Le style de blues urbain des années 1950 a eu un grand impact sur la musique populaire des musiciens comme Bo Diddley et Chuck Berry. Aussi, le style de blues urbain des années 1950 a influencé le style de musique de Louisiane de zydeco, surtout Clifton Chenier.
Aux États-Unis, plusieurs artistes blancs ont également bâti l'essentiel de leur œuvre sur le blues, tels The Allman Brothers Band, Mike Bloomfield, le Blues Project, Paul Butterfield, Roy Buchanan, Canned Heat, The Doors, Jeff Healey (Canada), John Hammond, Janis Joplin, Charlie Musselwhite ou encore Johnny Winter.
16 novembre 1873 : naissance de William Christopher Handy, surnommé « le père du blues ». à partir de 1875 : James Bland (1854-1911) écrit plus de 700 chansons pour les spectacles de minstrels.
Celui-ci serait apparu aux États-Unis durant la guerre de Sécession dans les plantations de coton du Delta-Mississipi où les cris, les appels et les chants de travail avaient pour fonction de rythmer le labeur. C'est avant tout la musique des noirs durant l'esclavage.
Le blues est un style musical vocal et instrumental, dérivé des chants de travail des populations afro- américaines apparues au Mexique et aux États-Unis courant XXe siècle. C'est un style où le chanteur exprime sa tristesse et ses déboires (d'où l'expression « avoir le blues »).
La légende la plus connue elle celle de Robert Johnson.
A l'époque où le vaudou et les produits stupéfiants étaient très en vogue, tout le monde est persuadé que Robert Johnson a signé un pacte avec le diable, rencontré dans un lieu qui donnera son nom à l'une des grandes chansons du blues, Crossroads.
En termes de tempo, les morceaux de blues varient entre 40 et 80 bpm pour un slow blues et 120/160 pour un fast blues, le medium blues étant entre les deux.
Depuis l'origine, la guitare a toujours été l'instrument roi du blues, accompagnée parfois d'un harmonica. Le piano, la basse et la batterie ont ensuite complété la formation des orchestres, avec parfois des cuivres, nettement plus utilisés dans le jazz.
Dans les premiers temps, la seule différence entre le rythm'n blues et le rock était l'appellation qu'on leur donnait. En effet, dans la politique raciale de l'époque deux noms distincts étaient nécessaires pour distinguer la musique afro-américaine de la musique écoutée par les Blancs.
Saxophones, batterie, contrebasse, etc…
proviennent essentiellement du jazz, une musique née à La Nouvelle Orléans qui a essaimé, connu un énorme succès populaire et fortement marqué les orchestres de blues.
Le jazz apparaît à la fin du 19e siècle dans les rues de la Nouvelle-Orléans où se mélangent des musiques de diverses origines, dont les worksongs, inspirés de la tradition musicale tribale de l'Afrique de l'ouest et le negro spiritual qui donnera naissance plus tard au gospel, ainsi qu'au blues.
C'est sa force mystérieuse. Le blues est la première musique née sur le sol américain, et sa force est de témoigner à la fois de l'espoir et de la souffrance des esclaves. Jusqu'aux années 1920, l'industrie du disque était interdite aux noirs.
Le résultat est que souvent, le blues est une musique d'emotion, qui vise le cœur, et le jazz une musique qui flatte plus l'intellect. (Produite par ses structures harmoniques sophistiquées.)
Biographie The Blues Brothers
Chapeau, lunettes, cravates et costumes noirs... ce sont les Blues Brothers, emmenés par John Adam Belushi et Dan Edward Aykroyd. Leur carrière démarre à la fin des années 70 pour s'interrompre brutalement avec la mort John Adam Belushi au début des années 80.
désigne instruments qui n'est pas utilisé dans les premiers blues? Veuillez choisir au moins une réponse: A. Le bottleneck.
Ses caractéristiques principales sont : la grille d'accords (en 12 mesures), caractère plaintif, répétitif et mélancolique (douleur, tristesse, nostalgie), rythme balancé (shuffle) et l'accompagnement instrumental simple souvent constitué d'une simple guitare, puis éventuellement d'une batterie.
Le Jazz, descendant du Blues.
I/ Django Reinhart
Django Reinhart, le seul l'unique. L'artiste tsigane, « découvreur » de la guitare moderne, est devenu indissociable d'un instrument dont il n'a eu de cesse d'en repousser les possibilités sonores.
Elvis Presley est en tête de ce classement, suivi de Michael Jackson et de Céline Dion.
La légende est célèbre dans l'histoire de la musique : il existerait un accord musical capable d'invoquer le Diable : le triton. Surnommé le « Diabolus in musica », il fut totalement interdit par l'Eglise.
Ce calme face à la mort, on le retrouve tout au long du Requiem, messe pour les morts qui oscille entre accents terribles et tendres mélodies apaisantes et mélancoliques.
À partir du XVIIIe siècle, l'instrument préféré du Diable virtuose est le violon. Tartini, célèbre violoniste et compositeur de cette époque, aurait vu en songe le Diable jouant du violon avec une prodigieuse virtuosité, et aurait retranscrit la musique entendue dans sa sonate Le Trille du Diable .