélangeant du blanc et du rouge : il s'agit donc d'un « rouge pâle ». D'autres couleurs sont ensuite ajoutées au mélange pour obtenir différents roses. Par exemple, le rose pâle est obtenu en ajoutant une pointe de noir au blanc et au rouge.
Le blanc évoque essentiellement des valeurs positives, telles que la pureté, l'équilibre et l'innocence. Ce n'est pas pour rien que depuis des générations, le blanc est omniprésent lors d'un mariage. Il se prête aisément à tous les contextes, il se marie parfaitement avec toutes les couleurs.
Il existe trois couleurs de base en peinture et autres arts visuels: le rouge, le bleu et le jaune. Elles sont également appelées couleurs primaires car elles ne peuvent pas être créés à partir d'autres couleurs.
On peut attribuer la valeur d'un objet de 3 façons : par la cote (mesure chiffrée), par l'évaluation (recherche, opinion) et par l'attachement (héritage, collection). Avant de pouvoir répondre à la question de savoir ce qui fait la valeur d'une œuvre, il faut se demander de quelle valeur on parle.
Comme pour la vente d'une maison, la valeur réelle d'une œuvre, c'est-à-dire sa juste valeur marchande, sera évaluée selon plusieurs critères comme la taille — à l'image de la superficie d'une maison —, le style de l'œuvre ou la réputation d'un artiste — comme des quartiers qui sont plus prisés que d'autres.
C'est donc dans une expérience singulière que l'objet révèle sa valeur. C'est cette singularité de l'expérience, celle par exemple du pêcheur qui dans la boîte de sardines voit un Graal, qui dématérialise définitivement l'objet et lui donne sa face réelle, impossible.
Le cerveau commence par redresser l'image, puis se sert des couleurs perçues dans la zone de la Fovéa pour simuler celles non perçues. Il va ensuite donner l'impression de la netteté – notamment en périphérie alors que l'œil voit plutôt mal sur les côtés.