Qui s'attache à ce qui est petit, médiocre, aux détails infimes sans considération de l'ensemble; qui manque de grandeur, d'élévation, de générosité. Synon. bas, borné, étroit, médiocre; anton. généreux, noble.
Synonyme : bas, étriqué, étroit, médiocre, minable, petit. – Familier : miteux, moche.
Étymologie. ( XVII e siècle) De l'italien meschino ou de l'espagnol mezquino, tous deux issus de l'arabe مسكين , miskīn (« pauvre »), lui-même issu de l'akkadien 𒈦𒂗𒆕 , muškēnu/muškēnum (« celui qui se prosterne, se soumet »), traduit en urartéen par mesken (le soumis).
Qui est moqueur, malicieux ou railleur. Un sourire narquois.
Est mesquin tout ce qui manque de noblesse, de distinction, de bonté d'âme et de largeur d'esprit. Le terme s'est étendu à tout ce qui est sans valeur, bas et petit. Le terme viendrait d'un mot akkadien signifiant "qui se prosterne". Exemple : C'est vraiment mesquin.
vaniteux, vaniteuse
Qui s'admire soi-même et demande l'admiration des autres pour ses qualités réelles ou supposées.
Étymologie de « merki »
(Date à préciser) Dérivation du mot merci empruntée au personnage récurrent de Micheline (Mikeline)[1] dans l'un des sketchs de Elie Semoun (par exemple dans son spectable "Merki" 2009 [2]), qui prononce les sons s et ch comme des k. De là, notamment, la dérivation de merci en merki.
xixe siècle. Dérivé d'amocher, lui-même dérivé de l'ancien substantif moche, « écheveau de fil non tordu, vendu en gros paquet ». Pop. Qui est laid, disgracieux, déplaisant, inélégant.
cupide. 1. Avide d'argent ; rapace : Administrateur cupide.
218. − Qui témoigne d'un esprit étroit, médiocre. Dans son regard borné se lisait une obstination impatiente; un regard furtif, borné et sévère (R.
parcimonie
Épargne, économie minutieuse : Distribuer l'argent de poche avec parcimonie. 2. Action de mesurer quelque chose au compte-gouttes, en s'en tenant au minimum : Faire des éloges avec parcimonie.
Personne qui se moque. Synonyme : farceur, persifleur, pince-sans-rire, plaisantin, railleur. – Familier : blagueur, chineur.
➙ blagueur, goguenard, gouailleur.
altruiste adj. et n. Qui se soucie du bien d'autrui d'une manière désintéressée.
— Mouais, mouais.
Locution conjonctive
Dans l'éventualité où ; à supposer que.
Difficultés. L'adverbe et pronom relatif où s'écrit avec un u accent grave, ce qui le distingue de la conjonction ou. Où peut marquer le lieu aussi bien que le temps : c'est le café où nous avions rendez-vous ; par où êtes-vous entré ? ; le jour où nous l'avons rencontré ; c'est l'année où j'étais aux États-Unis.
Différence entre orgueil et vanité
Ainsi l'orgueil est la haute estime de soi-même, procédant de l'intérieur, donc directe ; la vanité, au contraire, est la tendance à l'acquérir du dehors, donc indirectement. C'est pourquoi la vanité rend causeur ; l'orgueil, taciturne.
présomptueux, présomptueuse
Qui a une idée trop avantageuse de soi-même, qui a une confiance excessive en soi.
Contraire : humble, modeste, simple.
Qui trompe avec perfidie. Synonyme : chafouin, déloyal, dissimulateur, dissimulé, faux, hypocrite, indélicat, jésuite, malhonnête, perfide, sournois, tortueux, traître, trompeur.
ou adv.] Pronom, adverbe relatif désignant le lieu au propre ou au figuré et secondairement le temps. 1. a) [L'antécédent désigne un lieu, au propre ou au fig.]
Sardonique signifie sarcastique. Cet adjectif est employé pour désigner un comportement humain, une expression du visage ou de la voix. Ainsi, un rire ou un sourire sardonique traduisent une moquerie voire de la méchanceté.