Avec d'autres historiens du bisou, elle fait remonter cette pratique à environ 1500 av. JC dans ce qui est aujourd'hui l'Inde. Des inscriptions hindoues de cette époque évoquent en effet des personnes qui se "reniflent" avec la bouche, rapporte l'anthropologue Vaughn Bryant.
Les règles de galanterie – quelque peu archaïques pour la plupart, on en convient – désignent l'homme comme étant celui qui doit faire le premier pas et provoquer ce premier vrai contact physique, mais les femmes modernes ne l'entendent pas de cette oreille (et elles ont bien raison !).
Selon les philématologues, les premiers baisers sur la bouche remonteraient aux textes védiques indiens, soit y il a plus de 3 500 ans, dans lesquels l'acte de "se renifler avec la bouche" y est clairement évoqué.
Le premier bisou n'aurait donc pas lieu lors du premier rendez-vous, mais plutôt du deuxième voire du troisième. Il semblerait toutefois que les hommes soient plus nombreux à vouloir embrasser leur conquête dès le premier soir (12%), contrairement aux femmes qui seraient légèrement plus réticentes (9%).
Le « French Kiss »
Le « French Kiss » est le bisou sur la bouche que tout le monde connaît. Il s'est beaucoup propagé en Europe et en Amérique grâce notamment aux différents films qui le mettent en scène. Cette pratique amoureuse et sexuelle est très à la mode dans 168 pays.
La France, le pays où on embrasse le mieux
le fameux et célébrissime french kiss continue de placer la France sur la toute première marche du podium mondial.
La France est connue comme le pays du baiser : ici, on se fait la bise et on s'embrasse avec la langue, pratique généralement désignée comme française à l'étranger. Les américains appellent d'ailleurs ce baiser le "French Kiss".
Le surplus de bave sur le bord des lèvres lors d'un baiser, c'est ordinaire. D'accord pour un minimum d'humidité, mais n'oubliez pas d'avaler votre salive avant un baiser, car l'autre n'a pas envie d'avoir cette impression d'embrasser un chien Saint-Bernard.
Selon les résultats de leur recherche, publiés dans le Journal of Experimental Psychology: Human Perception and Performance, garder les paupières ouvertes nous rendrait aveugles aux autres sens et, donc, au toucher.
Se concentrer sur le baiser
C'est en effet pour multiplier les sensations du toucher que l'on se priverait de la vue, car la stimulation visuelle réduit la perception tactile. Selon les chercheurs, le cerveau peine à se concentrer sur deux sens à la fois.
Notre experte confirme : « La meilleure manière de savoir si un garçon veut t'embrasser est d'observer son langage corporel. S'il se penche vers toi quand tu parles, regarde tes yeux, te sourit ou te touche subtilement, cela indique qu'il pense à un bisou. » Prêtez l'oreille à ce qu'il dit.
Les prostituées préfèrent ne pas embrasser leurs clients
La raison ? Un baiser demande plus que du sexe, un désir authentique et un sentiment d'amour pour la personne. En ne s'embrassant pas, les prostituées s'assurent de pouvoir faire leur travail sans s'impliquer émotionnellement.
Il est très tactile
Le langage corporel est très important dans la relation amoureuse. L'attachement entre les deux partenaires passe par le contact physique. L'homme amoureux est donc naturellement très tactile et a besoin de vous toucher, de vous embrasser et de vous enlacer.
Par ailleurs, comme on pouvait s'y attendre, la quantité d'ADN retrouvé diminuait avec le temps. Surprenant tout de même: l'identification d'ADN masculin était possible jusqu'à 30 minutes après le baiser chez 10 des femmes et 60 minutes chez 8 des femmes, sur 12.
Ouvrez la bouche et bougez votre tête durant le baiser. Vous pouvez aussi déplacer votre langue dans différentes directions. Évitez toutefois d'être agressif(ve) en poussant votre langue trop profondément, car cela peut être très agaçant. » Observez son langage corporel.
Le baiser est un mouvement qui consiste à toucher une personne avec ses lèvres grâce aux muscles orbiculaires de la bouche. Il peut s'agir d'un comportement social (le baise-main ou la bise), affectueux ou amoureux.
Cela va de la rhinopharyngite à la tuberculose, en passant par la grippe, les angines, la mononucléose infectieuse, la diphtérie, les oreillons, la rougeole, la rubéole, l'hépatite A, la méningite, la varicelle, l'herpès, la coqueluche, la scarlatine, les gastro-entérites, etc.
Avec d'autres historiens du bisou, elle fait remonter cette pratique à environ 1500 av. JC dans ce qui est aujourd'hui l'Inde. Des inscriptions hindoues de cette époque évoquent en effet des personnes qui se "reniflent" avec la bouche, rapporte l'anthropologue Vaughn Bryant.
Le baiser russe : en Russie lorsque deux personnes se rencontrent, elle s'embrassent sur les lèvres, la bouche fermée. Le smack n'est pas utilisé dans la sphère intime. Il s'agit d'un baiser cordial, symbole de paix.
Cette marque d'affection est souvent considérée comme une coutume occidentale et les baisers en public sont à éviter. C'est aussi le cas en Asie, sauf dans la ville de Aba, en Chine. Là-bas, les habitants s'embrassent sans restriction. Il existe même une cérémonie du bisou, un rituel qui existe depuis des millénaires.
« Ne pas embrasser peut être symptomatique de la capacité d'une personne à tolérer l'intimité », résume Vincent Quesnel. Caroline convient que son homme est du type introverti, discret et même fuyant. « Mais il n'est pas fuyant dans la relation, assure-t-elle.
Le premier bisou n'aurait donc pas lieu lors du premier rendez-vous, mais plutôt du deuxième, voire du troisième. Il semblerait toutefois que les hommes soient plus nombreux à vouloir embrasser leur conquête dès le premier soir (12%), contrairement aux femmes qui seraient légèrement plus réticentes (9%).