Traduit de l'anglais-
La violence en milieu de travail peut être physique ou psychologique, incluant la violence conjugale, familiale ou à caractère sexuel. La violence peut survenir sur le lieu de travail, dans les circonstances ou à l'occasion du travail.
La violence est définie par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) comme étant « l'utilisation intentionnelle de la force physique, de menaces à l'encontre des autres ou de soi-même, contre un groupe ou une communauté, qui entraîne ou risque fortement d'entraîner un traumatisme, des dommages psychologiques, des ...
Selon le rapport, la violence sur le lieu de travail provient d'un ensemble de causes qui inclut l'individu, le milieu et les conditions de travail, les rapports entre employés, les rapports entre ces derniers et les clients et, enfin, les rapports entre la direction et les employés.
le manque de soutien social. les problèmes d'argent. les problèmes de santé mentale. les abus d'alcool ou de drogue.
Au sens le plus courant, la violence renvoie à des comportements et des actions physiques. Elle consiste dans l'emploi de la force contre quelqu'un avec les dommages physiques que cela entraîne. Quand on parle aujourd'hui de l'augmentation des violences envers les personnes, on a ce sens en tête.
La violence est l'utilisation de force ou de pouvoir, physique ou psychique, pour contraindre, dominer, tuer, détruire ou endommager. Elle implique des coups, des blessures, de la souffrance, ou encore la destruction de biens humains ou d'éléments naturels.
Recueillir tous les documents écrits qui démontrent votre situation. Toutes les traces écrites que votre harceleur peut laisser à votre encontre en pratiquant des actes qui dégradent vos conditions de travail, doivent être conservées. Les juges estiment que les SMS et emails sont un mode de preuve recevable.
La souffrance au travail se manifeste généralement par une perte de motivation, un désinvestissement brusque, des changements de comportements, de l'irritabilité, des troubles du sommeil, de l'hypertension ou encore des douleurs gastriques.
Concrètement, voici des faits qui ont été reconnus comme constitutifs de harcèlement moral par les juges : des humiliations et critiques répétées, des conditions de travail dégradantes et des humiliations. des mesures vexatoires, générant un sentiment de persécution.
D'un point de vue politique, la violence est parfois justifiée lorsqu'elle permet de mettre fin à des coercitions sociales dont les conséquences sont pires que celles de la violence elle-même : il s'agit d'un principe de légitime défense de classe transposé à une échelle collective et différée dans le temps.
Saisir les institutions représentatives du personnel et l'inspection du travail. Le salarié victime de violences physiques peut saisir le comité social et économique : ce dernier a notamment pour mission de veiller à la santé physique et mentale des travailleurs (article L. 2312-59 du Code du travail).
Parlez toujours à la première personne, et expliquez-lui votre ressenti par rapport à la situation. Si le conflit dégénère ou si la violence verbale se répète, informez votre employeur en faisant valoir son devoir de protection.
Violence verbale.
La plus fréquente, elle est étroitement liée à la violence psychologique. L'auteur·e utilise sa voix comme une arme, soit par les propos tenus, soit par le ton utilisé.
Il s'agit d'un échec persistant à répondre aux besoins physiques et/ou psychologiques de l'enfant, tels que : lui procurer de la nourriture, des vêtements adéquats et un abri. protéger l'enfant d'un mal physique, émotionnel ou d'un danger. lui assurer l'accès à des soins médicaux ou à un traitement.
Dans ce cadre, la pression psychologique est définie comme toute organisation collective ou mesure individuelle, tout environnement de travail, qui place le ou les individus dans un état réactionnel qui prépare l'organisme humain à la lutte ou à la fuite en réaction à des exigences qui entravent la capacité d' ...
Sur les victimes
Problèmes de santé chroniques : troubles du sommeil, problèmes gastro-intestinaux, perte d'appétit, maux de tête, maux de dos. Mortalité. Troubles psychologiques : perte de l'estime de soi, dépression, stress, anxiété, attaques de panique, désespoir, tentatives de suicide.
Des exemples de maltraitances émotionnelles
Est maltraitant sur le plan émotionnel tout comportement qui vient isoler l'enfant, le priver de liberté, le rabaisser, le ridiculiser, le punir, lui imposer une pression, le critiquer, l'humilier, lui faire honte, le terroriser.
En effet, face à un danger, les mécanismes biologiques du corps te poussent à trois réactions différentes : la sidération (ne plus pouvoir bouger car tu es pétrifié(e) de peur), la fuite, ou l'attaque. C'est dans ce dernier cas que l'on peut parler de violence, la force étant décuplée (démultipliée).
La parole violente se déploie dans deux autres types de situation, assez distincts pour qu'on les sépare dans l'analyse, la manipulation et le harcèlement. Ces procédés ont été décrits par ailleurs et ce n'est pas l'objet de les détailler ici [10][10]On se reportera notamment à Philippe Breton, La Parole….
Se montrer violent·e, c'est:
Menacer physiquement ou verbalement ses proches. Casser des objets, taper sur la table, contre les murs ou les portes. Forcer son·sa partenaire à avoir des relations sexuelles ou tout acte non désiré Critiquer sans cesse les gestes, les pensées, le physique ou l'habillement de ses proches.