Au regard de la définition apportée par la commission européenne, la RSE s'articule autour de 3 piliers : Un pilier économique. Un pilier social. Un pilier environnemental.
Au vu de la définition ci-dessus, nous pouvons voir que la RSE se caractérise par trois piliers : le pilier économique, le pilier environnemental et le pilier social. Ces trois piliers sont interconnectés, ils s'articulent entre eux et ne peuvent fonctionner l'un sans l'autre.
En effet, le concept de RSE recouvre les valeurs défendues par les établissements publics de santé et médico- sociaux que sont l'humanisme, l'accessibilité, la solidarité, l'universalité et l'égalité. Les établissements publics de santé et médico-sociaux sont des acteurs économiques et sociaux au cœur des territoires.
Les actions mises en place visent à favoriser la qualité de vie au travail, à encourager le dialogue dans un cadre de travail serein. La RSE intègre également des valeurs en matière d'égalité, de non-discrimination et de juste rémunération au sein de l'entreprise.
Trois grands piliers nommés Sagesse, Force et Harmonie soutiennent le temple maçonnique. Trois et non quatre, comme la logique le voudrait.
Définitions. La responsabilité sociétale des entreprises (RSE) se définit comme la contribution volontaire des entreprises aux enjeux du développement durable, aussi bien dans leurs activités que dans leurs interactions avec leurs parties prenantes. Elle concerne trois domaines : environnemental, social et sociétal.
A retenir : L'environnement est notre cadre de vie : c'est l'ensemble des éléments naturels, faune, flore, et artificiels.
Concrètement, une stratégie RSE consiste à établir un plan d'action économiquement viable dont les impacts sociaux, sociétaux et environnementaux sont positifs. En intégrant la RSE à sa culture d'entreprise, une organisation aligne ses activités sociales et environnementales à ses valeurs et objectifs commerciaux.
Le label RSE - responsabilité sociétale des entreprises - est une certification obtenue par certaines organisations ayant placé au cœur de leur stratégie des actions en faveur du développement durable. Ce concept, apparu en 1960, permet à des entreprises d'agir sur des enjeux sociaux et environnementaux.
Finalité sociale : avoir pour but l'augmentation du bien-être des membres de l'organisation ou de ses parties prenantes. Finalité sociétale : avoir des préoccupations liées au développement durable notamment en matière de protection de l'environnement.
Dans les ETI une direction RSE souvent rattachée à un autre département. Au sein des Entreprises de Taille Intermédiaire, la fonction RSE, souvent assez récente, est souvent reliée soit à la Direction des Ressources Humaines, soit à la Direction de la Communication voire à la Direction Générale.
D'un point de vue global, la RSE s'inscrit dans le cadre d'efforts pour le respect de l'environnement et dans une démarche de développement durable. Le but est d'améliorer la qualité de vie des collaborateurs et de toutes les personnes qui entrent en contact avec l'entreprise, mais aussi de la communauté.
Le concept de RSE apparaît pour la première fois (1953)
Howard Bowen utilise cette notion dans l'ouvrage The Social Responsabilities of the Businessman. Cet économiste américain est également pasteur.
Pour celles et ceux qui ne voient pas le rapport, sachez que le symbole des 3 Colonnes ramène aux 3 grands piliers de la franc-maçonnerie qui selon les rites peut être : le soleil, la lune et le vénérable maître ou la force, la sagesse et la beauté.
En réalité, une simple carte d'identité suffit pour lancer la procédure d'ouverture du 3ème pilier. (A noter que si vous êtes frontalier, votre permis G sera également nécessaire.) Au moment d'ouvrir un 3ème pilier, il vous sera également demandé de remplir un questionnaire médical.
Et les Trois Lumières de la Loge sont parfois identifiées à trois personnes, par exemple, le Maître, le Compagnon de Métier et le Surveillant.
À la clef : une éventuelle réglementation et des avantages pour certains. Or ces interventions ne contribueront pas au développement durable. Pire, elles tueront la créativité en matière d'intervention sociale et environnementale et affaibliront les TPE et PME au profit de plus grandes structures.
Si la RSE résulte d'une mise en place volontaire pour certaines sociétés, d'autres doivent suivre un cadre légal instauré par plusieurs textes de loi. Pour pouvoir y répondre, ces dernières ont pour mission de respecter certaines bonnes pratiques, à l'intérieur et à l'extérieur de leur structure.