La salamandre, baffie ou lebraude est un reptile légendaire, à ne pas confondre avec l'amphibien réel. Il était réputé pour vivre dans le feu et s'y baigner, et ne mourir que lorsque celui-ci s'éteignait.
Ceux qui jouent avec le feu périront par le feu, et ceux qui prennent l'épée périront par l'épée.
(Figuré) L'être humain paie souvent par sa mort la violence qu'il a exercée.
Celui qui vit par l'épée périra par l'épée. He who lives by the sword shall die by the sword.
Celui qui est acteur de la violence sera victime de cette violence. Ce proverbe d'origine biblique est extrait de l'Évangile selon Saint Matthieu.
Arme de main faite d'une lame d'acier pointue fixée à une poignée munie d'une garde. 2. Littéraire. Homme fort à l'escrime : Une fine épée.
1. Arme défensive individuelle portée au bras pour parer les jets ou les coups. 2. Moyen de protection, défense : Le bouclier atomique.
Epéiste désigne une personne qui pratique l'escrime à l'épée, qui est escrimeur à l'épée.
2. Qui est d'aspect massif, sans finesse, sans sveltesse : Elle a une taille épaisse. 3. Se dit d'une matière consistante, peu fluide, d'une vapeur, d'un gaz dense ; pâteux, visqueux : Une épaisse fumée.
relief. saillie sur un plan, une surface, dans un paysage, etc.
Un animal sauvage est un animal qui vit dans la nature, sans intervention humaine. À l'inverse, les animaux dits domestiques vivent en compagnie des humains. Sauvage a pour autres antonymes domestiqué , dressé et apprivoisé .
champion, gagnant, triomphateur. Contraire : perdant, vaincu.
fleurettiste n. Escrimeur pratiquant le fleuret.
bretteur n.m. Celui qui aimait à se battre à l'épée.
Qualifie un nez fin et courbé en bec d'aigle. (Par extension) Qualifie les traits du visage, d'un profil ou le visage lui-même.
Au Moyen Âge, les boucliers, appelés écus, portaient les armoiries du seigneur à qui les chevaliers appartenaient.
bouclier (plaque portée au bras)[ClasseHyper.] armure, harnais, harnois[Hyper.]
Le bouclier est une arme très ancienne destinée, principalement, à parer une attaque. Il est connu depuis l'époque sumérienne (IIIe millénaire av. J. -C., en Mésopotamie), au moins, et sera utilisé en occident jusqu'au XVIIe siècle.
Ce Feu brûle, consume toutes nos croyances erronées, nos replis, nos subterfuges et nos mascarades. A la fois doux et puissant, dense et subtil, il "agit" bien au-delà de la compréhension des phrases qu'il contient. Il est comme une voix qui parle ou résonne à l'intérieur de soi.
Symbolique du feu
Le feu est naturellement associé au Soleil, qui est également une source de chaleur et de lumière (on sait maintenant qu'il ne s'agit pas d'une combustion mais d'une fusion nucléaire). Il est également souvent associé aux volcans, comme le feu de la forge d'Héphaistos/Vulcain.
L'expression "du feu de Dieu" vient de la Bible : la foudre est le feu du ciel, envoyé par Dieu. Cette théophanie est ambivalente (Job 1,16) et peut signifier soit l'agrément par Dieu [Cf. David, Salomon (2Ch 7,1)], soit au contraire la colère divine (1R 18,38 ; 2R 1,10 ; Si 48,3).
Les grandes eaux annoncent dans la Bible les épreuves. Leur déchaînement est le symbole des grandes calamités, reflets de l'hostilité de Dieu. Si elles punissent les pécheurs, elles ne sauraient atteindre les justes. L'eau détruit pour mieux reconstruire, elle est le symbole d'une humanité nouvelle.
(Familier) Fonctionner parfaitement, à merveille, au delà de ce qu'on espérait. (Familier) Se vendre très bien, connaître un grand succès.
Dieu grec du Feu, à l'origine du feu souterrain, puis des foyers domestiques et artisanaux, maître des arts de la forge et du travail des métaux. Fils d'Héra, forgeron des dieux, boiteux, il eut le cruel destin d'aimer les créatures les plus belles : Charis, Aglaé et Aphrodite.
Le baptême de feu est un baptême pratiqué par plusieurs mouvements chrétiens, le plus souvent évangéliques. Il fait référence au baptême de Jésus par Jean le Baptiste, qui annonça par la même occasion qu'un baptême du Saint-Esprit serait donné par quelqu'un de plus puissant que lui.