Kennedy apparaît comme le vainqueur et sort renforcé de la crise. Il a su rester modéré et sobre dans la victoire. Ce succès contribuera largement au développement du "mythe Kennedy".
28 octobre 1962 : Khrouchtchev annonce le démantèlement des armes offensives installées à Cuba en contrepartie de l'engagement de non-invasion de l'île par John F. Kennedy et du démantèlement de tous les missiles Jupiter de Turquie de Grèce et d'Italie. Cet accord enclenche la fin de la crise.
La guerre froide se termine avec la chute de l'URSS en 1991 et la genèse d'un nouvel ordre mondial avec à sa tête, les États-Unis qui sortent « vainqueurs » de cette guerre froide.
Quelles sont les conséquences de la crise des missiles de Cuba ? La conséquence directe de la crise des missiles de Cuba est le démantèlement des missiles soviétiques de Cuba. En contrepartie, les Américains retirent leurs missiles installés en Turquie, en Grèce et en Italie, et mettent fin au blocus de Cuba.
Le 14 octobre 1962, le président américain John F. Kennedy apprend que l'île de Cuba, dirigée par le révolutionnaire Fidel Castro, abrite désormais des missiles à tête nucléaire soviétiques et des rampes de lancement qui menacent les États-Unis.
L'île de Cuba a été au cœur de la guerre froide opposant les États-Unis à l'URSS. En 1962, la crise des missiles de Cuba a même conduit le monde au bord de la guerre nucléaire. Cuba est ainsi devenu l'un des symboles de la guerre froide.
La crise de Cuba marque l'apogée de la guerre froide, et le début d'une période d'apaisement : la Détente. Le téléphone rouge est installé entre Moscou et Washington à partir de 1963 et permet d'établir une discussion directe entre les présidents des deux grandes puissances.
L'évènement qui déclenche la crise de Cuba est la découverte de 4 missiles balistiques soviétiques par des avions espions U2 américains le 14 octobre 1962.
La crise la plus dangereuse de la guerre froide se déroule paradoxalement pendant une période d'apaisement des tensions qui ne met pas fin à la confrontation : la « coexistence pacifique ».
La guerre froide est gagnée par les États-Unis en raison de la chute de l'URSS en 1991 qui ne parvient plus à suivre économique la course à l'armement et les différentes guerres par procuration.
Affaiblie par les atteintes américaines, et notamment par l'IDS, l'Union soviétique perd progressivement de sa suprématie. Malgré les nombreuses réformes russes mises en place par Gorbatchev, l'URSS s'effondre et éclate en 1991. La chute du communisme soviétique marqua la fin d'une ère qui opposait deux systèmes.
En octobre 1962, les États-Unis découvrent la présence de rampes de lancement de missiles nucléaires à Cuba. Cette découverte débouche sur une crise majeure de la guerre froide. Pendant plusieurs jours, le monde redoute un conflit direct et nucléaire entre États-Unis et URSS.
En octobre 1962, la guerre froide atteint son paroxysme. Chacun s'attend à ce qu'éclate un conflit nucléaire: des avions américains ont localisé des rampes de lancement de missiles sur le territoire de Cuba, île acquise depuis peu au communisme et distante de 150 kilomètres seulement de la Floride...
Direction de Cuba (1959-2006) Fidel Castro est d'abord ministre de la Défense, puis il devient Premier ministre par le décret du 16 février 1959.
D'un point de vue idéologique, la guerre froide oppose d'un côté le système américain occidental, avec la démocratie, les droits de l'Homme, le capitalisme, et la primeur de l'individu ; et de l'autre l'URSS et le communisme, l'économie étatique, le parti unique, le parti communiste, et la primeur de la collectivité.
Nikita Sergueïevitch Khrouchtchev (russe : Никита Сергеевич Хрущёв), 1894 - 11 septembre 1971 est un homme politique soviétique qui dirigea l'URSS durant une partie de la guerre froide.
Plusieurs phases sont généralement identifiées au sein de la Guerre froide : l'entrée en Guerre froide (de la fin de la Seconde Guerre mondiale à 1947), la première Guerre froide (de 1947 au milieu des années 1950), la Coexistence pacifique (du milieu des années 1950 à 1962), la Détente (de 1962 à 1979), la deuxième ...
La crise des missiles de Cuba est un évènement majeur dans la confrontation entre les deux superpuissances de la guerre froide (États-Unis et Union soviétique).
Aujourd'hui, l'embargo est officiellement toujours en place, ce qui en fait le plus long embargo commercial de l'époque contemporaine et affecte grandement les relations entre les deux pays. Cependant, depuis 2000, les produits alimentaires sont exemptés d'embargo.
Elle a permis aux Soviétiques de surveiller les satellites de communications géosynchrones à la fois civils et militaires des États-Unis. L'URSS payait à Cuba une subvention annuelle de 200 millions de dollars pour maintenir cette station depuis 1962.
L'entraide et la coopération ont permis aux Cubains d'affronter cette crise, de développer une agriculture urbaine, d'amorcer la transition vers la ferme organique, et l'utilisation accrue de la force motrice animale et des énergies renouvelables.
La crise des missiles à Cuba est une crise de la guerre froide qui a eu lieu du 16 au 28 octobre 1962. La crise est due à l'installation, par les Soviétiques, sur l'île de Cuba, de fusées capables de transporter des bombes atomiques.
2Dans l'histoire diplomatique de la guerre froide, la crise des missiles de Cuba restera sans aucun doute la plus grave, la plus intense et la plus dangereuse. Durant ces 13 jours fatidiques d'octobre 1962, Américains et Soviétiques se regardèrent droit dans les yeux, et l'humanité retint son souffle.