Il y a alors 130 départements français. Pour protéger ce vaste territoire, Napoléon constitue une ceinture d'États vassaux qui lui abandonnent leur politique étrangère : la Prusse, l'Autriche et la Russie sont ainsi des alliés forcés.
Napoléon disait qu'il avait quatre ennemis : la Prusse, la Russie, l'Angleterre et... Madame de Staël.
La bataille de Waterloo, le 18 juin 1815, est l'une des plus célèbres batailles de l'histoire européenne. Vaincu par les forces de la coalition menée par Wellington et von Blücher, l'empereur Napoléon Bonaparte a définitivement perdu le pouvoir après sa défaite.
Au début de 1814, la France est envahie dans le sud et à l'est par une alliance composée de la Grande-Bretagne, la Russie, la Prusse, d'autres états allemands de la Confédération du Rhin et en Autriche. C'est la 6e coalition.
Quels pays d'Europe Napoléon a-t-il conquis ? L'Espagne, l'Autriche, l'Italie, la Prusse (partie de l'Allemagne actuelle).
Pozzo di Borgo, l'ennemi juré de Napoléon.
La Légion d'honneur, une récompense militaire et civile : Honneur et Patrie (1802) HONNEUR ET PATRIE est la devise de la Légion d'honneur, une décoration créée en 1802 par le Premier Consul Bonaparte pour récompenser les exploits militaires et civils.
À la tête des puissances Alliées se trouvaient la Grande-Bretagne, les États-Unis et l'Union soviétique. Ces pays étaient dirigés par le Premier ministre britannique Winston Churchill, le président des États-Unis Franklin D. Roosevelt, et le Secrétaire général du Comité central de l'Union soviétique Joseph Staline.
Mais il pressent que Napoléon, qu'il tient toujours pour un aventurier tout en ne pouvant s'empêcher d'admirer son génie, finira par être victime de son ambition démesurée et se veut persuadé que la Providence l'a désigné, lui le Tsar de toutes les Russies, pour tenir un jour le rôle d'arbitre de l'Europe.
Les « Cent jours » désignent la dernière période du règne de Napoléon Ier, de son retour de l'île d'Elbe et son entrée dans Paris le 20 mars 1815 à sa seconde abdication, suite à la défaite de Waterloo, le 22 juin 1815.
Le gouvernement britannique avait décidé de le faire prisonnier et de le déporter sur l'île Sainte-Hélène, en plein océan Atlantique, pour qu'il ne puisse plus « nuire au repos du monde ». Il meurt le 5 mai 1821 .
L'autre responsable de la défaite française serait la météo. En effet, la nuit précédant les combats, un orage avait éclaté, rendant le terrain boueux pour ses hommes et trempant la poudre. Napoléon est contraint d'attendre que le sol s'assèche pour pouvoir déplacer son artillerie lourde.
L'intention de Napoléon était d'abandonner la couronne impériale à son fils (Napoléon II), mais les puissances alliées exigent une abdication inconditionnelle, qu'il signe le 6 avril 1814 .
Le nom de la bataille est dû au duc de Wellington, qui avait installé son quartier général à Waterloo, d'où il rédigea son communiqué de victoire. Dans beaucoup de cultures, le mot "Waterloo" est ainsi devenu un symbole de victoire remportée sur un adversaire redoutable et redouté, au prestige exceptionnel.
Il réussit à nouer des liens forts avec la coterie qui l'avait accompagné lors de son exil. Bien que certaines rumeurs parlent d'un assassinat, la plupart des historiens s'accordent à dire que la mort de Napoléon, survenue en 1821 alors qu'il avait 51 ans, est due à un cancer de l'estomac.
C'est la dernière à laquelle Napoléon a personnellement pris part : il doit abdiquer quatre jours plus tard. La bataille de Waterloo met également fin au Premier Empire et à la période ouverte par la Révolution française en 1989.
Napoléon Bonaparte était considéré par la partie cultivée de la société russe comme un homme de génie qui avait pu vaincre l'anarchie, rétablir l'ordre, tout en préservant les acquis de la Révolution. De fait, Alexandre I er commença la guerre de 1805 non pas à cause, mais en dépit de l'opinion de la société russe.
Après la défaite de Napoléon et le congrès de Vienne en 1815, la monarchie est réinstaurée en France. Louis XVIII (1815 - 1824) est proclamé "roi de France". Il accorde une charte qui garantit la séparation des pouvoirs et gouverne avec une assemblée élue au suffrage censitaire.
En 1812, l'hégémonie européenne de Napoléon Ier, son « système », s'organise autour de l'Empire français et ses 134 départements, dont 47 « étrangers » (situés en Espagne, en Italie, en Belgique, aux Pays-Bas, en Allemagne).
Victoire des Alliés et fin du régime de Vichy. La libération de la France par les Alliés et les Forces françaises libres (FFL) commandées par le général Jean de Lattre de Tassigny et le général Leclerc, eut lieu de juin 1944 à mai 1945.
Lorsque l'héritier du trône d'Autriche-Hongrie est assassiné par un nationaliste serbe, le 28 juin 1914, l'Autriche-Hongrie réagit en formulant un ultimatum à l'encontre de la Serbie. Cette dernière rejette l'ultimatum, conduisant l'Autriche-Hongrie à lui déclarer la guerre un mois plus tard, le 28 juillet.
Le 22 mai 1939, l'Allemagne et l'Italie signèrent le « Pacte d'acier », formalisant l'alliance de l'Axe avec des dispositions militaires. Finalement, le 27 septembre 1940, l'Allemagne, l'Italie et le Japon signèrent le Pacte tripartite, connu sous le nom d'alliance de l'Axe.
Issu d'une famille de moyenne noblesse corse, Napoléon Bonaparte connut une ascension fulgurante après la Révolution et un destin hors du commun grâce à sa foi dans son destin, sa « bonne étoile » comme il le disait lui-même.
L'abeille comme symbole de l'Empire napoléonien
Jean-Jacques Régis de Cambacérès, archichancelier de l'Empire, lui fit part de l'abeille en ces termes : « L'image d'une République qui a un chef ».
Dès le lendemain du sacre, Napoléon fait placer le symbole au sommet de la hampe de tous les drapeaux des armées napoléoniennes. Symbole d'immortalité et de résurrection, les abeilles sont choisies afin de rattacher la nouvelle dynastie aux origines de la France.