Une origine antique. La question de la culture générale émaille plusieurs textes issus de l'Antiquité. Les sophistes grecs, professeurs itinérants, délivraient un savoir général et étaient connus pour avoir des connaissances en toute chose.
De nombreux facteurs ont été avancés pour expliquer l'émergence des cultures et des capacités symboliques des humains : le langage, la technique, l'intelligence sociale, l'imitation et l'apprentissage.
A quoi sert la culture générale ? La culture générale est une boîte à outils permettant de développer une gymnastique intellectuelle et une ouverture sur le monde. En effet, le fait de connaître un maximum de choses permet à l'individu d'apprendre plus facilement grâce à la création de liens logiques.
LA CULTURE CONVENTIONNELLE, LA CULTURE BIOLOGIQUE ET LA CULTURE INTÉGRÉE.
Qu'est-ce que la culture générale ? La culture générale devrait pouvoir, globalement, se définir comme un ensemble de connaissances culturelles, sans domaine de spécialisation précis.
Il y a en français deux acceptions différentes pour le mot culture : la culture individuelle de chacun, construction personnelle de ses connaissances donnant la culture générale ; la culture d'un peuple, l'identité culturelle de ce peuple, la culture collective à laquelle on appartient.
La culture générale regroupe plusieurs disciplines à partir d'un esprit commun, qui est celui du dialogue entre les connaissances. Elle représente l'indispensable moteur permettant une réflexion autonome. En tant que dialogue, elle ne peut être une simple compilation de connaissances.
La culture remplit donc trois principales fonctions. Ces fonctions psychique, sociale et adaptative se font par l'apprentissage et l'intégration d'éléments culturels.
La culture permet aussi de découvrir le monde. Tous les styles de vie, les valeurs et les croyances sont différents selon les pays. Nous pouvons ainsi savoir comment ils vivent, ce qui est important pour eux et ce qui ne l'est pas, leurs inquiétudes, leurs appréhensions et comment ils envisagent leur avenir.
Le modèle de l'iceberg culturel de Edward T. Hall met en relief les deux niveaux culturels qui constituent un individu ou groupe d'individus avec une partie visible (émergée) et une partie invisible (immergée).
La culture offre également le moyen d'exprimer sa créativité, de se forger une identité propre et de renforcer ou de préserver le sentiment d'appartenance à la communauté. Les expériences culturelles offrent des occasions de loisirs, de divertissement, d'apprentissage et de partage d'expériences avec d'autres.
Dans la philosophie kantienne, culture et développement sont des concepts qui font sens. La culture est l'humanisation de l'homme. Elle est l'acquisition des savoirs, des savoir-faire, des savoir-être et des savoir-devenir.
La culture fait et ne fait pas l'homme. Car si c'était la culture (comprise comme éducation ou assimilation des codes) qui accordait le statut d'homme alors un bébé non éduqué ne bénéficierait pas de cette identité et des droits associés.
git d'une chose plus simple et qui est ceci : que l'homme de culture est celui qui par la création, exprime et donne forme. Et cette expression elle-même, par le fait même qu'elle est expression donc mise à jour, crée ou recrée — dialectiquement — à son image le sentiment dont il n'est à tout prendre que l'émanation.
La culture : l'homme par essence, un animal pensant. La culture, partie intégrante de l'homme va donner lieu à des activités culturelles : Le travail, L'art et la Technique, la religion. Nature ET culture : L'homme est un être paradoxal, toujours dans la duplicité avec deux éléments inconciliables.
On trouve ainsi diverses formes de cultures, comme la culture populaire, la culture de masse, la culture de jeunesse, ou ce que l'on appelle la subculture (ou culture intime).
- La culture se substitue à la programmation instinctuelle et permet ne évolution rapide, mais n'étant pas transmissible génétiquement, elle implique une vulnérabilité à la naissance et une dépendance plus longue, elle a fait de l'homme un être curieux non spécialisé.
Nous distinguons six catégories d'éléments culturels révélés par la compréhension des textes et par les associations lexicales : les connotations culturelles des mots, les mots spécifiques à la langue et à la culture, les noms propres, les interjections, les expressions idiomatiques et les « savoirs » culturels.
Lévi-Strauss et la plupart des philosophes et ethnologues préfèrent désormais parler de « cultures » au pluriel. « Culture » désigne alors l'ensemble cohérent des constructions imaginaires, structures mentales et modes de productions propres à chaque communauté.
Ccl 1 : L'Homme est bien un être de nature parce qu'il tient de son hérédité biologique mais l'Homme est surtout un être de culture puisqu'il transforme sa propre nature, puisqu'il n'est rien s'il ne reçoit pas d'éducation qui lui permet de devenir véritablement un Homme.
25À la lumière des observations qui précèdent, on peut définir les valeurs culturelles comme des valeurs largement répandues au sein d'une langue-culture, des valeurs qui sous-tendent les croyances, les convictions, les attitudes, les habitudes communicatives généralement associées à une langue-culture particulière.
La culture générale est donc là pour ça : la connaissance est une arme et elle permet de se forger des idées et donc de s'exprimer. Améliorer sa culture G peut servir, par exemple : à préparer un examen ou un concours : de nombreuses écoles supérieures ou entreprises organisent des tests de culture générale.
La dissertation de culture générale doit être composée d'une introduction, de trois grandes partiescomposées de trois sous parties, et enfin d'une conclusion. Concernant l'introduction, il s'agit de l'une des parties les plus importantes du devoir, si ce n'est la plus importante.