Plusieurs instances participent à la socialisation : la famille, l'école, les groupes de pairs, les médias, le milieu professionnel, etc. Par le processus de socialisation, ce sont donc des manières de penser et d'agir qui sont intériorisées par les individus.
Les existences, donc les processus de socialisation sont donc « structurés » par l'origine sociale, voire pour certains de sociologues, les appartenances de classes sociales. Ainsi, le groupe social d'appartenance influence les manières d'être, de parler, de faire mais aussi les choix individuels.
Au sein de la famille et du groupe, l'éducation, parentale ou scolaire notamment joue un rôle majeur pour la socialisation : l'éducation est une entreprise consciente et explicite de transmission de valeurs et de normes, qui contribue donc fortement à la socialisation.
Les six agents de socialisation sont la famille, les groupes de pairs, les médias, la religion, l'éducation et le lieu de travail.
La famille est le premier agent de socialisation. Les mères et les pères, les frères et sœurs et les grands-parents, ainsi que les membres de la famille élargie, enseignent tous à un enfant ce qu'il a besoin de savoir.
La socialisation primaire est celle de l'enfance et de l'adolescence sur laquelle se construisent la personnalité et l'identité sociale. Elle se fait essentiellement avec la famille qui a un caractère omniprésent, avec la nourrice, la crèche, l'école, les amis, etc.
Dès l'enfance, les individus intériorisent les normes et les valeurs qui ont cours dans la société par différents mécanismes : l'imitation, l'inculcation et l'interaction sont les principales modalités de la socialisation.
La socialisation désigne le processus par lequel l'individu est construit par la société dans laquelle il vit. C'est un processus au cours duquel l'individu acquiert par intériorisation et incorporation des façons de faire, de penser et d'être qui sont situées socialement.
Des instances de socialisation comme la famille ou l'école nous font intérioriser des normes et des valeurs. Cette socialisation se poursuit tout au long de la vie. À l'âge adulte, un événement comme l'entrée dans la vie active conduit à une nouvelle socialisation.
En sociologie, un acteur social est un individu, un groupe, une association ou une organisation qui intervient dans un espace social quelconque (économique, culturel, politique, etc.). Il agit de manière consciente, intentionnelle, rationnelle, pour défendre certains intérêts ou atteindre un objectif déterminé.
Acteurs sociaux - Points clés
Les principales instances de socialisation sont la famille, les groupes de pairs, les médias, la religion, l'école et le lieu de travail. Le milieu social contribue à la socialisation différenciée.
La socialisation s'effectue par trois grands mécanismes que sont l'inculcation, l'imprégnation et l'interaction. Elle est classiquement verticale et descendante, mais de nouvelles formes émergent : la socialisation inversée et la socialisation horizontale.
La famille transmet à l'enfant, dès son plus jeune âge, le langage et les codes sociaux les plus élémentaires (apprendre à manger « correctement » par exemple), mais aussi les valeurs et les normes qui l'aideront ensuite à développer des relations sociales. Elle joue donc un rôle important dans la socialisation.
La socialisation peut se définir comme le processus par lequel les individus intériorisent les normes et les valeurs de la société dans laquelle ils évoluent.
Les débuts de la socialisation
Entre 6 et 8 mois, ses réactions varient selon les personnes avec qui il est en contact. Il peut sourire comme pleurer en fonction de qui approche son berceau. Et à 1 an, il va commence à marcher. Le fait de pouvoir se déplacer change son rapport avec son environnement.
Le but de la socialisation est double. La socialisation permet l'intégration sociale des individus qui se sentent alors appartenir à la société. Elle permet d'autre part une cohésion sociale, c'est-à-dire la mise en place de solidarités entre les individus.
La socialisation, un processus d'intériorisation. Au cours de sa socialisation, l'individu acquiert peu à peu des valeurs et des normes qui lui sont transmises par son environnement, mais auxquelles il imprime sa marque personnelle, en fonction des événements qu'il est amené à vivre.
La famille participe donc à la construction identitaire de l'enfant, lui enseigne des règles de conduite socialement désirables, lui apprend à respecter les normes sociales, lui sert de modèle à travers le style de vie qu'elle adopte et le prépare à un certain avenir (Mimouni, 1984).
La socialisation se distingue de l'éducation, elle ne se confond pas avec elle car elle n'est pas qu'explicite (elle peut être implicite). La socialisation permet de ne pas seulement apprendre mais aussi d'intérioriser des normes et des valeurs ce qui permet aux individus de se les approprier et d'agir librement.
La socialisation est un processus d'apprentissage et d'intériorisation des valeurs et des normes tout au long d'une vie exercée sous l'influence d'instances de socialisation.
Plusieurs instances participent à la socialisation : la famille, l'école, les groupes de pairs, les médias, le milieu professionnel, etc. Par le processus de socialisation, ce sont donc des manières de penser et d'agir qui sont intériorisées par les individus.
La socialisation primaire est la socialisation de l'enfance jusqu'à l'adolescence. Socialisation secondaire : La socialisation secondaire est la socialisation de l'adulte.
« Tout individu est inscrit avant même sa venue au monde dans ses groupes familiaux, sociaux et culturels. L'individu n'existe pas sans ses groupes originaires et ses institutions d'appartenance1 ».
La socialisation primaire, qui s'établit au sein de la famille et des structures d'accueil de la petite enfance. La socialisation secondaire, qui se développe dans le cadre de l'institution scolaire (et se prolonge ensuite à l'âge adulte via le travail, les médias, etc.).