Vous pouvez connaître le prix d'un logement en consultant la base de données "Demandes de valeurs foncières", le site Patrim ou auprès d'une chambre notariale. Les données « Demandes de valeurs foncières » permettent de connaître les transactions immobilières intervenues en France au cours des 5 dernières années.
Un notaire peut vous aider à déterminer le coût d'un terrain non constructible. Mais s'il estime que la valeur de votre bien est trop faible, vous avez la possibilité d'en augmenter le prix ou de ne pas le vendre.
1. Informez-vous auprès du cadastre. C'est auprès du cadastre que de multiples informations pourront être réunies pour commencer l'estimation d'un terrain. Toute personne, qu'elle soit propriétaire ou non d'une parcelle, peut obtenir la communication de tout ou partie des plans cadastraux.
Le prix moyen du m2 de terrain constructible dans les villes secondaires est situé entre 70 et 150 euros ; Les régions les plus recu-lées ou rurales peuvent enregistrer un prix au m2 terrain constructible entre 30 et 50 euros.
Les terres et prés libres non bâtis se sont vendus au prix moyen de 5940 euros par hectare en 2021, en recul de 2,3% sur un an. Pour les terres et prés loués non bâtis, le prix moyen recule légèrement de 0,4% à 4970 euros par hectare. Des évolutions qui s'avèrent néanmoins contrastées selon les régions.
En moyenne, on considère que la majorité des terrains non constructibles coûtent entre 0,50 et 10 euros du m². Voilà pourquoi le coût d'un terrain sur lequel on ne peut pas construire est très souvent exprimé en hectares, plutôt qu'en mètre carré.
La vente de terres agricoles est également réglementée par la SAFER, qui s'occupe d'estimer les terrains à leur juste valeur. En effet, les notaires sont dans l'obligation de déclarer toute vente de terres agricoles à la SAFER, qui aura automatiquement un droit de préemption.
En moyenne, les Français dépensent entre 27 000 et 200 000 euros pour l'achat d'un terrain. Naturellement, les disparités sont énormes entre les villes et entre les terrains.
De 500 à 57 980 € l'hectare de terre agricole
- des terres louées totalement ou en partie, et d'une superficie supérieure ou égale à un seuil adapté aux particularités de chaque département, seuil inférieur à 70 ares ; - des terres à la vente dans les départements d'outre-mer ; - des vignes à la vente.
Si le prix d'un terrain non-constructible est généralement faible, les frais de notaire représentent environ 8% du coût total du terrain. Les émoluments du notaire évoluent selon le département et sont proportionnels au prix d'achat du terrain non-constructible.
Le calcul d'un prix au mètre carré consiste à diviser le tarif de vente du bien immobilier par sa surface habitable. Le résultat obtenu est un indicateur important, et peut être comparé utilement aux autres biens en vente dans le quartier.
Le prix du terrain non viabilisé est donc très inférieur à celui du terrain constructible raccordé. La différence peut aller jusqu'à 50 %. Mais la somme des travaux et des diverses démarches peut rapidement faire oublier cette économie de départ.
La personne qui fait l'acquisition d'un bien immobilier ou d'un terrain doit s'acquitter des frais de notaire. Le vendeur n'a pas à payer ces frais lors de la vente. Il faut donc les prendre en considération pour évaluer le montant total de l'achat, d'autant que ces frais sont souvent conséquents.
Les prix des terres et prés libres non bâtis ont crû de 1,3% à 6080 euros par hectare avec une hausse de 5,5% à 7690 euros/hectares dans les zones de grandes cultures et un recul de 1% dans les zones d'élevage bovin à 4630 euros par hectare, selon le groupe Safer.
Des frais de dossier d'un montant de 400 € HT sont demandés, une fois en début de convention ; l'enregistrement est gratuit. Qu'est-ce qu'un bail Safer ?
Pour quelles raisons un terrain peut-il être considéré comme tel ? Parce qu'il n'est pas prévu pour accueillir une habitation décente : il n'existe pas de voie d'accès ni de raccordement à l'eau potable, à l'assainissement ou à l'électricité.
Il est possible de bénéficier d'une exonération d'impôt sur la plus-value immobilière, si dans les 24 mois suivant la transaction, vous vous engagez à réinvestir la somme perçue grâce à la vente de votre terrain dans une résidence principale. De manière générale, votre engagement doit être inscrit dans l'acte de vente.
La négociation via le Plan Local d'Urbanisme ou PLU
Outre le SDP, il est possible d'obtenir un rabais, si le terrain est non viabilisé ou s'il ne sera pas viabilisé avant un certain délai (selon le programme d'urbanisme de la commune).
Pour échapper au droit de préemption, la solution est de vendre le bien au fermier en place puisqu'il a un droit de préemption qui prime celui de la Safer. Mais il doit remplir une condition : exploiter les biens depuis au moins trois ans.
Le prix moyen d'un terrain nu peut varier de 50€ le m² dans les zones très rurales jusqu'à parfois atteindre plus de 500 € le m² dans les zones urbaines.
En moyenne, ce fermage est de 180€ par an par hectare en France soit une rentabilité d'environ 2,5%. Comme on l'a dit précédemment, c'est surtout sur la plus-value que l'investisseur touchera une forte rentabilité, notamment si le terrain agricole devient constructible et qu'il est bien situé !
Que ce soit à la vente ou à location, c'est le marché qui détermine le prix au m2 de votre appartement. Concrètement, sauf cas particulier, le tarif à la vente ou à la location est fixé par les prix en vigueur dans votre quartier.
Pour vendre votre bien sans agence, vous devez aussi trouver des acquéreurs et rédiger un compromis de vente vous-même. Celui-ci engage conjointement le vendeur et l'acquéreur jusqu'à ce que la vente soit signée chez le notaire.