Les oiseaux, insectivores comme les hirondelles les attrapent en vol. L'hiver, les piverts font des trous dans les ruches et se nourrissent des abeilles. Le froid amené par ces trous achève de tuer la colonie. Les «ours» très friands de miel, font de gros dégâts dans les ruchers.
Le frelon asiatique, un prédateur des plus virulents, surtout au sud de la France. Le guêpier d'Europe sévit dans les régions méditerranéennes et s'attaque aux reines à l'extérieur du rucher. À l'intérieur, il stoppe carrément l'activité des abeilles.
1 Le frelon asiatique, principal prédateur de l'abeille
Originaire d'Asie, le frelon asiatique (Vespa velutina) est un insecte carnivore. Il se nourrit de nombreux insectes comme les araignées, les papillons, les chenilles ou les mouches.
LES PRÉDATEURS NATURELS
Les guêpes (philanthe apivore,…) et frelons européens (vespa crabo) chassent les abeilles pour nourrir leurs larves. Le frelon asiatique (vespa velutina) consomme l'abdomen des abeilles et détruit nombre de colonies.
Quels sont les animaux qui mangent les abeilles ? Les prédateurs des abeilles sont le guêpier, l'hirondelle, la mésange, le pivert, les lézards, gris ou verts et aussi la guêpe et le frelon.
Elle peut faire de gros dégâts. On peut citer aussi le «cétoine» ou «scarabée», qui aime le miel. Le « dermeste», friand de lard s'attaque quelquefois à la cire, le «mutila europea» parasite des colonies.
Beaucoup d'oiseaux prennent les abeilles au vol et les mangent. Ce sont surtout les hirondelles et les mésanges.
Un prédateur féroce
Les abeilles sont stressées et perturbées par ce prédateur et luttent pour protéger leur habitat. Si le frelon asiatique représente une menace évidente pour les abeilles, il peut être également dangereux pour l'homme.
Certains rapaces, le blaireau ainsi que l'oiseau portant le joli nom de guêpier d'Europe sont des prédateurs des guêpes.
Parmi elles, on peut citer l'acétamipride, le dinotéfurane, le nitenpyrame, le thiaméthoxame, le thiaclopride ou encore la clothianidine. En peu de temps, les néonicotinoïdes sont devenus les insecticides les plus utilisés dans le monde.
La guêpe est plus agressive que l'abeille et peut piquer plusieurs fois à intervalles rapprochées. Son dard est rétractable et lisse, il ne s'accroche pas quand il pénètre dans la peau, il n'y a donc aucun risque de mort après la piqûre. Seule la femelle pique car son dard fait partie de son appareil de reproduction.
L'orque, elle, n'a personne à sa droite : c'est une prédatrice, qui n'a elle-même aucun prédateur : c'est elle qui est la superprédatrice.
Avec cette méthode, au lieu d'utiliser un appât, vous utilisez un répulsif naturel. L'odeur de la citronnelle ou de la menthe repousse les abeilles qui n'aiment pas leurs odeurs.
« Si l'abeille disparaissait de la surface du globe, il ne resterait plus que quatre ans à l'homme, aurait affirmé Albert Einstein (1879-1955). Plus d'abeilles, plus de pollinisation, plus de plantes, plus d'animaux, plus d'homme. » La véracité de la citation n'est pas confirmée. La prophétie, elle, se précise.
Le déclenchement de l'attaque collective
Les ouvrières veillent sur leur colonie en harcelant et piquant celui qui est repéré comme une menace (un animal, un être humain). L'attaque collective est déclenchée par les phéromones libérées par l'abeille « lanceuse d'alerte » (celle qui a la première repéré le danger).
Tout comme son cousin, le frelon asiatique (Vespa velutina), ce frelon géant également en provenance d'Asie, fait craindre le pire aux apiculteurs, puisqu'il est un redoutable tueur d'abeilles, sans compter que ses piqûres pour l'homme sont dangereuses.
Le faux bourdon (abeille mâle) est incapable de se nourrir seul ; il doit donc quémander sa nourriture aux ouvrières (abeilles femelles). En cas de problème alimentaire dans la colonie, les faux bourdons sont les premiers sacrifiés.
En effet, » Toutes les études scientifiques concernant le piégeage de printemps contre Vespa velutina (NDLR : nom scientifique du frelon asiatique), ont montré que plus de 99% des insectes capturés concernaient d'autres espèces.” En voulant tuer les frelons asiatiques vous risquez de cibler d'autres espèces non ...
Les abeilles préfèrent les fleurs qui n'ont qu'une rangée de pétales: elles ont plus de pollen et celui-ci est plus accessible. Les couleurs qui les attirent le plus sont le violet, le bleu, le jaune.
Pour attirer les abeilles, il est conseiller de laisser pousser dans une portion de votre jardin, des fleurs sauvages aussi appelées « mauvaises herbes » qu'elles adoreront butiner pour se nourrir. Elles offrent aux pollinisateurs les ressources dont elles ont besoin : le nectar et le pollen.
Les bourdons ne produisent qu'une petite quantité de miel, qu'ils mangent eux-mêmes. Ce sont les abeilles mellifères qui en produisent beaucoup, soit en quantité suffisante pour que les apiculteurs le recueillent afin que nous le consommions.
L'abeille récolte ainsi dans la nature nectar, propolis, miellat et pollen. En butinant, l'abeille assure également la pollinisation, c'est-à-dire le transport du pollen permettant la reproduction des plantes.
Le chant est le plus souvent émis par la première reine vierge éclose pour annoncer sa présence à la colonie. S'il y a d'autres cellules royales prêtes à éclore dans la ruche, les autres reines vierges – souvent empêchées d'éclore par les ouvrières – peuvent y répondre de l'intérieur de leur cellule.