Qui aime bien châtie bien, qui n'aime pas châtie encore mieux. Quand on aime, ou bien l'on n'a point de peine, ou bien l'on aime jusqu'à aimer sa peine.
Qui aime bien châtie bien. C'est faire preuve d'amour envers quelqu'un que de le punir sévèrement.
C'est une preuve d'affection que d'être dur avec quelqu'un, de souligner ses défauts. Mieux vaut souffrir d'avoir aimé que de souffrir de n'avoir jamais aimé.
Qui bene amat bene castigat est une locution latine pouvant être traduite en français par « Qui aime bien châtie bien ». Elle a été utilisée notamment comme leitmotiv dans le domaine de l'éducation.
Il puise sans doute à la source biblique des Proverbes de Salomon : « Car l'Éternel châtie celui qu'il aime, Comme un père l'enfant qu'il chérit. » (3, 12) ou « Celui qui ménage sa verge hait son fils, Mais celui qui l'aime cherche à le corriger. » (13, 24).
Punir, infliger une correction. Corriger, rendre plus correct, plus poli.
Ainsi, "Qui aime bien châtie bien" signifie que l'on punit plus justement quelqu'un lorsqu'on l'aime bien. C'est une preuve d'affection, d'intérêt, d'amitié que d'être parfois dur avec quelqu'un, de souligner ses défauts et de tenter de le corriger.
Littéraire. Infliger à quelqu'un une peine sévère, punir sévèrement : Châtier les auteurs de la révolte.
Dans l'expression "qui ne dit mon consent", le silence équivaut implicitement à donner son accord, en d'autres termes, l'absence d'objection correspond à une acceptation.
Quand tu lances la flèche de la vérité, trempe toujours la pointe dans du miel. Le jour de grand vent, on mange les fruits du grand karité. Celui qui veut faire quelque chose trouve toujours des moyens, mais celui qui ne veut rien faire trouve toujours des excuses.
(Familier) Se moquer gentiment de quelqu'un, le tourner en dérision.
"L'habit ne fait pas le moine" : l'origine de l'expression pourrait vous surprendre ! C'est un adage peu contredit : "L'habit ne fait pas le moine". Autrement dit : les apparences sont parfois trompeuses.
Vindicatif. Dans le but de sévir. Régressif. Répressif.
La vulgarité est ce qui caractérise le langage et le comportement du bas peuple, aux yeux de ceux qui estiment ne pas en faire partie, mais de nos jours il est très similaire à la grossièreté.
Locution nominale
(Familier) Façon de parler vulgaire.
Familier. Tenir quelqu'un à l'écart pour essayer de le convaincre et l'empêcher de subir d'autres influences ; se moquer de lui.
Agacer, harceler gentiment. Agacer, contrarier, par plaisanterie et sans méchanceté.
"Au cas où" sert à exprimer une éventualité. Cette locution soulève une hypothèse. Elle peut être employée seule ou introduire une proposition au conditionnel ou au subjonctif. Exemple : Prends ton sac, au cas où.
“On s'attache souvent moins à la femme qui touche le plus qu'à celle qu'on croit le plus facilement toucher.” “La beauté touche les sens et le beau touche l'âme.” “Nombreux sont opiniâtres en ce qui touche la voie une fois prise, peu en ce qui touche le but.”
La beauté est dans les yeux de celui qui regarde. Le courage n'est pas l'absence de peur, mais la capacité de vaincre ce qui fait peur. Fais de ta vie un rêve, et d'un rêve, une réalité. Le souvenir, c'est la présence invisible.
Une vie, c'est fait avec l'avenir, comme les corps sont faits avec le vide. Il vaut mieux rêver sa vie que la vivre, encore que la vivre, ce soit encore la rêver. La vie, c'est comme un autobus ; quand tu te retournes, tu t'aperçois qu'il y en a déjà beaucoup qui sont descendus.
Ce proverbe trouve son origine dans le Talmud. Le Talmud («étude») est l'un des textes fondamentaux du judaïsme rabbinique.
Qui ne dit rien consent, mais qui consent à tout sans rien dire est une belle lavette, un bon à tout et un propre à rien. Celui qui ne dit mot ne consent pas toujours; il peut choisir délibérément de se taire ou de passer outre. La volonté ne consent au mal que par crainte de tomber dans un mal plus grand.