Le stress n'est bon ni pour le coeur, ni pour les artères. Il active une réaction en chaîne qui favorise les incidents cardiovasculaires graves et les maladies chroniques. Le stress, un facteur de risque cardiovasculaire au même titre que le tabac.
Facteurs de risque : âge, tabac, obésité...
Le tabagisme chronique, l'obésité et l'âge aggravent le risque d'obstruction artérielle. Dans ce cas, la circulation sanguine à destination de la zone concernée est interrompue. C'est une urgence appelée ischémie aiguë.
Bien que le stress se passe d'abord dans la tête, il a des effets considérables sur le corps. Il peut nuire à la santé de votre cœur. Par exemple, un stress soudain et intense peut augmenter le risque à court terme de crise cardiaque.
On l'appelle burn out, ou syndrome d'épuisement professionnel. Peut-être parce que cette pathologie est multiforme. Grosse fatigue physique, émotionnelle, voire intellectuelle, elle peut cumuler les trois maux et avoir des conséquences parfois graves.
Le stress devient négatif quand il se répète. On parle alors de stress chronique qui se révèle pathologique quand il entraîne des symptômes psychosomatiques comme l'anxiété, des troubles du sommeil, l'asthénie, des migraines, des troubles cardio-vasculaires, des douleurs abdominales ou articulaires, etc.”
Mais il s'agit en réalité d'une forme d'insuffisance cardiaque aigue. Le stress brutal déclenche une libération brutale de ces catécholamines, hormones du stress. Elles ont un effet paralysant sur le cœur, qui ne se contracte quasiment plus et n'arrive plus à envoyer le sang dans les artères de notre organisme.
Boire tasse après tasse de café n'aurait finalement pas d'impact négatif sur la santé des artères, suggère une nouvelle étude qui contredit de précédentes recherches menées sur le sujet. À ce jour, différentes études ont établi une corrélation entre la consommation de café et le raidissement des artères.
Une activité physique régulière et l'arrêt du tabac sont fortement conseillés. L'athérosclérose est une maladie redoutable. Elle s'installe lentement et sans bruit pendant des dizaines d'années puis elle tue brutalement.
Le poisson gras comme le saumon sauvage, le thon, les sardines, le maquereau peut déboucher les artères. Grâce à leur richesse en acides gras oméga-3, ces poissons permettent de réduire l'inflammation des vaisseaux sanguins et évitent la formation de caillots sanguins.
L'acide ascorbique du citron, également nommé vitamine C, contribue à conserver les parois des vaisseaux sanguins plus souples et plus flexibles, ce qui favorise la réduction du niveau de pression du sang dans les artères.
Le stress n'est bon ni pour le coeur, ni pour les artères. Il active une réaction en chaîne qui favorise les incidents cardiovasculaires graves et les maladies chroniques. Le stress, un facteur de risque cardiovasculaire au même titre que le tabac.
D'après leurs conclusions, un patient qui prend un médicament à base de diclofénac, comme c'est le cas du Voltarène, a 20 % plus de risques de faire une crise cardiaque, un accident vasculaire cérébral (AVC) ou d'avoir de l'arythmie qu'un patient qui prend du paracétamol ou de l'ibuprofène.
POMMES. Comme le dit le dicton, une pomme par jour éloigne le médecin. Les pommes sont un autre fruit vital qui contribue à nettoyer vos artères ; elles contiennent des niveaux élevés de fibres qui réduisent le taux d'obstruction des artères.
S'entraîner à la course à pied pendant six mois et courir le marathon permet de rajeunir ses artères. C'est ce que montre une étude présentée par des chercheurs, vendredi 3 mai, au congrès de la Société européenne de cardiologie.
Le stress chronique affecte le système cardiovasculaire, endommageant ainsi les artères au cas où on le laisse passer sans traitement. Le dommage vasculaire peut mener éventuellement à un AVC, qui constitue une urgence médicale provenant d'une artère dans le cerveau qui soit se rompe, soit se bouche.
des anxiolytiques (benzodiazépines et buspirone) : ces médicaments ont une action rapide contre le stress et l'anxiété. Ils sont en général prescrits sur de courtes durées et à de faibles doses, par exemple avant que les antidépresseurs ne fassent effet. Ils doivent également être arrêtés de manière progressive.
Les symptômes physiques se résument surtout à des tensions musculaires, des problèmes digestifs et intestinaux, des troubles du sommeil (insomnies), des manques d'appétit, des migraines, des vertiges et de la fatigue.