Le ministre des finances français de l'époque, Louis-Lucien Klotz (1868-1930), chargé de négocier les réparations de guerre, trouve une solution toute simple au problème de la dette française : "L'Allemagne paiera." L'expression fera florès.
Ainsi entre 1990 et 2010, presque 200 millions d'euros sont payés et le 3 octobre 2010 , l'Allemagne règle sa dernière dette de paiement de 69,9 millions d'euros.
Les réparations allemandes de la Seconde Guerre mondiale sont les indemnités de guerre que furent contraintes de payer l'Allemagne de l'Ouest et l'Allemagne de l'Est aux gouvernements alliés à l'issue de ce conflit, selon la conférence de Potsdam.
Alors, pourquoi la défaite allemande ? Parce que le pays ne tient plus : plus assez de fer pour les obus, plus assez de pain pour nourrir la population, plus assez d'hommes pour remplacer ceux qui sont tombés, de main-d'œuvre, d'argent… l'Allemagne est au bout du rouleau.
Des réparations de 269 milliards de Reich marks, imposées par le traité de Versailles en 1919, avaient lourdement pesé sur les gouvernements allemands de la République de Weimar dans les années 1920, et avaient contribué à la venue au pouvoir d'Hitler en 1933.
L'État français s'inspire des principes inscrits dans la loi du 17 avril 1919 (dite « Charte des sinistrés ») et de l'organisation administrative antérieure pour créer, par la loi du 11 octobre 1940, le Commissariat technique à la Reconstruction immobilière, en charge de l'indemnisation des sinistrés.
susceptibles d'être indemnisées par l'État ou par l'État responsable (selon les conventions internationales et textes en vigueur concernant l'évènement).
L'armistice reconnaît de facto la victoire des Alliés et la défaite de l'Allemagne, mais il ne s'agit pas d'une capitulation au sens propre.
Quelques jours après la signature de la paix, le 28 juin, la cérémonie est à la fois un hommage aux 1 400 000 hommes tombés en quatre ans et une célébration de la victoire, celle de la France. L'armée française a joué un rôle capital dans la victoire sur l'Allemagne durant la Première Guerre mondiale.
À Reims, l'Allemagne signe la reddition sans condition de son armée face aux Alliés le 7 mai 1945, mettant ainsi fin à la Seconde Guerre mondiale et au Troisième Reich.
Le plan Marshall lancé par les Américains, permet en partie à l'Etat de financer la reconstruction du pays. Les travaux sont confiés à de grands architectes, par Raoul Dautry, ministre de la Reconstruction et de l'Urbanisme.
Les forces de l'Axe rassemblent trois principaux partenaires : l'Allemagne, l'Italie et le Japon. Ces trois pays reconnaissent la domination allemande sur presque toute l'Europe continentale, la domination italienne sur la mer Méditerranée, et la domination japonaise sur l'est de l'Asie et le Pacifique.
Après la Seconde Guerre mondiale, l'Allemagne fut occupée par les quatre puissances victorieuses, puis partagée en deux États, d'une part la République fédérale d'Allemagne (RFA), liée au bloc occidental, d'autre part la République démocratique allemande (RDA), sous influence soviétique et intégrée au bloc de l'Est.
Elle est étroitement liée à l'histoire des dépenses publiques françaises. L'État français a souvent eu recours à la dette pour faire face à des dépenses fortes, comme les guerres ou les plans de relances, ou une chute de revenus, durant des crises économiques.
Diktat est un terme venant d'un mot allemand (Diktat) signifiant « chose dictée ». Diktat est le terme utilisé pour qualifier le Traité de Versailles, imposé sans négociation, en 1919, à l'Allemagne, par les vainqueurs de la Première Guerre mondiale.
Sur le plan structurel, l'Allemagne en 1920, est deux fois moins endettée que la France et la Grande-Bretagne. Le paiement total réel de 1920 à 1931 (lorsque les paiements furent indéfiniment suspendus) atteignait 20 milliards de marks-or, valant environ cinq milliards de dollars ou un milliard de livres sterling.
Lorsque commence, en 1946, la guerre d'Indochine, le déséquilibre des forces est flagrant. Le corps expéditionnaire français est important, doté de matériel moderne, face à des nationalistes sans grands moyens. Pourtant, la guerre révolutionnaire menée par le général Giap a conduit la France à la défaite.
Depuis environ 1200, la France a pris part à 185 batailles et en a gagné 132. Ce nombre lui permet alors d'être la nation européenne avec le record de victoires, et ce dans le monde entier. De la même façon, c'est aussi elle qui a participé au plus grand nombre de guerres.
Parmi les 185 batailles que la France a livré au cours des 800 dernières années, ses armées auront gagné 132 d'entre elles, et en auront perdu 43, ne laissant que 10 batailles indécises donnant ainsi aux militaires français le record de victoires en Europe et donc dans le monde.
C'est donc une question politiquement chargée, aujourd'hui encore.” L'événement déclencheur de la Grande guerre est connu de tous les écoliers : l'assassinat de l'archiduc François Ferdinand, héritier du trône d'Autriche-Hongrie à Sarajevo le 28 juin 1914 par des nationalistes serbes.
L'armée allemande envahit la Pologne le 1er septembre 1939, déclenchant la Seconde Guerre mondiale. En réponse à l'agression allemande, la Grande-Bretagne et la France déclarent la guerre à l'Allemagne nazie.
Le 3 août 1914, c'est le choc : l'Allemagne déclare la guerre à la France. En fait, la guerre a commencé quelques semaines plus tôt, loin de la France, en Europe de l'est. En Autriche-Hongrie, l'héritier du trône est assassiné par un Bosniaque d'origine serbe. L'Autriche-Hongrie déclare alors la guerre à la Serbie.
Le président de l'Ukraine, Volodymyr Zelensky, promet le 3 mars 2022, lors de la poursuite des combats, que la Fédération de Russie va reconstruire toutes les infrastructures détruites en faveur de l'Ukraine à titre de réparations et de contre-attributions.
De plus, il n'existe aucune assurance spécifique pour se couvrir contre le risque de guerre. Il n'est donc absolument pas obligatoire de se protéger contre les dommages qui pourraient être causés en temps de guerre.
La révolution d'octobre-novembre 1917 entraîne la dissolution de l'armée et des cadres économiques et sociaux. Le régime des bolcheviks signe avec l'Allemagne le traité de Brest-Litovsk, le 3 mars 1918 , abandonnant l'Ukraine, les pays baltes et le Caucase.