Synonyme "mon Dieu"
bon sang, bonté divine, juste ciel, mince alors!, oh là là!, par exemple!
1. (Au singulier ou au pluriel, avec une minuscule, et un féminin déesse) Dans les religions polythéistes, être supérieur doué d'un pouvoir surnaturel sur les hommes ; divinité : Les dieux des Romains. 2. Représentation d'une divinité : Des dieux en pierre.
On le fait au moyen d'une formule appropriée : dans MD, le possessif mon ajoute une proximité affective. le cri suppliant d'un homme qui, n'ayant pas reçu le secours vital qu'il attendait, lance par deux fois son appel (Mon Dieu, Mon Dieu), comme quand on cherche quelqu'un qu'on ne trouve pas, qui ne répond pas.
(Date à préciser) Du latin deus , de l'indo-européen commun * di- (« briller, soleil, jour, dieu »). Apparenté au grec ancien Ζεύς , Zeús (« Zeus »).
« Dieu » ne prend une majuscule que s'il s'agit de celui, unique, que vénèrent les religions monothéistes. Les divinités païennes doivent, elles, se contenter de la minuscule.
Considéré comme un nom propre, le nom « Dieu » prend alors une majuscule ainsi que les métonymies ou les pronoms qui s'y substituent.
« Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ? » (v. 2, cf. Mt 27, 46).
Oh, my God! Oh mon Dieu!
Nom propre
(Religion) Nom de Dieu en hébreu, dans la Bible en français courant, parfois rendu par Yahweh , Yahvé ou Iavhé. Quand ces filles du Ciel, retournant au Seigneur, Comme ayant retrouvé leurs régions natales, Autour de Jéhovah se rangèrent en chœur, (…)
La naissance de Jésus de Nazareth est fêtée par les chrétiens le jour de Noël, qui tombe le 25 décembre. Pour l'Église russe et les anciennes Églises d'Orient qui utilisent toujours le calendrier julien, le 25 décembre julien correspond au 7 janvier du calendrier grégorien.
Dans le premier (Genèse 1-2:4), Dieu, entité nommée Elohim en hébreu, crée les cieux et la Terre en six jours, puis se repose et sanctifie le septième jour. Il ordonne progressivement sa création pour y installer l'Adam, un mâle et une femelle qu'il a créés à son image afin de régner sur sa création.
C'est un juron. Origine : Cette expression tire son origine d'une autre, "par le sang de Dieu", issue du XIVe siècle. Celle-ci étant jugée blasphématoire, elle est remplacée par différentes variantes, dont "Bon sang de bonsoir".
"Au cas où" sert à exprimer une éventualité. Cette locution soulève une hypothèse. Elle peut être employée seule ou introduire une proposition au conditionnel ou au subjonctif.
Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ? (Mc 15,34 et Mt 27,46) crié « à voix forte » en araméen Eloï, Eloï, lama sabbaqthani ? (Ps 22:2) Souffrance suprême du sentiment d'abandon : la nuit obscure de l'homme Jésus, qui pourtant cite un psaume qui s'achève sur la réhabilitation du juste – et la mort survient à ...
pourquoi m'as-tu abandonné, et t'éloignes-tu sans me secourir, sans écouter mes plaintes ? Mon Dieu ! je crie le jour, et tu ne réponds pas ; la nuit, et je n'ai point de repos. Pourtant tu es le Saint, tu sièges au milieu des louanges d'Israël.
Jean-Charles Bouchoux propose d'y remédier dans ce livre plein de sagesse, suite de son best-seller «Les Pervers narcissiques», où il explique comment se développe l'angoisse d'abandon et donne à chacun les moyens de s'en libérer. Psychanalyste, Jean-Charles Bouchoux pratique aussi la méditation zen.
Le mazdéisme (de Mazda, Dieu, dans la langue perse) est la religion traditionnelle de l'ancienne Perse. Cette religion est l'un des premiers monothéismes et, pour la première fois dans l'Histoire humaine, promet à tous les hommes l'immortalité de l'âme sous réserve du jugement dernier.
Dans l'évangile de Jean, Jésus de Nazareth demande au Père de les garder en son nom YHWH, ce nom qu'il lui a donné.
Le mathématicien australien Gordon Royle, qui s'est pris de passion pour le sujet, les recense, les traque de par le monde et sa collection contient près de 50 000 spécimens. Mais aucune grille avec seulement 16 indices. Il a donc été conjecturé que le "nombre de Dieu" était 17.
Dans la mythologie romaine, Cupidon (du latin cupido signifiant « désir », « passion ») est le fils adultérin de Vénus et de Mars. Dieu de l'amour, il est assimilé à Éros.
C'est la prière la plus simple. Elle consiste à répéter longuement le Nom de Jésus, une phrase de psaume ou une invocation : « Seigneur, Fils du Dieu vivant, prends pitié de moi pécheur », « Seigneur, ne t'éloigne pas de moi », « Seigneur, montre-moi ton visage », « Seigneur, tu sais bien que je t'aime ».
Jésus vient du grec ancien Ἰησοῦς , Iēsoûs, lui-même issu du prénom hébreu ancien ישוע , Iéshua (et a la même racine que Josué). Ce mot signifie « Dieu sauve » ou « Dieu délivre ». Christ vient du grec ancien χριστός , khristós, lui-même traduit de l'hébreu ancien משיח , maschiah (« messie »).
Translittération de l'hébreu יהוה est le nom divin et c'est le tétragramme de Dieu dans la Bible hébraïque en lettre se traduit ainsi YHWH composé des quatre lettres yōḏ (י), hē (ה), wāw (ו), hē (ה) qui se traduit avec les voyelles suivants YAHWEH – YAHUAH – YAH.