Pourquoi Léonard de Vinci écrivait-il en miroir ? L'
Il n'est un secret pour personne que Léonard de Vinci était gaucher et qu'il écrivait de façon inversée de droite à gauche et en miroir. Le lecteur pour le comprendre devait utiliser un miroir qui redressait ainsi l'écriture dans ce que l'on appelle le « bon sens ».
Egalement connue sous le nom d'écriture spéculaire, il s'agit en réalité d'une forme d'écriture où les mots s'écrivent dans l'ordre inverse du mode de lecture normal, avec une inversion graphique latérale des lettres. En d'autres termes, l'écriture en miroir est une écriture correcte, mais à l'envers.
Léonard de Vinci a rédigé ses notes en toscan selon ce procédé.
Pourquoi Léonard de Vinci écrivait-il en miroir ? L'écriture spéculaire, dite aussi « en miroir » de Léonard n'était pas destinée à coder ses écrits mais venait du fait qu'il était ambidextre, avec une nette préférence pour la main gauche.
Cela permet, par exemple, à une personne de reconnaître le faciès d'un compère sans avoir besoin de discerner le profil de chaque côté. Or, du coup, cela veut dire que si les symboles, chiffres et lettres s'inscrivent dans le cerveau, elles ne sont pas nécessairement orientés.
Parmi les langues les plus populaires lues de droite à gauche, on trouve l'arabe, le farsi, l'ourdou et l'hébreu. Certaines langues peuvent être écrites dans plus d'un système d'écriture. Par exemple, le chinois traditionnel s'écrit en colonnes verticales qui se lisent de haut en bas.
Selon cette théorie, si l'enfant écrit spontanément en miroir, souvent sans s'en rendre compte, c'est que son système visuel le « force à symétriser les objets qu'il voit » (Dehaene, 2007, p. 346).
La dysgraphie est un trouble qui affecte l'écriture et son tracé (du grec dus- difficulté et graphein- écriture). L'écriture manuelle est soit trop lente, soit illisible, soit fatigante, demandant dans tous les cas un effort cognitif majeur.
Des textes étaient rédigés de gauche à droite, mais la majorité l'était de droite à gauche pour une raison technique : les scribes écrivaient assis en tailleur sur des rouleaux de papyrus. De leur main droite, ils tenaient le calame (roseau) et de la gauche le rouleau de papyrus qu'ils dépliaient au fur et à mesure.
Léonard écrivait ses textes sous divers formats, généralement en fonction du papier qu'il avait à disposition et de l'objectif poursuivi. Ce sont parfois les carnets qu'il portait toujours sur lui pour prendre des notes : « Emporte avec toi un petit carnet pour y noter ces observations », conseillait-il.
La dyspraxie est une perturbation de la capacité à effectuer certains gestes et activités volontaires (nommé "praxie"). Ce trouble des apprentissages résulte d'un dysfonctionnement de la zone cérébrale qui commande la motricité. La dyspraxie est fréquente et touche 5 à 7% des enfants de 5-11 ans.
Le trouble primaire du langage oral, ou la dysphasie, est un trouble neurodéveloppemental du langage qui affecte la compréhension et/ou l'expression d'un message verbal, peu importe la modalité de présentation, langage oral ou écrit. La dysphasie est un trouble.
Comme la dyslexie, la dysorthographie ou la dyscalculie, la dysgraphie est un trouble du langage écrit et scolaire. Une prise en charge orthophonique peut traiter les enfants dysgraphiques.
Il inverse des lettres ou orthographie des mots de trois ou quatre façons différentes à l'intérieur du même paragraphe. Il souffre peut-être de dysorthographie. Selon la définition officielle, la dysorthographie est un trouble persistant de l'acquisition et de la maîtrise de l'orthographe.
Gardez à l'esprit que la plupart des enfants commencent à former des lettres majuscules autour de 4 ans, pour n'apprendre à écrire à proprement parler qu'à partir de 6 ans. Il est donc important de ne pas brûler les étapes et de rester attentif au rythme de développement de votre enfant !
Traditionnellement le Japonais s'écrit de haut en bas et de droite à gauche, mais il est de plus en plus courant qu'ils s'écrivent et se lisent de gauche à droite et de haut en bas [comme en français].
Droite (adjectif au féminin) :
Linéaire une écriture droite. Le contraire du côté gauche (pour décrire un nom féminin) la jambe droite, l'oreille droite, la sortie droite.
L'écriture de l'histoire se place du côté du pouvoir ; elle a un pouvoir. Pouvoir de l'institution scientifique au sens où Pierre Bourdieu pouvait l'entendre, mais aussi pouvoir d'exemplarité morale. C'est d'ailleurs autour de cette notion et de cette responsabilité que s'organise toute mise en récit de l'histoire.
Vu de face, à l'avant d'un véhicule d'intervention, le mot « ambulance » est écrit à l'envers. Curieux, mais ce n'est pas une fantaisie. Ce type d'affichage, appelé « effet miroir », est, de fait, destiné à faciliter l'identification du véhicule de secours par les automobilistes qui le précèdent.
Ainsi, la vision en miroir n'est pas du tout un défaut, mais une fonction tout à fait normale du cerveau. Naturellement, l'enfant va réorienter les lettres et les chiffres grâce à un affinement de sa perception visuelle et ainsi, l'écriture en miroir disparaîtra naturellement.
Celui qui me répond ''c'est pour que ce soit lu depuis le ciel par les hélicoptères !'' peut sortir immédiatement ! Non, c'est bien évidemment pour que ce mot soit lu à l'endroit dans le miroir du rétroviseur de la voiture qui précède l'ambulance. Tout simplement !
La dyscalculie est un trouble d'apprentissage des mathématiques. Il ne s'agit pas d'une déficience mentale. L'enfant dyscalculique a de la difficulté à comprendre et à utiliser les chiffres. Des professionnels comme un orthophoniste ou un orthopédagogue peuvent aider l'enfant.
Le terme « dysarthrie » évoque un dysfonctionnement neurologique qui perturbe l'exécution de la parole. Il est plutôt utilisé pour parler de troubles acquis (par opposition à un trouble développemental).