Le myélome multiple est un cancer qui concerne chaque année 4 000 nouveaux patients en France. Peu connue, cette maladie de la moelle osseuse est due à l'accumulation anormale d'un type de globules blancs, les plasmocytes. On parle indifféremment de myélome multiple, de maladie de Kahler ou encore de myélome.
Les symptômes sont des douleurs abdominales, des nausées, des vomissements, une bouche sèche, une diurèse très abondante, des céphalées voire à l'extrême une confusion et des troubles du rythme cardiaque.
Dans la leucémie, les cellules cancéreuses sont des cellules jeunes qui envahissent le sang. Dans le myélome, les cellules cancéreuses sont des plasmocytes, une sorte de globules blancs, qui se fixent et se multiplient dans la moelle osseuse. Le traitement de ces cancers est différent, ainsi que leur évolution.
Le myélome multiple est un cancer de la moelle osseuse pour lequel l'espérance de vie, suite au diagnostic, est de 5 ans en moyenne.
On ne connaît pas les facteurs responsables du myélome. En temps normal, les plasmocytes ne représentent que 5 % ou moins de la moelle osseuse. Lorsque les plasmocytes deviennent anormaux et commencent à se multiplier, on les appelle alors cellules myélomateuses.
Le myélome multiple est un cancer qui concerne chaque année 4 000 nouveaux patients en France. Peu connue, cette maladie de la moelle osseuse est due à l'accumulation anormale d'un type de globules blancs, les plasmocytes. On parle indifféremment de myélome multiple, de maladie de Kahler ou encore de myélome.
Le myélome multiple ne peut pas être guéri. Le but du traitement est de réduire les symptômes, de ralentir l'évolution (progression) de la maladie et d'arriver à une rémission de la maladie.
Cela se traduit par une diminution du nombre de globules rouges (à la clé, une anémie responsable de fatigue et pâleur), une baisse du nombre de plaquettes (avec un risque d'hémorragie) et du nombre de globules blancs (entraînant une fragilité du système immunitaire, et donc un risque majoré d'infections).
Myélome multiple, maladie auto-immune et mélanome…
La prise d'antalgiques, ou de médicaments contre la douleur, peut s'avérer inefficace, aussi il peut être fait appel à des traitements plus spécifiques, tels que : La prise par perfusion par voie intraveineuse de bisphosphonates, afin de prévenir des lésions osseuses liées à une déminéralisations diffuse.
Grâce à la crème anesthésiante, à l'anesthésie locale, au MÉOPA, à la distraction et à la présence de tes parents, un myélogramme ne fait pas très mal ou pas mal du tout. Mais cela reste un examen désagréable et impressionnant, surtout quand on est inquiet du résultat de l'analyse.
Malgré tous les efforts pour le combattre, ce cancer rare des cellules de la moelle osseuse demeure très mortel : seulement 30 % des adultes en guérissent complètement.
Le principal symptôme du cancer des os est la douleur, notamment une douleur qui est plus vive la nuit. La douleur peut varier selon la taille et l'emplacement de la tumeur dans l'os. Les autres symptômes incluent les suivants : enflure dans la région où se trouve la tumeur.
Lymphome : Ce cancer des cellules immunitaires peut toucher les ganglions, le système nerveux central, la moelle osseuse ou n'importe quel organe. Myélome : Ce cancer caractérisé par une prolifération maligne dans la moelle osseuse de plasmocytes qui produisent des immunoglobulines (ou gammaglobulines ou anticorps).
Il existe différents cancers du sang parmi lesquels le myélome, les lymphomes (tumeurs situées dans les ganglions) et les leucémies (prolifération anormale de cellules jeunes ou matures dans la moelle osseuse) sont les plus fréquents.
Hormis l'âge, aucun facteur de risque précis n'est incriminé. Tout ce qu'on sait, c'est qu'un beau jour, un plasmocyte, une des nombreuses cellules fabriquées par la moelle osseuse et impliquées dans la lutte contre les infections, subit une mutation.
La sclérose en plaques
Le système immunitaire des personnes atteintes détruit la myéline (sorte de gaine d'isolation des cellules nerveuses du cerveau et de la moelle épinière), ce qui altère la capacité des différentes parties du système nerveux à communiquer entre elles.
La pratique d'une activité physique, pendant la prise en charge de la maladie et après, a des effets bénéfiques sur la qualité de vie ; elle aide à surmonter les effets secondaires physiques et psychologiques des traitements, diminue la fatigue et les troubles du sommeil et améliore la concentration.
Le dosage dans le sang de la créatinine permet de savoir si le fonctionnement du rein est altéré. Le myélogramme est une analyse au microscope des cellules de la moelle osseuse prélevées lors d'une ponction médullaire réalisée dans le sternum ou la crête iliaque.
Comme pour les autres cancers, le traitement du myélome multiple repose sur un ensemble de protocoles codifiés qui sont adaptés aux particularités du patient. Il est administré dans des centres de lutte contre le cancer accrédités par l'Institut national du cancer (INCa).
Les tumeurs de la moelle épinière, dites intramédullaires, sont des affections rares. Les tumeurs intramédullaires représentent 5 % des tumeurs primitives du système nerveux central. Leur incidence est évaluée à 4 cas par million d'habitants et par année. Ces tumeurs peuvent être bénignes ou malignes.
Le myélome multiple est un cancer qui prend naissance dans les plasmocytes. Les plasmocytes sont un type de globules blancs qui fabriquent des anticorps (immunoglobulines) pour aider à combattre les infections.
Les douleurs aux jambes, souvent confondues avec des douleurs de croissance chez les enfants, peuvent être un symptôme de cancer. Les différencier peut sauver des vies. En Europe et aux États-Unis, les cancers les plus courants chez les jeunes sont les leucémies, les tumeurs cérébrales et les lymphomes.
Un cancer du poumon ou de la prostate peuvent provoquer des douleurs nociceptives au niveau du dos en cas de métastases vertébrales. La tumeur peut siéger au niveau d'un nerf. Elle occasionne des douleurs neuropathiques.