Le travail, c'est la liberté. La liberté, c'est celle des autres. Le travail, c'est celui des autres.
C'est parce qu'on est libre qu'on offre sa force de travail. L'esclave à Saint-Domingue ne jouissait pas de sa liberté, il était exploité, le colon abusait de sa force de travail. En résumé, la liberté humaine n'est pas limitée par le besoin de travailler, par son occupation, son absorption dans le travail.
Karl Heinrich Marx, né le 5 mai 1818 à Trèves en Rhénanie et mort le 14 mars 1883 à Londres, est un historien, journaliste, philosophe, économiste, sociologue, essayiste, théoricien de la révolution, socialiste et communiste allemand. Cette citation parle de domaine, liberté et commence.
Il est important de savoir que le travail rend libre comme il peut également aliéner l'homme. Tout dépend donc de nous. Le travail a permis à l'homme de se libérer de la nature, de se sociabiliser et d'emmagasiner des connaissances, donc de devenir quelqu'un de meilleur.
C'est pour cette raison que de nombreux philosophes voient dans la division du travail un facteur de cohésion sociale. On peut citer Platon et Aristote, mais également Adam Smith ou Emmanuel Kant. Tous soulignent que la division du travail favorise l'échange.
Les grands auteurs, Zola, Balzac, Hugo, nous ont beaucoup parlé du travail. Prenons l'Assommoir : Zola y décrit à la fois le peuple, les habitudes des ouvriers, les postes de travail. Il va même beaucoup plus loin, en s'emparant aussi des événements post-traumatiques.
Il éloigne l'ennui, le vice et le besoin. Il humanise par le lien social qu'il crée et maintient nos capacités intellectuelles en éveil. Il redresse le perverti, moralise le dévoyé, rend l'homme vertueux. Ceux qui choisissent délibérément de ne pas travailler subissent l'opprobre de leurs contemporains.
Le travail est une nécessité. En effet, l'Homme n'a pas le choix, il est obligé de travailler, car s'il ne travaille pas, il meurt. La nature, spontanément, ne lui fournit pas de quoi survivre. Donc plutôt que de parler d'obligation, on peut dire que le travail est une contrainte.
1. Activité de l'homme appliquée à la production, à la création, à l'entretien de quelque chose : Travail manuel, intellectuel. 2. Activité professionnelle régulière et rémunérée : Vivre de son travail.
“Les prolétaires n'ont pas de patrie.” “L'histoire de toute société jusqu'à nos jours n'a été que l'histoire de luttes de classes.” “Dans la famille, l'homme est le bourgeois ; la femme joue le rôle du prolétariat.” “Il n'y a qu'une seule façon de tuer le capitalisme : des impôts, des impôts et toujours plus d'impôts.”
Définition de l'aliénation
Dans la théorie marxiste, l'aliénation est la condition de l'individu qui ne possède ni son outil de travail, ni sa production. Le travail n'est alors plus qu'une simple marchandise vendue, qui détruit l'homme en détruisant son temps de vie.
L'aliénation du travail est alors indiscutable : l'ouvrier lorsqu'il travaille est dépossédé de lui-même et il est dépossédé de son humanité même. « Il [l'ouvrier] est lui quand il ne travaille pas, et quand il travaille, il n'est pas lui. Son travail n'est pas volontaire, mais contraint.
Pour l'humanité en général et chaque homme en particulier, le travail est essentiellement une force génératrice de possible. C'est en travaillant que l'individu conquiert la liberté et l'estime de soi qui le constituent comme citoyen à part entière.
Selon Karl Marx, il y aurait une objectivation spécifique qui donnerait l'aliénation. La réalisation du travail est séparée de son sujet producteur (les travailleurs). Ces produits du travail sont même devenus étrangers à leurs propres producteurs : c'est l'aliénation dans le travail.
Par une conversion dialectique exemplaire, le travail servile lui rend alors sa liberté car il sait comment s'y prendre pour dominer la nature tandis que le maître, qui ne sait plus travailler, a de plus en plus besoin de son esclave et devient en quelque sorte esclave de l'esclave.
Par conséquent, le travail devient une nécessité et donc l'Homme perd sa liberté car il est dépendant du travail et n'a pas le temps d'accéder à la culture. Pour Marx, le travail n'est donc qu'une contrainte car c'est l'unique moyen de survie qui est imposé à certains Hommes par la société.
L'importance du droit de travail
Étant donné qu'il s'agit ici d'un droit social, le droit de travail régit les relations entre les employés et l'employeur, il garantit le respect des libertés syndicales ainsi que les normes de sécurité au travail et surtout la protection des travailleurs dans le besoin.
Selon les actifs français (72%), le travail permet effectivement de se sentir heureux de manière générale. Ils sont aussi 44% à se rendre chaque jour « avec plaisir au travail ».
Le travail nous fait perdre notre liberté
Visant essentiellement la libération à l'égard de la nature et de sa nécessité, le travail perd alors son but initial : il avait pour but de satisfaire nos besoins ; son but devient la production elle-même.
Le travail fait partie de sa condition humaine et ne présente aucune connotation négative. Pourtant, ce récit lance un premier avertissement : tout travail qui ne vise que le bénéfice sans considérer la garde et le soin du sol est considéré comme étant contraire à l'ordre du Créateur.
Moins de sécurité – Vous devrez assumer la responsabilité de toujours trouver du travail à faire. Cela signifie que vous serez parfois sans travail et, par conséquent, sans revenu.
En philosophie, c'est le travail comme activité qui intéresse. Pour les philosophes, le travail est d'abord ce par quoi l'être humain transforme ce qui l'entoure pour satisfaire ses besoins (sens 1). La notion s'écarte donc très vite du sens courant. Travailler, c'est agir sur le réel pour le modifier.
Citation célèbre: « Le travail éloigne de nous trois grands maux: l'ennui, le vice et le besoin. », Candide, Voltaire.
Le travail crée la richesse, l'inverse n'est pas assuré. C'est le propre du travail d'abréger le temps les jours ont des ailes de plomb pour l'homme oisif, et ils s'envolent avec la rapidité de l'aigle pour celui qui travaille.