Saül fait donc des guerres « justes ». Mais bientôt il va désobéir, et accepter que certains profitent du combat pour leur avantage personnel. Les hommes de l'ancien testament pensaient que Dieu punissait et voulait la mort !
En effet, la désobéissance civile est souvent punie avec une sévérité disproportionnée par rapport au préjudice social produit par l'action de désobéissance : on impose des peines équivalentes à celles associées à des conduites considérées comme plus nuisibles et plus graves, et même avec des conduites constituant d' ...
Ainsi, la tradition attribue la rédaction du Pentateuque à Moïse ; les livres de Josué, des Juges et de Samuel sont alors considérés comme des archives sacrées recueillies par le prophète Samuel ; Jérémie est vu comme l'auteur des premier et deuxième livre des Rois, David comme celui des Psaumes, et Salomon comme celui ...
La notion d'obéissance, y compris à la parole de Dieu, est toujours liée à la liberté. L'obéissance engage le chrétien à s'ouvrir à la volonté de Dieu, elle est un acte de foi qui incite à rechercher la volonté de Dieu dans les événements et les défis de la vie.
L'obéissance de l'élève à son maître, sa docilité, est comme l'épisode annoncé et préparé de la docilité de l'âme irrationnelle à l'âme rationnelle ; l'obéissance à un maître est une relation intersubjective d'assujettissement qui ouvre la possibilité à l'assujettissement intra-subjectif de l'appétit à la raison.
La règle majoritaire a ses vertus et ses limites, elle ne garantit pas un idéal de justice. «Renoncer à la désobéissance c'est mettre la conscience en prison» aurait en substance dit Gandhi. Il faut donc considérer la désobéissance comme possible, par principe, au nom de la liberté.
flanquer, donner ("administrer une correction", "administrer un coup"...)
Il vaut mieux obéir aux commandements par peur d'être punis que de ne pas obéir du tout. Mais nous serons beaucoup plus heureux si nous obéissons à Dieu parce que nous l'aimons et voulons le faire. Si nous lui obéissons librement, il peut nous bénir libéralement. Il a dit : « Moi, le Seigneur, je…
Les règles édictées doivent être logiques.
Faire obéir un enfant passe également par les rituels. Exemple : il va à la douche, se met en pyjama, dîne puis va se coucher. Il est également important que les parents aient chacun le même discours, les mêmes règles.
On peut désobéir en refusant de s'habituer, de s'accommoder à l'obéissance. On peut désobéir en cessant d'avoir peur (du chaos, du jugement des autres, de l'ostracisation, des conséquences…). On peut désobéir en cessant d'être zélé, de surobéir, de servir le/les tyrans, les autorités aliénantes.
[JOHANNA LEGUERRE - AFP] Au XVe siècle, lorsque Gutenberg imprime la Bible, les autorités religieuses affirment que c'est Dieu lui-même qui a dicté les textes à des prophètes, à commencer par Moïse pour le Pentateuque, soit les cinq premiers rouleaux de l'Ancien Testament qui correspond à la Torah juive.
Histoire. Le plus vieux texte religieux connu est l'hymne au temple de Kesh (en), tablette d'argile sumérienne qui date de 2600 av. J.C. Le Rig-Véda, collection d'hymnes de l'Inde antique composés en sanskrit védique entre 1500 et 900 av.
Un agent public peut-il désobéir ? L'obligation d'obéissance peut cesser dans les situations suivantes : L'ordre donné est manifestement illégal et risque de compromettre gravement l'intérêt public (par exemple, un ordre visant à accorder ou refuser une prestation pour des motifs discriminatoires)
On juge raisonnable de désobéir aux lois lorsque celles-ci vont à l'encontre de l'intérêt de tous. Il s'agit donc de bien distinguer l'intérêt particulier de l'intérêt commun, afin d'agir pour le bien de tous, et non pas pour son propre bien qui s'accorde rarement avec celui des autres.
La paternité du terme est attribuée en général au philosophe américain Henry David Thoreau, qui l'a conceptualisée dans un essai du même nom : La désobéissance civile, paru en 1849.
Le manque de respect au travail peut être lié à des émotions comme la colère, la tristesse, mais également la joie ou la peur. En effet, la colère conduit une personne à ne pas se sentir respectée. La tristesse traduit un état de manque.
Il semble plutôt que c'est la confrontation des apports empiriques de l'une et l'autre de ces approches qui le conduiront à émettre l'hypothèse que c'est la situation qui engendre l'obéissance parce qu'elle à la faculté de produire un état de déresponsabilisation de l'acteur aux commandes.
Action ou habitude d'obéir, de faire ce qui est commandé : L'obéissance des enfants à leurs parents.
En effet, il est nécessaire de respecter les lois et les décisions de justice. C'est ce respect qui est au fondement de tout système juridique, de tout droit. De sorte que toute remise en question de ce principe risque de produire la ruine de la cité, de l'harmonie sociale et politique.
Se soumettre à la volonté de quelqu'un, à un règlement, exécuter un ordre : Obéir à ses parents, à la loi. 2. Céder à une incitation, un sentiment, etc. : Obéir à ses instincts.
Se faire obéir, c'est fixer des limites, établir des règles et les faire respecter. Parfois, cela signifie également mettre ses enfants en sécurité. L'obéissance des enfants permet de leur faire comprendre la présence d'une hiérarchie dans la société.