On trouve les premières traces de l'objet à Constantinople, vers 350, puis au XIe siècle, à Venise, dans la dot d'une princesse byzantine. En France, c'est Catherine de Médicis qui en apporte dans ses bagages, en 1533, et fait connaître la fourchette – en or – à la cour.
La légende veut qu'en France, elle ait été instaurée par Henri III en 1574, juste après son voyage à Venise.
C'est en 2007 que Bertrand Jelensperger co-fonde lafourchette.com, en s'orientant vers le marché de la restauration que lui et son associé connaissent déjà, et en suivant un mouvement qui cartonne aux États-Unis avec OpenTable : la réservation de restaurants en ligne.
Les fourchettes actuelles seraient apparues dans l'Empire byzantin. Elles ont été introduites en Italie du Nord au milieu du XIe siècle quand la princesse byzantine Théodora Doukas épousa le doge de Venise Domenico Selvo. En Italie, cet ustensile était à l'origine réservé à la consommation des pâtes.
En fait, la première preuve documentée de cuillères en Angleterre remonte à 1259. Elle a été comptée comme un élément de l'itinéraire de la garde-robe du roi Édouard Ier.
Ce drôle de couvert permettait de manger sans se tâcher, ce qui en faisait un atout majeur ! Elle s'est progressivement imposée en France pour finalement devenir un usage commun à la fin du XVIIe siècle. C'est d'ailleurs à ce moment-là qu'elle évolue, en passant de deux à quatre dents.
Elle tient d'ailleurs son nom de l'italien forcheta qui signifie petite fourche. Elle se répand ensuite dans toute l'Europe et entre à la Cour de France avec Catherine de Médicis. Son usage étant alors strictement limité à la seule consommation de poires cuites …
Traditionnellement écrit cuiller, ce mot est issu du latin cochlearium (sens identique), dérivé de cochlear (« cuiller »), de cochlea (« escargot »).
Comme la fourchette était un ustensile d'assistance au couteau et que ce dernier était déjà fermement tenu dans la main droite, les gens étaient obligés de diriger la fourchette avec leur main gauche. C'est pour cette raison que la fourchette était alors posée sur le côté gauche de l'assiette.
La fourchette à poisson se différencie des autres fourchettes notamment par le nombre de dents qu'elle possède, et par ses lignes particulières. Nous pourrons constater que la fourchette à poisson possède seulement trois dents et qu'elle est dotée de contours arrondis à la différence d'une fourchette classique.
Le site français de réservation de restaurant La Fourchette change de nom pour The Fork suite à son rachat par l'américain Tripadvisor. Ne l'appelez plus LaFourchette mais TheFork. Le site français de réservation de restaurant créé en 2006 par Bertrand Jelensperger a décidé de traduire son nom originel en anglais.
Si, à la table du roi de France Louis XIV, au XVII e siècle, chaque personne avait une fourchette à la gauche de son assiette, on ne l'utilisait pas, car le roi préférait manger avec les doigts qu'il posait sur une serviette humide entre chaque plat.
1. Ustensile de table dont le manche se termine par des dents, et qui sert à prendre la nourriture. 2. Écart entre deux valeurs, deux possibilités extrêmes, deux niveaux, deux positions : Une fourchette de prix.
Lorsqu'on place cet ensemble pour dresser une table, on dit habituellement que l'on met le «couvert». Un terme né sur les grandes tablées des seigneurs du Moyen Age. Car, à cette époque, les plats étaient réellement recouverts d'une cloche pour éviter qu'ils ne refroidissent avant d'être servis aux invités.
Les avantages des couverts en argent
Les couverts en argent apportent beaucoup d'élégance à une table. Ils permettent d'impressionner les invités en leur servant des repas avec raffinement. Le charme qu'ils dégagent fait d'eux des objets privilégiés lors des occasions spéciales.
En cas d'évènement festif en soirée dont le repas est composé de plusieurs plats, les couverts disposés indiquent aux convives avant même le début du repas que plusieurs plats seront servis. De cette manière, vos convives s'attendent dès l'entrée et le plat de résistance à un dessert.
Si l'origine de cette croyance populaire reste plutôt inconnue, croiser les couteaux attiserait les querelles et les disputes. Et pour cause, cette superstition est équivalente à celle de "croiser le fer". Au Moyen Âge, les hommes réglaient leurs conflits en se battant en duel avec des épées.
On prend la fourchette dans la main gauche pour piquer les aliments et le couteau dans la main droite, mais si l'on n'a pas besoin du couteau, la fourchette passe dans la main droite.
En France, pour certains mets – les cuisses de grenouille par exemple –, on utilise les doigts. Cette carte représente les pays dans lesquels on utilise ses mains pour manger. La couleur diffère selon que l'on utilise simplement ses doigts, ou des ustensiles en plus, comme souvent une cuillère.
On trouve les premières traces de l'objet à Constantinople, vers 350, puis au XIe siècle, à Venise, dans la dot d'une princesse byzantine. En France, c'est Catherine de Médicis qui en apporte dans ses bagages, en 1533, et fait connaître la fourchette – en or – à la cour.
Les petits gâteaux secs n'ont pas toujours été une gourmandise du goûter. Le terme «biscuit» a en effet pour origine un mode de préparation employé avant les longues traversées en mer, au Moyen Age. Il est formé de «bis» et de «cuit», soit «cuit deux fois».
Le mot boudoir vient de bouder qui signifie se mettre à l'écart.
Les premier couverts à paraître furent le couteau et la louche. En effet, le couteau date de la Préhistoire avec l'invention des silexs ; et la louche, aussi nommée cuillère à pot, est apparue au XIIIe siècle, et était fabriquée auparavant, en bronze gaulois.
Une habitude dont l'origine remonte au Moyen Age, pour une raison pratique. A cette époque, les commerçants utilisaient fréquemment le chiffre 12 comme base de calcul. Il s'agit en effet du nombre de phalanges que l'on peut compter avec le pouce sur les quatre autres doigts de la main.
- Les couverts à poisson sont toujours très appréciés aujourd'hui, par leur forme élégante et très caractéristique. Le couteau à poisson n'a pas vocation à couper, mais uniquement à séparer délicatement la chair tendre du poisson.