L'Homme préserve la biodiversité en réhabilitant des milieux de vie (création de récifs artificiels), en créant des parcs nationaux et régionaux, en réintroduisant certaines espèces mais également par le biais d'organisation tel que Greenpeace par exemple, mais aussi par des traités (exemple:le sommet de Nagoya).
Les causes de l'impact de l'humanité sur la biodiversité sont multiples : La déforestation des forêts tropicale et amazonienne, très riches en espèces végétales et animales dont on détruit le milieu de vie. Les polluants chimiques émis, souvent toxiques pour les êtres vivants.
Certaines pratiques agricoles peuvent contribuer efficacement à la conservation de la biodiversité. L'intensification durable de la production agricole, par exemple, limite la superficie de terres utilisées pour l'agriculture, laissant ainsi une plus grande surface disponible pour la conservation de la biodiversité.
Se déplacer moins, et mieux. Privilégier la marche, le vélo et les transports en commun lorsque c'est possible dans son quotidien. Prendre le train, éviter de prendre l'avion. Si tout le monde choisissait de vivre de manière durable, la biodiversité dans une variété d'habitats s'améliorerait.
Consommer local permet d'encourager l'économie locale, de réduire les émissions dues au transport et de manger des produits de saison. Consommer des produits issus de l'agriculture biologique (dans la mesure du possible…). Manger moins de viande. Acheter du poisson issu de pêcheries gérées.
des écosystèmes sains
Ces écosystèmes ont de nombreuses fonctions utiles : ils servent d'habitat à des plantes et à des animaux, abritent des poissons et d'autres sources de nourriture, préviennent l'érosion et protègent des inondations et d'autres phénomènes météorologiques.
Fragilisation de notre écosystème
Une biodiversité suffisante conduit à l'équilibre de l'écosystème. La disparition de certaines espèces végétales et animales engendrerait des conséquences désastreuses sur notre environnement, favorisant par exemple les glissements de terrain ou les incendies.
Actuellement, l'homme a un effet plutôt destructeur sur la nature : il rase des forêts, construit des routes, utilise des produits chimiques qui tuent massivement certains insectes, pêche plus que nos océans ne le permettent… La biodiversité souffre de ces activités et décline fortement.
En aménageant le territoire, l'homme modifie son environnement naturel : il détruit parfois des milieux de vie. Cependant, il prend peu à peu conscience des dangers qu'il fait courir à la planète et commence à restaurer des milieux qu'il a transformés.
Promotion, mise au point et utilisation de technologies écologiques. Réduction de la consommation de ressources. Augmentation de la réutilisation et du recyclage des ressources naturelles (et donc réduction de la production et de l'élimination de déchets).
Les raisons de protéger la diversité biologique sont nombreuses : La biodiversité garantit le bon fonctionnement des écosystèmes. Chaque espèce est unique et irremplaçable. Une disparition est irréversible et peut avoir de nombreuses conséquences importantes et imprévisibles sur l'ensemble de l'écosystème.
État actuel de la planète et de la biodiversité
Gilles Boeuf fait état de l'érosion de la biodiversité et présente les quatre grands facteurs qui peuvent être associés à cette dynamique : destruction et pollution, surexploitation des ressources, dissémination d'espèces, changement climatique.
La biodiversité, l'ensemble de tous les êtres vivants sur notre planète, décline à un rythme alarmant ces dernières années. Les activités humaines, telles que les changements d'utilisation des terres, la pollution et le changement climatique en sont la principale cause.
L'homme, par son action, met en danger l'équilibre naturel dans de nombreuses régions du monde. La destruction des zones forestières pour construire des routes ou pour augmenter la superficie des zones cultivées provoque la disparition des végétaux et des animaux qui y vivaient.
Google Stadia en est l'exemple le plus récent et l'un des plus parlants. Si la marque veut imposer son écosystème, elle devra essuyer les plâtres et des ventes potentiellement décevantes mais ne pas s'arrêter à la première génération.
La définition la plus simple d'un écosystème est la suivante : il s'agit d'un ensemble d'être vivants qui vivent au sein d'un milieu ou d'un environnement spécifique et interagissent entre eux au sein de ce milieu et avec ce milieu.
Les deux termes ne s'opposent pas, ils sont inséparables l'un de l'autre. La biodiversité comprend donc tous ces différents écosystèmes. Et les relations qui existent entre les différentes organismes d'un écosystème donné forment l'essence même de la biodiversité.
Pour préserver l'avenir de l'humanité, il est donc devenu indispensable de veiller à protéger notre environnement, car premièrement l'environnement est notre source de nourriture et d'eau potable, mais il est également notre source d'air, d'oxygène, on utilise la biodiversité pour la fabrication de nombreux médicaments ...
L'Homme est aussi capable de protéger son environnement. Il peut créer des parc et des réserves naturelles dans lesquelles les lois et les règlements protègent la vie sauvage et interdisent par exemple, d'y chasser, d'y circuler avec des engins motorisés, d'y construire des routes, des habitations, etc ...
L'Homme a un impact sur l'environnement, qui peut être positif comme négatif. En effet, il aménage l'espace (construction de routes, de villes, etc.) et il en exploite les ressources naturelles essentielles à son alimentation et à son activité.
Bien que les activités humaines pèsent très fortement sur le sol et ses fonctions écologiques, elles n'ont pas toujours un impact négatif. Les agriculteurs savent par exemple améliorer la qualité de certains sols par le biais d'une agriculture raisonnée en faveur de la biodiversité.
Les impacts de l'homme sur les forêts naturelles du monde ne se limitent pas à la déforestation. Le feu, la coupe de bois et l'invasion par des animaux et des plantes exotiques sont quelques exemples d'impacts directs sur la biodiversité et les stocks de carbone des parties non déboisées, ou vestiges forestiers.