Le mot cimetière, dont l'étymologie remonte au bas-latin cimiterium lui-même issu du latin classique coemeterium, ce mot venant du grec ancien κοιμητήριον, koimêtêrion (« lieu pour dormir, dortoir »), appartient jusqu'au XV e siècle au langage des clercs pour désigner l'aire d'inhumation collective où gisent et dorment ...
Tandis que la société antique tient ses morts à bonne distance de la cité, le Moyen Age invente le cimetière. « La cohabitation des vivants et des morts, écrit Michel Lauwers, constitue l'un des traits majeurs des formes d'organisation sociale qui se sont imposées en Europe occidentale au cours du Moyen Age. »
Étymologie. Du latin coemeterium , devenu cimiterium (Bas-Empire), issu du grec ancien κοιμητήριον , koimêtêrion (« lieu pour dormir, dortoir »).
Dans la Rome antique, il n'était pas possible d'enterrer ou d'incinérer les morts à l'intérieur de la cité : les cimetières étaient situés hors des villes, le long des axes de communication. Les premiers cimetières sont des lieux de sépulture souterrains : les catacombes.
Espace funéraire généralement antique, il se distingue du champ funéraire préhistorique qui n'abrite pas de monuments, et du cimetière médiéval qui voit l'extension des lieux de culte à leur environnement funéraire sacralisé.
Re: tombes allemandes
En France, on a utilisé la couleur noire pour les croix ou stèles allemandes qui étaient en bois et qui ont remplacé dans un soucis d'uniformité, les pierres tombales, croix etc mises en place lors du conflit. Certains y voient une référence à la croix teutonique.
La loi du 14 novembre 1881 revient sur le caractère cultuel des cimetières et leur impose la neutralité. la législation interdit pour les inhumations toute distinction basée sur des critères religieux et marque leur laïcisation.
Les cochons étant omnivores, ils ''ramassaient'' tout ce qui traînait, et pouvait même manger les cadavres ! C'est ainsi qu'on a construit les murs des cimetières si hauts, pour éviter que les porcs n'aillent déterrer les malheureuses dépouilles !
On l'oublie mais les cimetières sont des lieux laïcs depuis la loi du 14 novembre 1881 codifiée aux articles L2213-7 et L2213-9 du code général des collectivités territoriales.
Le défunt peut être inhumé dans les cimetières suivants : Celui de la commune où le défunt habitait. Celui de la commune où il est décédé Celui où est situé le caveau de famille.
1. Groupe de sépultures, datant de la préhistoire ou de l'Antiquité, à caractère plus ou moins monumental et rassemblées comme les édifices et les maisons d'une cité. 2. Grand cimetière présentant des monuments funéraires.
La fonction de l'ossuaire est d'accueillir les ossements des personnes disparues dont la concession funéraire a expiré. C'est un lieu symbolique important, de souvenir et de respect pour tous ceux qui nous ont quittés il y a longtemps.
Le cimetière des éléphants est un endroit où, selon une croyance européenne apparue au XIX e siècle mais infirmée depuis par les zoologues, les éléphants d'Afrique se rendent d'eux-mêmes pour mourir.
Le nom « cimetière » vient du latin coemeterium, lui-même issu du grec koimêtêrion, qui signifie « dortoir », et, par extension, « lieu où reposent les morts ».
La croix devenue hampe de bannière est appelée croix de la résurrection ; c'est celle que le Christ aurait tenue en main, sortant du tombeau après son ensevelissement. Cette représentation exprime La Résurrection et la victoire de la vie sur la mort. La crosse singularise la sépulture d'un évêque.
L'HOMMAGE EST PARFOIS FAIT DIRECTEMENT AU CIMETIÈRE
Si la mise en bière se fait dans la plus grande intimité et qu'il n'a pas de cérémonie au funérarium ou au crématorium, l'hommage au défunt peut avoir lieu directement au cimetière.
En France, la fosse commune désigne depuis longtemps la fosse dans laquelle on enterre le corps des personnes pauvres, ou le corps de certains athées.
Le caveau est plus onéreux à construire qu'une « pleine terre », mais il permet également, dans la durée, de réduire les frais d'entretien, comparativement à une tombe pleine terre, qui « bouge » dans le temps. Certains monuments funéraires peuvent revêtir des formes diverses, parfois érigés sans limite de coût.
Une tombe d'une place nécessite une fosse de 1 m 50 : 50 cm pour le cercueil et 1 mètre pour la terre au-dessus. Pour une tombe qui reçoit plusieurs cercueils, il faut prévoir un espace de 50cm entre chaque cercueil. Une tombe de 2 places doit avoir une profondeur de 2 mètres 50 environ.
Un cénotaphe est un monument funéraire élevé à la mémoire d'une personne ou d'un groupe de personnes et dont la forme ou l'ornementation rappelle un tombeau, mais qui ne contient pas de corps (contrairement au mausolée).
La crémation est en revanche totalement interdite par le coran et la religion orthodoxe et certains courants de la religion juive et de la religion protestante. Elle est tolérée par le bouddhisme et encouragée par l'hindouisme. Pour le jaïnisme et le sikhisme, la crémation est obligatoire.
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C'est un mini-caveau destiné à accueillir une urne funéraire. Ces cavurnes disposent d'une dalle au sol qui permet un recueillement plus personnalisé que le columbarium. Aujourd'hui, la durée d'une concession est de 15 ou 30 ans renouvelables. Il n'existe plus de concession de 50 ans, 100 ans ou perpétuelle.