Hatchepsout est l'une des premières femmes pharaons de l'Égypte antique. Cette statue d'Hatchepsout représente cette dernière avec une crinière de lion et une barbe de pharaon.
Cléopâtre, Nefertiti, Hatchepsout... Lorsqu'on évoque l'Egypte de l'antiquité, les premières images qui viennent à l'esprit sont celles de ces femmes puissantes qui ont autant marqué leur temps et la postérité que les hommes qui furent leurs contemporains, si ce n'est plus.
L'Égypte (en arabe : مصر / miṣr ; en arabe égyptien : مصر / maṣr masˤɾ), en forme longue la république arabe d'Égypte (en arabe : جمهورية مصر العربية) / jumhuriyat misr al arabiya, est un pays transcontinental se trouvant en Afrique du Nord-Est et, pour la péninsule du Sinaï, en Asie de l'Ouest.
Les anciens Egyptiens, des Nègres
Ils ajoutent que l'écriture a pris naissance en Ethiopie. En résumé, les anciens Egyptiens appartenaient à une race africaine (Négre) qui d'abord établie en Ethiopie est venue s'installer en Egypte en suivant le cours du Nil.
En tout état de cause, selon les chercheurs, les longs os des bras et des jambes indiquent clairement une taille très au-dessus de la moyenne, estimée à 1,87 mètre. Les pharaons étaient certes mieux nourris que le peuple, mais cela n'en reste pas moins inhabituel, écrivent les scientifiques zurichois.
Selon les listes royales compilées par les Anciens Égyptiens, le fondateur de la Ire dynastie et du Royaume égyptien est le pharaon Mény.
Une femme au pouvoir
La reine Hatchpsout est la seule femme à avoir gouverné l'Egypte, en son propre nom, pour une période aussi étendue, près de 15 ans. Couronnée en l'an 7, elle célèbre en effet en l'an 16 un jubilé royal (cérémonie à laquelle les rois d'Egypte procédaient pour régénérer symboliquement leur pouvoir).
Résumé Les Ptolémées d'Alexandrie sont les derniers pharaons d'Egypte.
Piye devient le premier empereur de la 25e dynastie d'Égypte (v. 770-656 av. J. -C.), la dynastie des « pharaons noirs ».
L'étymologie du terme « pharaon » puise ses origines dans la langue égyptienne où l'expression per-âa signifie littéralement « la Grande (aâ) Maison (per) », c'est-à-dire le palais royal en tant qu'institution politique suprême de l'Égypte antique.
Le brun est la couleur de la peau des Égyptiens et des Égéens, les Nubiens et les Soudanais étant noirs. On distingue régulièrement l'homme de la femme en rendant la peau de l'homme plutôt en brun-rouge, et celle de la femme en ocre pâle.
Conclusion, les Égyptiens n'étaient pas «noirs». À l'exception d'une seule dynastie mal connue (la 25e dynastie, au huitième siècle avant Jésus-Christ), les pharaons étaient donc ethniquement proches des populations phéniciennes, comme l'ensemble de la région avant les grandes migrations arabes.
Vandaliser ces œuvres avait donc pour but de « désactiver la force d'une image », explique Edward Bleiberg. Sans son nez, la figure humaine ne peut plus respirer. Elle est ainsi « assassinée » et ne peut plus remplir son rôle de protecteur.
1. Les Egyptiens étaient noirs. Ni noirs ébène, comme les décrivent les adeptes de la mouvance afrocentriste, qui réclament la reconnaissance par les historiens d'une « Egypte nègre », ni blonds aux yeux bleus. Les Egyptiens étaient mats aux cheveux bruns, comme leurs descendants méditerranéens.
La momification a marqué de son empreinte la période de l'Egypte antique. Ramsès II, le pharaon le plus célèbre de l'Histoire, a lui aussi connu cette destinée.
Elle démarre environ 3150 avant J. -C., au même moment que les premiers hiéroglyphes, des écritures imagées. A cette époque, un roi prénommé Narmer décide d'unir le nord et le sud de l'Égypte pour former un seul royaume et le diriger. Et, il le fait !
L'identité du Pharaon présent dans le récit de Moïse a fait l'objet d'un important débat, mais de nombreux universitaires ont tendance à s'accorder sur le fait que l'Exode fait référence au roi Ramsès II.
Appartenant à la famille des langues afro-asiatiques, l'égyptien, une langue sémitique aujourd'hui morte, s'apparente à l'arabe et à l'hébreu. Les Égyptiens pouvaient l'écrire en hiéroglyphes ou en écriture hiératique. Les hiéroglyphes (du grec, écriture sacrée) ornaient les tombes et autres murs de temples.