On ne voit pas, dans les Évangiles, que Jésus ait beaucoup fréquenté les bandits : il n'en eut pas l'occasion. Et voilà qu'en une demi-journée, la dernière de sa vie mortelle, son destin se trouve intimement mêlé au destin de trois brigands : Barrabas, et les deux larrons crucifiés en même temps que Jésus.
Le bon Larron (du latin latro, « brigand ») est, selon les Évangiles synoptiques, un bandit crucifié avec son comparse, le Mauvais Larron, de part et d'autre de Jésus-Christ sur la croix. Pour la chrétienté, il représente le premier saint pénitent.
La Cène représente le dernier repas de Jésus, le jeudi saint, entouré de ses douze apôtres (de gauche à droite, Bartolomé, Jacques le mineur, André, Judas, Pierre, Jean, Le Christ, Thomas, Jacques le majeur, Philippe, Matthieu, Thaddée, Simon).
dans l'évangile selon Luc : « Comme ils l'emmenaient, ils mirent la main sur un certain Simon de Cyrène qui revenait des champs, et le chargèrent de la croix pour la porter derrière Jésus » (Luc).
Selon les textes néotestamentaires, Jésus-Christ fut condamné à mort par le préfet romain Ponce Pilate, et exécuté par le supplice de la croix avec l'inscription INRI. Sept paroles de Jésus en croix sont décrites dans les évangiles canoniques.
Lettres initiales des mots latins Iesus Nazarenus Rex Iudaeorum, c'est-à-dire « Jésus le Nazaréen roi des Juifs », que Pilate avait fait mettre sur la Croix (Jean, xix, 20). (Elles figurent souvent sur les crucifix.)
Leo Perutz, dans son roman Le Judas de Léonard, avance l'hypothèse que Judas a trahi Jésus par orgueil : s'apercevant qu'il l'aimait plus que tout, il n'a pas supporté d'être dépendant de quelqu'un au point de s'oublier lui-même.
L'une de ces basiliques, le Saint-Sépulcre à Jérusalem, est érigée sur l'emplacement présumé du tombeau du Christ et du Golgotha. Rapidement, cette basilique prétend posséder une relique particulièrement prestigieuse : la Vraie Croix.
« Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ? » (Marc 15:34).
Le Portement de croix ou Montée au calvaire est un épisode de la vie de Jésus-Christ se déroulant durant la Passion et qui rapporté par les Évangiles synoptiques. Condamné à mort, Jésus doit porter sa croix pendant la montée au Golgotha où il est ensuite crucifié.
Le Saint Sang de Fécamp en Seine-Maritime
Tabernacle contenant la relique du sang dit de Jésus, église abbatiale de Fécamp.
Dans les Évangiles
La descente de croix a lieu le soir de la Crucifixion et Joseph d'Arimathie demande à Ponce Pilate l'autorisation d'emporter le corps de Jésus. Ponce Pilate, étonné que la mort soit arrivée si vite, demande la confirmation à Longin le Centurion qui perça le côté droit de Jésus avec la Sainte Lance.
Son nom, inconnu avant lui, signifie « jumeau » en araméen (תְּאוֹמָא,Tʾōmā), traduit en grec Didymos. C'est pourquoi il est appelé Thomas le Didyme dans l'évangile selon Jean, et Judas Thomas dans la tradition syriaque et les Pères de l'Église comme Eusèbe de Césarée.
La croix de Saint-Pierre est mondialement connue sous le nom de croix inversée. Elle doit son nom à l'apôtre Pierre qui a été crucifié la tête en bas, estimant qu'il ne méritait pas d'être crucifié comme Jésus.
Aussi appelée « croix de crucifix ou croix latine », la croix de Jésus désigne la crucifixion du Christ. L'histoire raconte que ce modèle de croix catholique serait le dérivé du poignard, le symbole d'origine païenne.
Pierre serait mort en 64 : Eusèbe de Césarée affirme que Pierre « fut crucifié la tête en bas, après avoir lui-même demandé de souffrir ainsi ». Il s'estimait indigne d'être crucifié de la même manière que Jésus.
"Tout est achevé" (Jn 19,30) prononcée après qu'il eut bu de cette boisson. Jésus poussa un grand cri : "Père, entre tes mains je remets mon esprit" (Lc 23,46). Et sur ces mots, il mourut.
Ainsi, pour répondre et atténuer l'agonie du Christ sur la croix, on porta aux lèvres de Jésus une éponge fixée au bout d'un bâton et plongée au préalable dans de la posca, ou vinaigre. Celui, après avoir en avoir goûté, se refusa de le boire, préférant alors l'agonie lente sans atténuation.
Parce que le Christ voulait être compris des foules, notamment celles qui venaient écouter ses enseignements, ce dernier s'exprimait en araméen, parlé par un nombre important de peuples du Moyen-Orient. Toutefois, l'hébreu ayant subsisté dans la liturgie, il parlait également cette langue.
C'est alors un signe de mort. Suivra la victoire sur la mort, la résurrection, un des piliers de la foi chrétienne. La croix devient alors un symbole et s'orne d'or et de pierres précieuses. La croix du christ devient un signe de vie.
Quand on trahit un ami, on devient un "Judas" : c'est la pire des trahisons, on abandonne un ami en lui retirant la confiance qu'il avait en nous. Mais on peut aussi trahir la confiance de sa femme ou de son mari en lui mentant délibérément pour soi-disant éviter de le faire souffrir...
Le personnage le plus célèbre portant ce nom est Judas Iscariote, souvent désigné sous le seul nom de Judas, entré dans le langage courant comme synonyme de « traître » : c'est un apôtre qui selon les Évangiles aurait livré Jésus Christ aux prêtres juifs.
Présentation. « 1 Il arriva, en ce temps-là, que Juda s'éloigna de ses frères et s'achemina vers un habitant d'Adoullam, nommé Hira. 2 Là, Juda vit la fille d'un Cananéen, appelé Choua ; il l'épousa et s'approcha d'elle. 3 Elle conçut et enfanta un fils, à qui il donna le nom d'Ér (« Éveillé »).
On reste dans les recettes de Noël avec une viennoiserie cette fois : les Cougnous, cougnoles, ou cugnoles, que l'on appelle aussi parfois les brioches petit Jésus pour leur forme qui rappelle celle d'un nourrisson emmailloté.
Pourquoi le poisson ? Parce que le poisson a une signification religieuse : c'est synonyme d'abondance dans l'Évangile, (Jésus apporte du pain et des poissons, des histoires de pêche miraculeuse), et par extension, les poissons vont symboliser les chrétiens eux-mêmes qu'il faut pêcher.