Dans un discours qu'il prononce le 5 juin 1947 à l'université Harvard de Cambridge (Massachusetts), le secrétaire d'État américain, George C. Marshall, propose à tous les pays d'Europe une assistance économique et financière conditionnée par une coopération européenne plus étroite.
En 1947, les États-Unis lancent le plan Marshall pour aider à la reconstruction de l'Europe. Pas moins de 16 pays ont ainsi reçu une aide économique, ce qui a fait du plan Marshall pendant la guerre froide une véritable réussite.
5 juin 1947 - Le plan Marshall - Herodote.net.
Un marshal, ou US marshal, officier de l'United States Marshals Service, une agence de police fédérale du département de la Justice des États-Unis chargée de la protection des tribunaux, des juges et des témoins mais aussi de la recherche de fugitifs.
Marshall, présente les principaux éléments de ce qui va devenir le plan Marshall. Celui-ci a pour objectif de stimuler le redressement économique de l'Europe après la Deuxième Guerre mondiale et de contribuer à freiner la menace posée par l'expansionnisme communiste.
Le plan Marshall a été rejeté par l'Union soviétique et les pays du futur bloc de l'Est. Staline craignait que le plan Marshall ne serve à conquérir le glacis de sécurité de l'URSS. L'URSS exerce en conséquence des pressions contre les pays qu'elle occupe et qui avaient montré leur intérêt.
La guerre froide prend fin avec la disparition de l'un des principaux protagonistes, et laisse la place à une unique super-puissance : les Etats-Unis, pour un nouvel ordre mondial.
Le plan Marshall lancé par les Américains, permet en partie à l'Etat de financer la reconstruction du pays. Les travaux sont confiés à de grands architectes, par Raoul Dautry, ministre de la Reconstruction et de l'Urbanisme.
À ce titre, la France reçoit 2815,3 millions de dollars. En contrepartie de l'aide Marshall, les États-Unis attendent de l'Europe qu'elle accomplisse un effort de coopération. L'OECE, qui survit au plan Marshall, favorise la création de nombreuses institutions européennes.
Les indemnités versées aux particuliers, entreprises, collectivités locales et associations pour la réparation des dommages de guerre qu'ils ont subis, sont souvent nécessaires. Mais, elles sont plus facilement financées lorsque l'Etat a été victorieux et reçoit le versement d'une indemnité.
L'État français s'inspire des principes inscrits dans la loi du 17 avril 1919 (dite « Charte des sinistrés ») et de l'organisation administrative antérieure pour créer, par la loi du 11 octobre 1940, le Commissariat technique à la Reconstruction immobilière, en charge de l'indemnisation des sinistrés.
Assassinat à Sarajevo
La cause immédiate de la Première Guerre mondiale fut l'assassinat de l'héritier du trône d'Autriche, l'archiduc Franz Ferdinand, le 28 juin 1914 à Sarajevo. L'assassin était Gavrilo Princip, membre de la société de la Main Noire.
Le 25 décembre 2021 marque le 30ème anniversaire de la dissolution de l'Union des républiques socialistes soviétiques (URSS). Souvent réduite à la seule présidence de Mikhaïl Gorbatchev, elle résulte en fait d'un processus de désintégration politique, économique et ethnique interne.
À la fin de l'année 1947, Kaganovitch fut rappelé à Moscou et Khrouchtchev retrouva son poste de chef du Parti.
Deux pays se partagent presque la moitié des fonds du plan Marshall. Il s'agit de la Grande-Bretagne, première bénéficiaire, qui reçoit 26% du total des aides et de la France se positionne au deuxième rang avec 23%.
Finalement, seize pays s'empressent d'accepter le plan Marshall : Autriche, Belgique, Danemark (avec les îles Féroé et le Groenland), France, Grèce, Irlande, Islande, Italie (et San Marin), Luxembourg, Norvège, Pays-Bas, Portugal (avec Madère et les Açores), Royaume-Uni, Suède, Suisse (avec le Liechtenstein) et Turquie ...
Unification de l'Europe, mais division en deux camps, indépendance de l'Europe mais interdépendance inégale, prospérité et paix mais logique de guerre froide : le plan Marshall manifeste les contradictions d'un monde bipolaire.
La réponse la plus évidente est le retour de la grande Russie. Le maître du Kremlin veut rétablir une zone de protection autour de son pays et cela passe par une zone d'influence sur les pays de l'ex-URSS dont l'Ukraine faisait partie mais qui a pris son indépendance en 1991 (90 % des Ukrainiens ont voté en ce sens).
Vladimir Poutine, le président russe, s'est justifié en expliquant que son armée devait défendre deux régions dans l'est de l'Ukraine, les républiques de Donetsk et de Lougansk, dans le Donbass. Il calomnie le gouvernement ukrainien en l'accusant d'y commettre un “génocide”. Ces régions sont favorables à la Russie.
Sous le nom de code « Opération Barbarossa », l'Allemagne nazie envahit l'Union soviétique le 22 juin 1941. Ce fut la plus grande opération militaire allemande de la Seconde Guerre mondiale.
Ainsi, selon le think tank Institute for Economics and Peace, auteur du classement depuis dix ans, seuls le Botswana, le Chili, le Costa Rica, le Japon, l'île Maurice, le Panama, le Qatar, la Suisse, l'Uruguay et le Vietnam vivent en totale paix.
Une explication plus simple est que la conquête de la Suisse n'aurait guère apporté d'avantages stratégiques, alors qu'une longue et coûteuse guerre des montagnes aurait pu s'ensuivre. Bien que la Wehrmacht ait simulé des manœuvres contre la Suisse dans ses offensives, elle n'a jamais tenté d'envahir.
Indemnité de guerre de la Seconde Guerre mondiale
Après la Seconde Guerre mondiale, selon la Conférence de Potsdam tenue du 17 juillet au 2 août 1945 , l'Allemagne dut payer aux Alliés 20 milliards de reichsmarks, soit environ 315 millions USD, surtout en termes de machines et d'usines.
Non, il n'existe pas d'assurance spécifique pour se protéger du risque de guerre. En revanche, vous pouvez vous prémunir d'un tel risque en souscrivant une assurance vie par exemple, cela vous permettra de compenser en partie les dégâts causés en temps de guerre dans votre logement.