Exemple : Elle m'a toujours conseillée, car elle me considère comme sa fille. Ici, le pronom m' est le complément d'objet direct du verbe conseiller. Il représente une personne de sexe féminin. Étant placé avant l'auxiliaire avoir, il impose l'accord au féminin : conseillée.
Exemple : ''Elles m'ont soutenu pendant cette dure épreuve.'' Dans le segment de phrase « elles m'ont soutenu », le participe passé « soutenu » est employé avec l'auxiliaire avoir. Dans un tel contexte, il ne s'accorde pas avec le sujet « elles ».
Elles m'ont apportées, avec -es
D'après la règle qui s'applique, le participe passé apporté s'accorde avec le complément d'objet direct du verbe apporter (c'est-à-dire le fameux mot qui désigne ce qu'elles ont apporté), mais seulement si celui-ci est placé avant le verbe.
Ainsi, si m' désigne un homme, l'accord se fait au masculin et on écrit aidé . Si m' désigne une femme, on accorde aidée au féminin, donc en ajoutant un e à la fin : elles m'ont aidée .
Quand écrire « elle m'a informée » ? Lorsque le pronom m' représente une femme, le participe passé du verbe informer, conjugué au passé composé, s'accorde au féminin. Exemple : Elle m'a informée de votre venue.
Les mots qui contiennent …
prennent toujours deux m, sauf lorsqu'ils sont suivis du son [é]. Les mots qui commencent par hom, ou qui contiennent la syllabe hom prennent un m, sauf : homme, hommage, bonhomme. Les mots commençant par somm prennent deux m, sauf somatique, somatotrope, somation (homonyme de sommation).
le participe passé "fait", employé avec le verbe AVOIR, s'accorde en genre et en nombre avec le COD, s'il est placé avant le verbe, ce qui est le cas ici:" qu'", mis pour proposition, est le COD du verbe faire. il faut donc écrire ce participe passé au féminin singulier,(comme proposition, F,S), soit FAITE.
Ils nous ont donnés avec un s
La règle qui s'applique, c'est que le participe passé donné ne peut s'accorder qu'avec le complément d'objet direct du verbe donner (c'est-à-dire le fameux mot qui désigne ce qu'ils ont donné), mais seulement si celui-ci est placé avant le verbe.
On fera l'accord avec le C.O.D si celui-ci est placé avant le verbe. Si je suis une femme, je dirai donc: «Un événement m'a empêchée.» Le pronom élidé «m'», précisent les sages, est C.O.D et figure avant le verbe. En effet, «on empêche quelqu'un», et non «à quelqu'un, de faire quelque chose», continue l'Académie.
m'ont : pronom personnel me (e élidé devant une voyelle) suivi d'une forme du verbe avoir à la 3e personne du pluriel. m' est complément direct : « Tes chiens m'ont poursuivi », ou complément indirect du verbe : « Ces livres m'ont appartenu ». On peut le remplacer par m'avaient. Elles m'ont téléphoné.
Le pronom personnel me est un COI. Ainsi, on ne l'accorde pas et on écrit, même si l'on est une femme, «Je me suis demandé» et non pas «je me suis demandée».
Il m'a demandé de la farine ; elle m'a demandé de la farine ; ils m'ont demandé de la farine ; elles m'ont demandé de la farine. Dans les quatre exemples, le COD "de la farine" est après le verbe avoir, pas d'accord.
« On » est un pronom indéfini. « Ont » est le verbe « avoir » conjugué. Si vous pouvez remplacer le terme qui pose problème par « avaient » (imparfait de l'indicatif), alors il s'agit du verbe « avoir » conjugué à la 3e personne du pluriel du présent de l'indicatif (« ont », avec un t) : Ces clémentines ont des pépins.
Par conséquent, on accorde le participe passé « reçu » au féminin singulier, d'où : « la trottinette que j'ai reçue ». En revanche, l'autre participe passé, plu, ne s'accorde pas. Pourquoi ? Parce qu'on pose la question : La trottinette que j'ai reçue a plu à qui ?
Après un de ceux qui, une de celles qui, le verbe s'accorde au pluriel : Un de ceux qui m'ont autrefois aidé a aujourd'hui besoin de moi. J'ai acheté l'une de celles qui t'avaient plu.
Ainsi, si m' désigne un homme, l'accord se fait au masculin et on écrit contacté . S'il désigne une femme, on accorde contactée au féminin, donc en ajoutant un e à la fin.
Rappel : Le participe passé ne s'accorde jamais avec le sujet quand on emploie l'auxiliaire avoir. Elle a rencontré une célébrité. Ils ont fini la bouteille. Mais le participe passé s'accorde avec le complément d'objet direct (COD) quand il est placé avant le verbe.
Le participe passé est toujours invariable lorsqu'il est précédé de "que" et suivi du pronom relatif "qui". Dans cette construction, l'objet direct est la proposition relative complète avec son sujet, auquel renvoie "qui". Les hommes que j'avais prévu qui viendraient.
Parce que « faits » correspond au participe passé du verbe faire conjugué à la troisième personne du pluriel de l'indicatif présent à la voix passive. Le participe passé s'accorde conjugué avec l'auxiliaire être s'accorde en genre et en nombre avec le sujet : il est fait, ils sont faits.
Devant les lettres m, b et p, le n devient un m. L'exception la plus amusante reste la double exception de embonpoint qui change le n en m dans la première syllabe mais pas la deuxième. Devant les lettres m, b et p, le n devient un m.
Utilisations de « M. »
L'abréviation « M. » s'utilise devant : Un nom de famille : « M. Durand ». Un titre ou une fonction : « M. le président de la République ».
Le m se double après a, e et o quand la syllabe est brève, comme dans grammaire, ammoniac, femme, homme, somme, excepté le mot flamme, où la voyelle a est longue, quoique suivie de deux m.