Cela donnera naissance à la légende de Clemenceau enterré debout, dans une tombe horizontale…
Pourquoi ce Léonard Boussarie, né à Saint Roc en 1822, est enterré debout ? 104 ans plus tard, toujours aucune réponse, que des suppositions. L'homme aurait voulu rester debout pour tenir tête à ses voisins, qui l'auraient embêté toute sa vie. C'était un original qui ne fréquentait pas grand monde.
Histoire. Georges Clemenceau avait dans son testament demandé à être enterré simplement sans « cortège ni cérémonie d'aucune sorte » et à côté de son père, médecin à Nantes, et qui reposait depuis 1897 à Mouchamps.
Le 25 novembre 1929, après son décès à Paris, Clemenceau est enterré au Colombier « sans manifestation, ni invitation, ni cérémonie », suivant les termes de son testament. Seule la stèle de Minerve, réalisée par le sculpteur Sicard et installée par Clemenceau, domine les deux tombes.
L'Imam prononce la prière funéraire, seule prière dite debout, sans inclinaison, ni prosternation. Toute personne, même non musulmane, peut accompagner le défunt au cimetière.
Les défunts y sont transportés par groupes de 12 à 15 et enterrés debout et sans cercueil dans le but de préserver l'environnement et de réduire les coûts des enterrements.
« Les enterrements face contre terre étaient un moyen de signaler quelque chose lors des funérailles - d'une manière ou d'une autre, la société a permis la commission de trop de péchés, alors ils voulaient faire pénitence. »
Qu'est-ce que la crémation ? La crémation, parfois appelée incinération, consiste à incinérer le corps du défunt dans un crématorium. Les cendres sont ensuite recueillies dans une urne choisie au préalable par la famille et les proches avec le conseiller funéraire PFG.
Georges Clemenceau cherche à remonter le moral des troupes en rendant visite aux soldats dans les tranchées, malgré les risques. Il lutte également avec fermeté contre les mutineries et les désertions . Il fait appel aux troupes coloniales.
Une toilette permettant d'éliminer tout risque d'infection, de la tête au pied. maintient des yeux (lentilles spéciales) et de la bouche (un point de suture) fermés. obstruction des orifices à l'aide de coton (méchage)
La célébration du Quarantième jour marque le début des retrouvailles et l'acceptation de la mort (le deuil). Cet article montre que la durée de quarante jours n'est pas choisie au hasard, elle correspond à des considérations psychologiques et médicales.
Le deuil. Après l'enterrement, une tradition veut que les proches du défunt suivent un jeûne : à La Réunion, cela signifie ne pas manger de viande pendant quelque temps. Cette période varie d'une personne à une autre : elle est plus longue pour une personne très proche du défunt comme son conjoint ou ses enfants.
Le cœur, qui est pour sa part autonome, continue de battre un moment, jusqu'à ce que le manque d'oxygène ait raison de lui et que l'arrêt cardiaque survienne. «Pour les médecins, la mort est la cessation irréversible de toutes les activités du cerveau, précise Éric Racine.
Le sang peut alors rester dans les veines et les capillaires, mais, avec la décomposition, ceux-ci peuvent aussi rompre et le sang se disperse alors dans les tissus. Le sang va ensuite aussi se décomposer, les globules rouges éclatent généralement (ce qu'on appelle l'hémolyse) et sont dégradés.
Dès qu'il voit les veines légèrement gonfler au niveau de la main ou de la tête, c'est qu'il y a suffisamment de pression. Il reprend son trocart et vient le piquer dans le cœur côté gauche. Il vide ainsi tout le sang du corps du défunt et lui injecte à la place du formol.
Des saignements de nez et des états grippaux à répétition le conduisent à réaliser des examens, qui révèlent qu'il est atteint de la maladie de Waldenström, un cancer hématologique caractérisé par des lymphoplasmocytes proliférant au niveau de la moelle osseuse et synthétisant une immunoglobuline monoclonale.
le président français Georges Pompidou (1911-1974), dont les premiers signes de la maladie remontent à 1968 et qui décéda finalement d'une septicémie ; le président algérien Houari Boumedienne (1932-1978), mort d'une maladie de Waldenström avec thrombose cérébrale.