Rappelez-vous que « ait » est une forme du verbe « avoir », et « est » une forme du verbe « être ». Remplacez le mot qui pose problème (« ait » ou « est ») par « était », autre forme du verbe « être ». Le sens est conservé ? Écrivez « est ».
Par conséquent, le verbe avoir doit se conjuguer à la 1re personne du singulier du présent de l'indicatif, ce qui donne "ai". Bien sûr, la même règle s'applique quel que soit le sujet : "toi qui as", "lui qui a", etc.
Pour savoir s'il s'agit du verbe être (« qu'il est ») ou avoir (« qu'il ait »), remplacer par le verbe être à l'imparfait. Si la phrase n'a plus de sens, le verbe à utiliser est probablement « avoir ». Si la phrase garde son sens, le verbe « être » est le bon choix.
Avec un antécédent nominal, l'emploi personnel (la malchance qui m'arrive) est plus fréquent que l'emploi impersonnel (la malchance qu'il m'arrive). Avec le pronom ce comme antécédent, les deux emplois sont fréquents : ce qui m'arrive ou ce qu'il m'arrive.
Pas de doute, on écrit toujours « qu'il ait » ou « qu'elle ait ». La forme conjuguée du verbe avoir « aie » existe, mais correspond ou bien au mode subjonctif à la première personne du singulier du subjonctif (« que j'aie »), ou bien au mode impératif à la deuxième personne du singulier (« aie ! »).
Rappelez-vous que « ait » est une forme du verbe « avoir », et « est » une forme du verbe « être ». Remplacez le mot qui pose problème (« ait » ou « est ») par « était », autre forme du verbe « être ». Le sens est conservé ? Écrivez « est ».
Ai = erreur car n'existe que dans les temps de l'indicatif ( présent du verbe avoir ou bien auxiliaire avoir employé avec un participe passé). Ait = juste car c'est un subjonctif présent, 3ème personne du singulier du verbe Avoir (même si le IL est impersonnel).
Pour ne pas vous tromper, repérez l'auxiliaire – ici, « être » (= « sont ») – et posez-vous la question : « Qui est venu ? » La réponse étant « elles », le participe passé prend la marque du féminin ainsi que celle du pluriel : « Elles sont venues. » « Ils sont venus. »
Il m'est arrivé quelque chose d'incroyable. → Il lui est arrivé quelque chose d'incroyable.
La réponse simple. On écrit toujours « elle m'a demandé » lorsque le complément, objet de la demande, est placé après le verbe. La règle grammaticale qui s'applique ici est celle de l'accord du participe passé employé avec l'auxiliaire « avoir ».
aïe ! interj. Exprime la douleur, la contrariété, l'inquiétude.
Un AIT est un problème cérébral à court terme. Il est provoqué par un flux sanguin insuffisant vers une partie du cerveau. Un AIT à est similaire à un AVC.
L'erreur de conjugaison à ne pas faire
Pour que j'ai n'est pas correct. De plus, on n'écrit pas pour que j'ais (cette conjugaison n'existe pas) ni pour que j'aies .
"Qui plus est" est une locution signifiant "de plus" ou "en outre". On l'utilise pour surenchérir. La proposition qui suit "qui plus est" est toujours en relation avec celle qui la précède et l'accentue. Exemple : Il est désagréable.
Locution conjonctive
Dans l'éventualité où ; à supposer que.
L'accord se fait le plus souvent au pluriel si on veut insister sur la pluralité, ce qui est le cas le plus fréquent; qui remplace alors le nom ou le pronom pluriel qui le précède. Cette candidate possède l'un des meilleurs dossiers qui ont été présentés.
Oui, on peut le faire, mais à condition que le mot qui désigne ce qui a été transmis soit situé avant le verbe et qu'il soit féminin. On écrit alors la passion qu'il m'a transmise (accord au féminin singulier avec passion ), les valeurs qu'il m'a transmises (accord au féminin pluriel avec valeurs ).
L'Académie précise par ailleurs, qu'il est préférable, selon le bon usage, d'éviter le redoublement du pronom, à l'oral, comme à l'écrit. On dira ainsi «nous sommes arrivés ou on est arrivés à l'heure» plutôt que «nous, on est arrivés à l'heure».
Qui vient,
qui se situe après ; suivant, futur : Les années qui viennent.
Méfiance, par conséquent, quand « qui » représente un mot qui relève de la 1re ou de la 2e personne du singulier : n'écrivez pas « moi qui va, toi qui va », mais « moi qui vais, toi qui vas » !
Si vous écrivez "je serai", vous employez le futur, tandis que "je serais" est conjugué au conditionnel. Dans le premier cas, il s'agit d'un engagement ; dans le second, c'est juste une éventualité. Voici deux exemples pour vous aider à faire la différence.
existent : l'une des conjugaisons, « j'aimerai » correspond au futur simple, qui s'utilise pour exprimer une action qui aura lieu dans le futur, « j'aimerais », conjugué au présent du conditionnels'utilise pour exprimer une action hypothétique, une possibilité ou un souhait.
Il est complètement invariable, et ne s'accorde jamais avec le sujet qu'il accompagne. Par exemple : "il avait été invité à la fête" ne deviendra jamais "nous avions étions invités à la fête", mais bien sûr "nous avions été invités à la fête".