C'est pourquoi les Muses vont s'identifier à des genres littéraires ou artistiques précis dont elles deviennent les patronnes : Calliope, Muse de l'éloquence et de l'épopée, Clio, Muse de l'histoire, Erato, Muse de la poésie lyrique et chorale, Euterpe, Muse de la danse et de la poésie amoureuse, Melpomène, Muse de la ...
Calliope (qui signifie en grec « À la belle voix ») est l'aînée des muses. Elle est muse de la poésie dans l'histoire d'aventure héroïque (comme l'Iliade et l'Odyssée) et quelquefois de l'éloquence, c'est-à-dire de la manière de bien parler. Elle est la fille de Zeus et de Mnémosyne (déesse de la mémoire).
La seconde version avance le nombre de neuf filles: Clio, muse de l'histoire; Euterpe, muse de la musique; Thalie, muse de la comédie; Melpomène, muse de la tragédie et du chant; Terpsichore, muse de la danse; Érato, muse de l'élégie; Polymnie, muse de la poésie lyrique; Uranie, muse de l'astronomie; Calliope, muse de ...
Apollon (en grec ancien Ἀπόλλων / Apóllôn, en latin Apollo) est le dieu grec des arts, du chant, de la musique, de la beauté masculine, de la poésie et de la lumière.
Clio : la muse de l'histoire, elle est couronnée de laurier et porte une trompette et un Volumen (sorte de papyrus pour l'écriture).
Derrière lui et hors de son champ de vision se dresse Terpsichore, muse de la danse, des chœurs dramatiques et de la poésie lyrique.
Dans la mythologie grecque, Calliope (en grec ancien Καλλιόπη / Kalliópê, « belle voix ») était la Muse de la Poésie épique.
La toute première poétesse connue est Enheduanna, une poétesse sumérienne, notamment auteure d'hymnes. Dans l'Antiquité grecque, toute expression littéraire est qualifiée de poétique, qu'il s'agisse de l'art oratoire, du chant ou du théâtre : tout « fabricant de texte » est un poète comme l'exprime l'étymologie.
C'est au Moyen Âge qu'apparaît le mot « poète » par Machault vers 1370-1400. C'est aussi au Moyen Âge que naît le sonnet (XIIe siècle). La poésie est, au Moyen Âge, le genre littéraire le plus prestigieux.
Pan est le dieu des bergers et des troupeaux ; il veille à leur fécondité. Son front porte deux cornes, son torse velu est humain, et ses membres inférieurs sont ceux d'un bouc. Dans l'Hymne homérique qui lui est dédié, la nymphe (Dryopè) qui le mit au monde prit peur à sa vue et l'abandonna.
Les Muses sont les filles de Zeus et de Mnémosyne. Elles sont au nombre de neuf. Elles sont une source d'inspiration pour les artistes depuis l'Antiquité. Elles sont souvent représentées en présence d'Apollon.
Étymologie. (Nom 1) Antonomase de Muse, du latin Musa , venant du grec ancien Μοῦσα , Moûsa, du latin mos , moris (« mœurs, ce qu'il convient de faire »).
Dans la mythologie grecque, Clio (en grec ancien Κλειώ / Kleiố, de κλέω / kleô, « célébrer, chanter »), fille de Zeus et de Mnémosyne (déesse de la mémoire), est la Muse de l'Histoire.
Les neuf muses sont les filles de Zeus et de Mnémosyne (titanide déesse de la mémoire) et sont devenues de belles sources d'inspiration pour tous les arts. Les Muses amusaient les Dieux sur le Mont Olympe, entourées du dieu Apollon avec sa lyre.
Elles servent d'intermédiaires entre les artistes et les dieux avec chacune une spécialité. Exemple : Parmi les neuf Muses grecques, on peut citer Clio, Muse de l'histoire ou Melpomène, Muse de la tragédie.
Les Muses chantaient et dansaient pendant les fêtes organisées par les dieux et pour les héros. Elles accompagnaient Apollon. Elles inspiraient aussi les poètes. Leurs récits commençaient souvent par une invocation aux Muses, comme l'Illiade et l'Odyssée d'Homère.
Guillaume Apollinaire : le père de la poésie moderne.
Ces vers ouvrent « El Desdichado », le poème le plus célèbre de Nerval, qui offre la représentation d'un poète romantique et inconsolé. « El Desdichado » est un personnage emprunté à Walter Scott, « déshérité », « dépossédé de son château.
François Villon se distingue comme étant le premier grand poète lyrique, en apportant dans ses œuvres les notions de mort, de remords et d'évocation du passé. Au début de la Renaissance, le mouvement prend de l'ampleur et se dépeint notamment à travers les poètes membres de la Pléiade, comme Du Bellay ou Ronsard.
Pour Victor Hugo, la poésie est entrevue comme un moyen privilégié pour partager aussi bien sa pensée que sa visions des choses, bien qu'il écrive dans la Préface de Cromwell que : « ces choses sont d'ordinaire fort indifférentes aux lecteurs ».
Dans la mythologie grecque, Polymnie ou Polhymnie (en grec ancien Πολυμνία / Polymnía ou Πολύμνια / Polymnia) est la Muse de la Rhétorique, donc de l'éloquence. On lui prêtait la faculté d'inspirer les aèdes et auteurs des poèmes et des récits les plus admirables.
Dans la mythologie grecque, Mélété (en grec ancien Μελέτη / Melétê) était l'une des trois Muses d'origine (béotiennes), filles de Mnémosyne, même si elles furent plus tard neuf. Ses sœurs étaient Aédé et Mnémé.
Dans la mythologie grecque, les Muses (grec Μοῦσαι / Moûsai) sont les neuf filles de Zeus et de Mnémosyne qui présidaient aux arts libéraux.