Les fonctions logarithmes sont introduites en 1614 par Napier (1550-1617), dont le nom, qui en latin s'écrit Neper, est à l'origine du terme de « logarithme népérien ».
On date en général l'origine des logarithmes népériens en 1647, lorsque le mathématicien jésuite Grégoire de Saint-Vincent (1584-1667) travaille sur la quadrature de l'hyperbole, c'est à dire la recherche de l'aire comprise entre la courbe, l'axe des abscisses et les droites d'équations x=a et x=1 .
Ce nombre est défini à la fin du XVII e siècle, dans une correspondance entre Leibniz et Christian Huygens, comme étant la base du logarithme naturel. Autrement dit, il est caractérisé par la relation ln(e) = 1 ou de façon équivalente il est l'image de 1 par la fonction exponentielle, d'où la notation exp(x) = ex.
Une des premières apparitions de la base du logarithme népérien, notée alors b, est donc dans la lettre de Leibniz à Huygens de 1690. Le mathématicien qui étudie plus spécialement ce nombre est Euler.
Le logarithme naturel ou népérien est dit de base e car ln(e) = 1. Le logarithme népérien d'un nombre x peut également être défini comme la puissance à laquelle il faut élever e pour obtenir x. La fonction logarithme népérien est donc la bijection réciproque de la fonction exponentielle.
La fonction logarithme népérien , notée ln , est une fonction définie sur ] 0 ; + [. C'est la primitive de la fonction inverse , s'annulant pour x = 1.
Logarithme népérien, logarithme décimal
Un logarithme se calcule part rapport à une base. En décimal nous utiliserons "10" comme base. Les logarithmes népériens (de John Napier dit Neper, mathématicien écossais né au 16éme siècle) ont pour base la valeur e = 2.71828. Le logarithme népérien de e est égal à 1.
Les fonctions logarithmes sont introduites en 1614 par Napier (1550-1617), dont le nom, qui en latin s'écrit Neper, est à l'origine du terme de « logarithme népérien ».
LOGARITHME, subst. masc. MATH. Puissance à laquelle il faut élever une constante appelée base pour obtenir un nombre donné.
Mais cette règle, que la différentielle divisée par le nombre donne la différentielle du logarithme et n'importe quoi d'autre sur la nature et la construction des logarithmes n'a pas lieu pour les nombres négatifs. Il faudra attendre Euler (1707-1783) pour qu'on sache enfin qui avait raison : aucun des deux !
La transcendance de Π provient directement du théorème de Hermite-Lindemann. En effet : Sup- posons que Π soit algébrique, alors iΠ l'est également, donc eiΠ = −1, est transcendant, ce qui est absurde. Donc Π est transcendant.
La sous-tangente, c'est-à-dire la distance qui sépare le réel x de l'abscisse du point d'intersection de la tangente à la courbe au point d'abscisse x avec l'axe des x, est constante et vaut 1. On montre de plus que f ne s'annule jamais. (en particulier, exp(0) = 1).
C'est une notation scientifique. M. Grayson est correct, cependant: cela signifie "100000.0", pas "100000". in c, 1e6 a type double et sa valeur est 1 fois 10 élevée à la 6ème puissance.
Le premier à s'intéresser de façon sérieuse au nombre e est le mathématicien suisse Leonhard Euler (1707 ; 1783). C'est à lui que nous devons le nom de ce nombre. Non pas qu'il s'agisse de l'initiale de son nom mais peut être car e est la première lettre du mot exponentielle.
En 1614, un mathématicien écossais, John Napier (1550 ; 1617) ci-contre, plus connu sous le nom francisé de Neper publie « Mirifici logarithmorum canonis descriptio ». Dans cet ouvrage, qui est la finalité d'un travail de 20 ans, Neper présente un outil permettant de simplifier les calculs opératoires : le logarithme.
Les logarithmes inventés par l'écossais John Napier en 1614 ont comme « merveilleuse » propriété de transformer les produits en sommes et de simplifier les calculs. Voici un aperçu du principe de la méthode de Napier pour multiplier deux nombres A et B.
Le logarithme est très couramment utilisé en Physique-Chimie, car il permet de manipuler et de considérer des nombres possédant des ordres de grandeur très différents, notamment grâce à l'emploi d'échelles logarithmiques.
Logarithme ou logarithme décimal de 2: log 2 = log10 2 = 0, 301 029 ...
- log(N) = ln(N)/ln(10). -> C'est une formule de passage entre les différent logarithmes.
Dans le cas le plus simple, le logarithme compte le nombre d'occurrences du même facteur dans une multiplication répétée : par exemple, comme 1000 = 10×10×10 = 103, le logarithme en base 10 de 1000 est 3. Le logarithme de x en base b est noté logb(x). Ainsi log10(1000) = 3.
La fonction logarithme décimale se note comme suit : log(x) = ln(x)/ln(10). Ses propriétés algébriques sont similaires à celles du logarithme népérien, noté lui, "ln". Pour tout x > 0 et pour tout y ∈ R, log(x) = y <=> x = 10y ou encore log(10y) = y.
Re : Calculer rapidement un logarithme à la main
Il suffit simplement de connaitre tous les logarithmes des entiers premiers de 1 à 100 pour retrouver la valeur "exacte" de tous les logarithmes des entiers de 1 à 100.
Il résulte du fait que ln est strictement croissante et tend vers +∞ quand x tend vers +∞ qu'il existe un unique nombre réel e>1 tel que ln(e)=1. En effet ln(1)=0.
L'antilogarithme est la fonction inverse du logarithme définit de telle sorte que n est l'antilogarithme de a si log n = а. D'ailleurs, la valeur de la base du logarithme par défaut est le nombre d'Euler, pour plus de facilité.
Si ma mémoire reste bonne, l'inverse de log10(X) c'est 10^(X) (10 exposant X). A+.