En 1917, Félix d'Hérelle découvre un microbe qui tue le bacille de la dysenterie. Il le baptise « bactériophage », mangeur de bactéries. Dans les années 1920 et 1930, la thérapie par les phages devient très populaire.
Le rôle des macrophages est d'ingérer et tuer les micro-organismes.
Les bactéries se nourrissent de matières organiques : sucres, amidon, cellulose, protéines, matières grasses, hydrocarbures… Elles fabriquent des enzymes qui vont permettre la dégradation (destruction) des macromolécules (grosses molécules) et leur transformation en molécules simples pour utiliser leur nourriture.
Les nutriments présents dans l'aliment : les bactéries aiment les aliments riches en nutriments et en vitamines comme les œufs, la viande, le poisson, les produits laitiers… Le temps : si toutes les conditions propices au développement d'une bactérie sont réunies, elles peuvent se développer en 20 à 30 minutes.
Les bactéries sporulantes résistent à des températures supérieures à 65 0C, donc à la pasteurisation, mais sont détruites par autoclavage à 120 0C pendant dix minutes. La spore bactérienne est une endospore.
Des bactéries comme les streptocoques peuvent survivre sur des surfaces sèches pendant des périodes allant de 3 jours à plus de 6 mois.
Où trouve-t-on les bactéries ? Les bactéries sont absolument partout : dans l'eau, la terre, les plantes, l'air, la nourriture, la peau, la bouche, les intestins… Nous vivons à leur contact en permanence !
La spécialiste préfère donc transformer la question d'Antoine en : "Où a-t-on le plus de bactéries dans le corps ?" La réponse est bien évidemment sans appel : "C'est dans l'intestin, c'est dans tout ce qu'on appelle le tractus gastro-intestinal.
Dans l'air, les microbes ont tendance à proliférer entre 10°C et 50°C, surtout dans les environnements humides ; À partir de 60°C, la chaleur tue une partie des microbes (avec un lavage en machine par exemple) ; À partir de 120°C, la vapeur d'eau tue également les microbes (avec un fer à repasser par exemple).
BACTÉRIES. Les infections bactériennes peuvent être des otites, angines, infections de la peau (panaris, abcès…), diarrhées, infections urinaires et génitales. La prescription d'antibiotiques peut être nécessaire pour lutter efficacement contre la bactérie impliquée.
Les virus sont des microbes, c'est-à-dire des “petits êtres vivants”. Ils ne se voient pas à l'œil nu et provoquent des maladies. Les bactéries sont également des microbes mais il ne faut pas les confondre car leur mode d'action est complètement différent.
La bactérie est un micro-organisme ubiquiste, unicellulaire et sans noyau (procaryote) dont le génome est constitué d'ADN. Celui-ci consiste en un seul chromosome, et on note éventuellement la présence de plasmides (petit morceau d'ADN circulaire). L'ensemble des bactéries forme le règne des eubactéries (Eubacteria).
Il est possible que le cuivre attaque la membrane des bactéries, soit toxique pour elles ou se lie avec une enzyme dans le but d'inhiber leur développement. Quoi qu'il en soit, il est devenu au fil du temps le meilleur matériau sanitaire pour limiter la propagation des infections bactériennes.
Saviez-vous que votre nombril est la partie la plus sale du corps ? A cause de sa difficulté d'accès, il reste sale même après la douche, rappelle le site Reader's digest. A moins d'y mettre les doigts pour le nettoyer avec de l'eau chaude et du savon, évitez de toucher à votre nombril.
1. L'éponge de la cuisine.
Une étude publiée le mois dernier vient cependant réévaluer ce rapport à environ 1:1, en estimant le nombre de bactéries du corps humain à 3,8.1013, et le nombre de cellules humaines à 3,0.1013 (valeurs pour un homme de 70 kg et de 170 cm).
Diagnostic de la bactériémie
Le prélèvement de sang est mis en culture (d'où le terme d'hémoculture, « culture du sang ») afin d'identifier le ou les bactéries responsables et de déterminer quelle est leur sensibilité à divers antibiotiques.
La bactérie, un staphylocoque blanc dont le nom savant est Staphylococcus epidermidis, est apparentée au staphylocoque doré (Staphylococcus aureus) résistant à l'antibiotique méticilline (le SARM) plus connu et plus mortel. La bactérie S. epidermidis est naturellement présente sur la peau.
La peste noire : 75 à 200 millions de morts (1334-1353)
Elle a tué rapidement autour de cinq millions de personnes, puis s'est déplacée vers l'ouest, à travers l'Inde, la Syrie et la Mésopotamie.
Elles possèdent une certaine autonomie et un métabolisme propre. Chez l'homme, il a été calculé que l'organisme comportait dix fois plus de cellules bactériennes que de cellules humaines1. L'immense majorité d'entre elles sont inoffensives, voire même bénéfiques pour le corps humain.
Les bactéries jouent un rôle dans le cycle des nutriments des sols, et sont notamment capables de fixer l'azote. Elles ont donc un rôle dans la fertilité des sols pour l'agriculture. Les bactéries abondent au niveau des racines des végétaux avec lesquels elles vivent en mutualisme.
Les bactéries sont : toutes pathogènes, ne rendent pas forcément malades, entraînent toujours la mort.