L'article « Rutherford, transmutation and the proton » relate les événements historiques qui ont mené à la découverte du proton, publiée en 1919 par Ernest Rutherford.
Il n'est pas étonnant que ce soit au laboratoire de Cambridge, dirigé par Ernest Rutherford que le neutron ait été découvert. Depuis 1920, Rutherford, en effet, avait émis l'hypothèse de l'existence du neutron comme une association proton-électron.
On l'attribue à Empédocle, Démocrite, Leucippe, puis Épicure.
Ernest Rutherford était un physicien et chimiste néo-zélandais qui, lors de ses recherches sur l'uranium, a découvert l'émission de rayons alpha et bêta. Cette découverte a apporté une contribution majeure à la théorie atomique moderne.
La découverte du noyau : l'expérience de Rutherford-Geiger-Mardsen. L'existence du noyau postulé par Hantarō Nagaoka fût confirmée en 1909 par l'expérience de Rutherford-Geiger-Marsden., réalisée par deux expérimentateurs, Hans Geiger et Ernest Marsden, sous la direction d'Ernest Rutherford.
Niels Bohr (1885-1962).
Conçu vers la fin du XIXe siècle, le tube cathodique permit à Joseph John Thomson de découvrir l'électron, cette particule qui compose l'atome avec le neutron et le proton. Retour en vidéo sur cette découverte qui bouleversa le monde de la connaissance scientifique.
Cette théorie présente l'atome comme un noyau autour duquel gravitent des électrons, qui déterminent les propriétés chimiques de l'atome. Les électrons ont la possibilité de passer d'une couche à une autre, émettant un quantum d'énergie, le photon. Cette théorie est à la base de la mécanique quantique.
Le modèle atomique de Thomson consistait en de multiples électrons chargés négativement baignant dans une "soupe" de charge positive. L'expérience de la feuille d'or de Rutherford montra que les atomes sont principalement composés d'espace vide, avec en leur centre un minuscule noyau chargé positivement.
Rutherford imagina alors un atome constitué d'un noyau chargé positivement et contenant la majorité de la masse de l'atome, et séparé par du vide, des électrons tournant autour comme des planètes autour d'une étoile. C'est le modèle planétaire de l'atome.
Mais, c'est un autre philosophe grec, DEMOCRITE, qui suppose au IVème siècle av. J. -C. l'idée de particules invisibles et indivisibles, les « atomes » mot qui veut dire en grec « indivisible ».
L'oganesson, l'élément le plus lourd du tableau périodique
Aujourd'hui, c'est l'oganesson, de numéro atomique 118, qui est officiellement l'élément chimique le plus lourd du tableau périodique. Synthétisé en 2002, il est très instable et se désintègre en moins d'une milliseconde.
Le concept de molécule, sous sa forme actuelle, a été présenté la première fois en 1811 par Avogadro, qui a su surmonter la confusion faite à cette époque entre atomes et molécules, en raison des lois des proportions définies et multiples de John Dalton (1803-1808).
En novembre 1945, l'Académie Nobel attribua le prix de chimie à Otto Hahn pour la « découverte de la fission des noyaux lourds », découverte faite en décembre 1938 à Berlin. Or le prix Nobel aurait dû être attribué conjointement à Lise Meitner, avec laquelle Hahn avait travaillé pendant plus de 30 ans à Berlin.
WEINBERG STEVEN (1933-2021)
L'image donnée par Bohr est totalement fausse de nos jours car elle maintient la notion d'électron localisé sur une orbite dans un atome presque vide, alors que l'électron est sous forme d'onde entourant le noyau et remplissant l'espace disponible.
Le modèle fut invalidé par l'expérience de la feuille d'or de 1909, qui fut interprétée par Ernest Rutherford en 1911 comme montrant l'existence d'un très petit noyau dans l'atome de charge positive très élevée (assez pour contrebalancer les 79 charges négatives des électrons), ce qui le conduisit par la suite à ...
Aristote affirme que la matière est divisible à l'infini, contrairement à ce que disait Démocrite, qui pense qu'il existe des particules indivisibles, les atomes. Aristote pense aussi que la matière est constituée de quatre éléments : la terre, le feu, l'air et l'eau.
Le modèle atomique de Bohr (1913) est une étape marquante dans la création de la mécanique quantique. Dans le modèle de l'atome établi par Rutherford, celui-ci est constitué d'électrons tournant autour d'un noyau chargé, composé de protons.
Mais alors, pourquoi l'électron ne tombe-t-il pas sur le noyau? Parce que l'électron est en mouvement: la force centrifuge qui en résulte compense exactement la force d'attraction électrique. Au delà de cette orbite, l'électron n'est plus lié à l'atome: il est libre.
Il existe un effet inverse appelé Effet Bohr qui a lieu principalement au niveau des muscles où l'augmentation de la pression partielle en CO2 et la baisse du pH induit une perte d'affinité pour l'O2 ce qui entraîne donc la libération de l'oxygène au niveau du muscle.
Le nom « ion » a été donné en 1834 par Michael Faraday, pour désigner les espèces chimiques responsables de la conductivité électrique dans les solutions. Faraday voulait expliquer le transport du courant dans les solutions d'électrolytes.
Les électrons ont été découverts en 1899 par le physicien britannique Sir Joseph John Thomson, découverte couronnée en 1906 par le prix Nobel de Physique.
La découverte de l'atome. 450 avant JC : l'idée atomique est née sur les bords de la mer Egee, iI y a presque 2 500 ans. Le philosophe grec Leucippe et son disciple Démocrite ont, les premiers, suggéré que toute matière était composée de particules infimes et invisibles à l'œil nu.