Pour être conseillé dans vos démarches, contactez la plateforme Info Escroqueries du ministère de l'Intérieur au 0 805 805 817 (appel et service gratuits, ouvert de 9h à 18h30 du lundi au vendredi). Vous pouvez également contacter le 3018 (appel et service gratuits) du lundi au vendredi de 9h à 20h.
Si vous êtes victime d'infractions mentionnées ci-dessus, vous pouvez directement déposer plainte auprès d'un service de Police nationale ou de Gendarmerie nationale ou bien adresser un courrier au Procureur de la République près le Tribunal de Grande Instance compétent.
ASSISTER. PRÉVENIR. Cybermalveillance.gouv.fr a pour missions d'assister les particuliers, les entreprises, les associations, les collectivités et les administrations victimes de cybermalveillance, de les informer sur les menaces numériques et les moyens de s'en protéger.
L'OCLCTIC (Office Central de Lutte contre la Criminalité liée aux Technologies de l'Information et de la Communication) est chargé d'animer et coordonner la mise en œuvre opérationnelle de la lutte contre les auteurs présumés d'infractions liées aux technologies de l'information et de la communication.
Brigade d'enquêtes sur les fraudes aux technologies de l'information (BEFTI) Créée en février 1994, la Brigade d'enquête sur les fraudes aux technologies de l'information (BEFTI) compte 25 policiers spécialisés dans les nouvelles technologies.
Une FAQ (Foire aux questions) regroupant 600 questions/réponses est également disponible sur leur site internet. La gendarmerie nationale rappelle toutefois que ce service en ligne n'est pas habilité à traiter les cas d'urgence. Pour cela, il faut toujours contacter le 17 ou 112.
Particulier, entreprise ou collectivité, vous êtes victime d'un acte de cybermalveillance, des solutions existent. Vous pouvez déposer une plainte en ligne sur www.moncommissariat.fr ou vous rendre dans un service de police ou de gendarmerie.
Le fait d'accéder ou de se maintenir, frauduleusement, dans tout ou partie d'un système de traitement automatisé de données est puni de deux ans d'emprisonnement et de 60 000 € d'amende.
Le système Pharos, tel un gendarme du net, permet de signaler les délits sur Internet selon un arrêté du 16 juin 2009.
pour vérifier si votre adresse e-mail, compte ou mot de passe ont été piratés : Rendez-vous sur haveibeenpwned.com. Entrez l'adresse e-mail que vous utilisez pour vos comptes web puis cliquez sur le bouton pwned?.
Sous la casquette de C-NTECH, ces gendarmes peuvent être sollicités pour effectuer des extractions de données téléphoniques, aider à identifier un individu via son URL, son adresse mail, ou son adresse IP, réaliser de la veille ou de la recherche d'informations sur les réseaux ou les différentes plateformes Internet ( ...
Créé par l'ANSSI et le ministère de l'Intérieur, Cybermalveillance.gouv.fr est le dispositif national d'assistance aux victimes d'actes de cybermalveillance, de prévention et sensibilisation aux risques numériques et d'observation de la menace.
Blocages fréquents ou ordinateur particulièrement lent. Programmes inconnus qui se lancent au moment du démarrage de votre ordinateur. Programmes se connectant automatiquement à Internet. Activités inhabituelles telles que des modifications de mots de passe.
Déposez plainte au commissariat de police ou à la brigade de gendarmerie dont vous dépendez. Vous pouvez également adresser votre plainte par écrit au procureur de la République du tribunal judiciaire dont vous dépendez en fournissant toutes les preuves en votre possession.
Le ministère de l'Intérieur met à disposition la plateforme web Pharos, portail officiel de signalement des contenus illicites de l'internet. Elle permet aux internautes de dénoncer les escroqueries ou tentatives d'escroquerie sur internet. Vous pouvez également signaler une arnaque en ligne sur econsumer.gov.
Ces courriels usurpent l'appellation de la Gendarmerie nationale, de la Police nationale, de la préfecture de Police de Paris et d'Europol. Attention : ce type de courriel est une arnaque.
Vous pouvez transmettre vos renseignements (témoignages, photos, vidéos) à l'adresse mail suivante: [email protected]. Confidentialité garantie». Encore faut-il que les habitants incommodés disposent d'un ordinateur et d'une connexion internet.
L'article L. 323-1 du Nouveau code pénal prévoit que " le fait d'accéder ou de se maintenir, frauduleusement, dans tout ou partie d'un système de traitement automatisé de données est puni de deux ans d'emprisonnement et de 60 000 € d'amende" ".
Les sanctions pénales en cas de manquement aux règles en matière de protection des données sont déjà prévues en droit français et réprimées par les articles 226-16 à 226-24 du Code pénal. Celles-ci peuvent aller jusqu'à une amende de 300 000 euros et 5 ans d'emprisonnement.
Vous pouvez aussi déposer votre plainte directement à l'accueil du tribunal. Dans tous les cas, un récépissé vous est remis dès que les services du procureur de la République ont enregistré votre plainte. si la victime est sous curatelle, elle peut porter plainte seule ou assistée de son curateur.
La gendarmerie prévient : « si vous recevez l'un de ces mails, n'ouvrez pas les pièces jointes, n'y répondez pas et ne le transférez pas, signalez-le sur http://internet-signalement.gouv.fr et supprimez-le ».
Elle occupe aujourd'hui la fonction de sous-directeur de la lutte contre la cybercriminalité. Catherine CHAMBON est titulaire de l'ordre national du mérite, de la médaille d'honneur de la police nationale et de l'ordre de la légion d'honneur.
Téléphone : +32 2 501 05 60 (jours ouvrables de 9h à 17h).