Le nom de Dieu le plus fréquent dans la Bible juive est Yahvé (qui signifie « il est » en hébreu). Il s'écrit encore YHWH, forme consonantique imprononçable, car les Hébreux croyaient à l'interdiction de prononcer le nom sacré de Dieu. Ils évitaient aussi ce sacrilège en l'appelant Seigneur (Adonaï).
Yahweh est une divinité nationale ou ethnique vénérée dans les royaumes d'Israël et de Juda. Son sanctuaire principal est le premier temple de Jérusalem. Dans la Bible hébraïque, Yahweh (YHWH) est présenté comme le Dieu national des enfants d'Israël.
À cette époque, les gens croient en plusieurs dieux. Or, Abraham reçoit d'un dieu unique la promesse d'être guidé vers une terre, en échange de sa foi. C'est la naissance du judaïsme, première religion monothéiste. Abraham suit l'ordre de Dieu et part avec les siens.
Dieu dit à Moïse : « Je suis qui je suis/Je serai qui je serai » (Exode 3, 14) ; Yahvé est celui qui est ou qui fait être, donc le créateur. D'autres chercheurs pensent que ce terme est issu d'une racine qui veut dire souffler, faire venir le vent.
Dans ce mode de vie, le rabbin est un docteur de la Loi qui guide l'existence quotidienne des gens grâce à sa connaissance de la Torah. Cependant, le judaïsme ne se limite pas à la prière, à la synagogue, aux jeûnes et aux fêtes.
Pour partir à la découverte des origines du judaïsme, il faut se rendre en Israël, et plus précisément dans le désert du Proche-Orient. Il faut aussi remonter le temps et revenir à plus de 3000 ans avant notre ère.
La Bible hébraïque : « Le mot Torah est formé à partir d'une racine hébraïque yarah qui signifie "enseigner". Torah désigne d'abord les cinq premiers livres de la Bible ou Pentateuque, mais aussi le rouleau de parchemin sur lequel est copié le texte de la Torah, et par extension, tous les écrits sacrés du judaïsme.
Certaines traductions chrétiennes de la Bible l'ont parfois transcrit par « Yahvé », « Yahweh », « Jéhovah » ou « Jéhova ». Depuis la Bible d'Olivétan, parue en 1535, la plupart des traductions protestantes retiennent le terme « l'Éternel ».
Ce nom on le connaît par la Bible et par les documents profanes. Il est composé de quatre consonnes dans les langues sémitiques : YHWH. C'est par suite d'une vocalisation factice que naquit " le vocable hybride Jéhovah ".
34Swinburne parle de Dieu comme d'une personne sans corps, éternelle, libre, capable de tout faire, qui sait tout, est parfaitement bonne, est l'objet approprié de la louange et de l'obéissance humaines, créateur et celui qui soutient l'existence de l'univers.
La principale source de la foi juive est la Bible dite hébraïque (correspondant, pour l'essentiel, à ce que les chrétiens appellent l'Ancien Testament), qui se compose de 24 livres. Elle se divise en trois parties : la Loi de Moïse ou Pentateuque (Torah), les Prophètes (Nebiim) et les Écrits ou Hagiographes (Ketoubim).
Le judaïsme (du grec ancien Ιουδαϊσμός / ioudaïsmós, en yiddish : יידישקייט yiddishkeit, ladino : ג'ודאיסמו Djudaismo, en allemand : Judentum, hébreu : יהדות yahadout) est variablement défini comme « une forme de vie religieuse dont la caractéristique essentielle est la croyance à un Être suprême, auteur — de quelque ...
Dès lors, les vagues d'immigration vers la Palestine s'intensifient et les Juifs se mobilisent pour la création d'un foyer national. Sous mandat britannique à partir de 1920, la Palestine est finalement partagée par l'ONU en 1947 avant que David Ben Gourion ne proclame l'indépendance d'Israël en 1948.
Nom : Moïse ben Amram, de la tribu de Lévi. Né : vers 1280 av. J. -C., en Egypte.
L'araméen est surtout connu comme la langue de Jésus. Cette langue sémitique, originaire de la région du cours moyen de l'Euphrate, avait essaimé jusqu'en Syrie et en Mésopotamie entre 800 et 600 avant Jésus- Christ.
Au XVe siècle, lorsque Gutenberg imprime la Bible, les autorités religieuses affirment que c'est Dieu lui-même qui a dicté les textes à des prophètes, à commencer par Moïse pour le Pentateuque, soit les cinq premiers rouleaux de l'Ancien Testament qui correspond à la Torah juive.
Dans les Évangiles, Jésus révèle avoir une relation très particulière avec Dieu, qu'il appelle « Père ».
Ce nom est cher aux chrétiens. Jésus-Christ est lui-même appelé Seigneur (Kurios), plus de cent fois dans le Nouveau Testament. Et ce titre n'est pas employé du Christ dans un sens humain. En fait, celui qui est le Seigneur de tous, s'est fait le serviteur des humains (Phil.
Le nom d'Allah vient de al-Ilah, qui signifie le Dieu ; dès avant l'islam, il paraît avoir désigné le dieu suprême à La Mecque. Dans la pensée islamique, Allah est le maître du monde et de la vie, bienfaiteur et miséricordieux mais aussi juge qui rendra au jour du Jugement à chacun selon ses œuvres.
Ainsi, la forme Yeshoua (ישוע) est souvent employée dans les traductions du Nouveau Testament en hébreu. Le nom Yeshoua est aussi utilisé dans des textes historiques d'hébreu israélites pour parler d'autres Joshua mentionnés dans des textes en grec comme Jésus ben Ananias ou Jésus ben Sira.
Jésus, en grec Ἰησοῦς / Iēsoûs, vient de Yehoshua (hébreu : יהושע), à travers sa forme abrégée Yeshua (hébreu : ישוע). Yeshua signifie « Sauveur » et Yehoshua est un nom théophore qui signifie : « Dieu (YHWH) sauve ».
Le Messie (χριστός / Christos en grec ancien), « l'oint du Seigneur » est annoncé par l'Ancien Testament du judaïsme. La plupart des chrétiens reconnaissent Jésus-Christ comme le Fils unique de Dieu et comme l'une des trois personnes du Dieu trinitaire. Sa mère est Marie de Nazareth.
Étymologiquement, la kabbale est une " tradition " faite de deux mouvements de sens contraire : d'une part, une révélation par laquelle Dieu se penche vers l'homme ; d'autre part, une adhésion de l'homme qui accepte la main tendue par Dieu et s'efforce de monter (ou, comme le disent souvent, non sans profondeur, les ...
La Torah est écrite en hébreu, la langue sacrée des juifs qu'ils utilisent aussi lors des prières et des offices. Ce texte sacré, qui fait partie de la bible hébraïque, est composé de cinq livres eux-mêmes divisés en 54 péricopes.
La lecture se fait en présence d'un minyan, un quorum de dix personnes. Chez les Juifs orthodoxes, il s'agit de dix hommes ; dans le Judaïsme réformé, ce minyan peut être mixte.