Le syndrome de
voyageuse. Personne partie en voyage ou qui voyage fréquemment.
Le syndrome de Wanderlust est un terme qui renvoie à l'obsession ressentie par certaines personnes pour le voyage. Un désir né d'un “besoin”, inhabituel, de connaître de nouveaux lieux et de découvrir d'autres cultures. Son étymologie vient de wandern (excursion, voyage, promenade) et de lust (désir, aspiration).
Voyager permet de changer notre regard sur les choses qui nous importent, et de se reconcentrer sur l'essentiel. Une fois de retour chez soi, on apprécie bien plus le confort de son lit, le bonheur de voir ses proches et le simple fait d'avoir une maison.
Partir par curiosité touristique, par recherche d'exotisme, pour le soleil et la mer, pour du tourisme solidaire ; partir pour un voyage d'études, pour un plus au CV ; partir pour rencontrer d'autres religions, d'autres cultures ; partir pour échanger, confronter des idées ; partir pour vivre une expérience ; partir ...
Au moyen-âge, les jours chômés sont nombreux et principalement dictés par l'Église. Ils permettent à la population d'effectuer des pèlerinages mais ils sont surtout dédiés au recueillement et à la prière. Ce sont les Britanniques qui, au 18ème siècle, inventent l'idée même du tourisme.
Quand on demande aux Français ce qu'ils entendent par "vivre ailleurs", la plupart souhaitent bénéficier d'un meilleur climat, se rapprocher de la nature, avoir un rythme de vie moins dense. 82% des Français aimeraient vivre dans un village, 70% en habitat pavillonnaire, et seulement 20% dans une ville dense.
Que ce soit pour des vacances de quelques jours ou un tour du monde d'un an, une des principales raisons qui nous pousse à vadrouiller est souvent la fuite. Les choses que nous fuyons sont diverses et forcément dépendante de la vie de chacun.
Parce que cela correspond au moment où on se demande qui on est, soi-même et par rapport aux autres. On éprouve le besoin de se centrer un peu sur soi, sur ce qu'on aime et sur ce qu'on déteste, ce qui fait peur ou au contraire envie … pour mieux se comprendre et trouver sa place dans le monde.
Réfléchissez à l'état actuel de votre situation, mettez par écrit vos objectifs pendant 15 minutes au moins par jour. Tâchez de définir des objectifs à atteindre dans un mois, un an, cinq et dix ans. Prenez l'habitude de réévaluer vos objectifs régulièrement et de les modifier s'il le faut.
À Château-Gontier, la communauté des gens du voyage a son carré au cimetière de la Trinité. Un carré qui détonne au style baroque et très entretenu par les familles.
Un forain est quelqu'un qui se déplace pour travailler, avec ses outils de travail (manège, machine a churros, etc..) il peut être gitan ou pas. Les gens du voyage sont une population alors qu'être forain est un métier même si beaucoup des forains sont des gitans.
Elagueurs, ferblantiers, rempailleurs, marchands ambulants, couvreurs-zingueurs, artistes de cirque (20 000 Tsiganes travaillent sous 200 chapiteaux familiaux)… leurs activités sont par nature indépendantes, et presque toujours héritées de la tradition.
Habituellement, pour un simple billet d'avion vendu, une agence de voyage touchera en moyenne 8 % du prix public, et entre 9 et 15 % pour tout ce qui est prestations, séjours ou circuits. Les agences de voyages sont elles rémunérées par une commission sur les prestations vendues.
Cette peur tient principalement à deux raisons : La peur de l'inconnu, car peu de gens comprennent comment un avion est capable de voler ; Les retombées psychologiques des catastrophes aériennes.
Aujourd'hui, les choses sont bien différentes. Selon une étude de la Direction du Tourisme, autant de femmes que d'hommes voyagent (74 % de la population), mais les étudiantes le font plus que les étudiants (73.9 % contre 63.5 %), et surtout, elles sont plus nombreuses à partir en solo (26.5 % contre 14.1 %).
Le voyage permet en effet de faire le point sur sa vie, sur ce que l'on veut mais aussi ce que l'on ne veut plus… Rien de mieux que d'être loin de notre zone de confort pour apprendre à se connaître soi-même et avoir une idée bien plus précise de ce que l'on souhaite accomplir dans sa vie.
Qu'il soit long ou de courte durée, il est prouvé que voyager a un effet bénéfique sur notre développement personnel. En effet, partir à l'aventure, changer nos habitudes et découvrir de nouvelles choses permet de stimuler le cerveau et participe à notre bien-être.
Il est important de se dire que changer ne dépend que de nous ! Mais alors, comment fait-on pour changer ? Il faut commencer par vouloir bien changer son système de croyances et de fonctionnement. Vous avez un fonctionnement, une vision de la vie qui vous sont propres et il va falloir en modifier votre perception.
Le changement de vie est parfois issu d'une décision personnelle, signe d'une aspiration forte à vivre autre chose, d'une envie (en-vie) irrépressible d'une nouvelle expérience, d'une prise de conscience de la vacuité de notre réalité quotidienne. Il peut nous être aussi imposé par les circonstances.