L'essence d'un être, c'est ce qu'il est vraiment, ce qui fait qu'il est ce qu'il est. « L'essence coïncide avec ce qu'il y a de plus intime et de presque secret dans la nature de la chose, bref ce qu'il y a en elle d'essentiel » (É. Gilson : L'Être et l'essence).
L'amour est l'essence de la vie, son sens et son salut. S'il vient vers toi, garde-le et ne le lâche plus. S'il te fuit, cours-lui après.
Fondamental. L'« existence » signifie le fait que quelque chose soit. L'essence est par définition, la nature d'une chose. Elle désigne ce qui fait qu'une chose est, ce qu'elle est.
L'essence désigne ce qui fait qu'une chose est ce qu'elle est, indépendamment de ce qui lui arrive sans modifier fondamentalement sa nature. L'essence s'oppose donc à l'accident.
On peut dire plus simplement que c'est la nature de cette chose (« nature humaine » et « essence de l'homme » sont en ce sens synonymes). L'essence désigne les propriétés ou caractéristiques appartenant nécessairement à un être. Chez Aristote, l'essence s'exprime dans la définition.
Cette distinction renvoie métaphysiquement à la distinction de l'essence et de l'existence. Dans les deux cas on utilise le verbe être mais l'existence désigne le fait d'être, alors que l'essence désigne ce qui constitue la nature d'un être.
« Le désir est l'essence de l'homme » écrit Spinoza dans l'Éthique. Il faut comprendre par là que l'homme est désir et qu'il s'affirme en exprimant pleinement la puissance qui le caractérise. Cette approche positive rompt avec l'idée selon laquelle le désir ne serait que manque et marquerait l'imperfection humaine.
Ce sens persiste encore aujourd'hui : l'essence de la philosophie, c'est la recherche de la vérité, non sa possession, même si elle se trahit elle‑même, comme il arrive souvent, jusqu'à dégénérer en dogmatisme, en un savoir mis en formules, définitif, complet, transmissible par l'enseignement.
Il existe deux types d'essence : le sans-plomb 95 et le sans-plomb 98. Le sans-plomb 98 est plus ancien et de moins en moins disponible dans les stations essences. Bien que légèrement plus cher, il est moins énergivore que le sans-plomb 95.
Toute essence est produite à partir de pétrole brut.
L'existentialisme sartrien est résumé par la célèbre formule : « l'existence précède l'essence », c'est-à-dire que chaque individu surgit dans le monde initialement sans but ni valeurs prédéfinies, puis, lors de son existence, il se définit par ses actes dont il est pleinement responsable et qui modifient son essence ; ...
La véritable essence de l'amour est dans l'incertitude.
Concrètement, plus l'indice d'octane de l'essence est élevé, plus la combustion est maîtrisée, protégeant ainsi les performances et la longévité de votre moteur. Le sans plomb 98 offre donc de meilleures performances et une meilleure protection à votre moteur que le sans plomb 95.
Quelle est la finalité de l'existence ? Difficile de se dérober à cette question vertigineuse. Les réponses possibles sont légion : le sens de la vie, c'est se connaître soi-même, trouver le bonheur, aimer (Dieu, son prochain), faire des enfants, posséder une Rolex avant d'atteindre 50 ans…
Le pétrole est chauffé à 350-400 °C, à pression normale, dans une tour de 60 mètres de haut – que l'on appelle aussi « topping ». Une réaction chimique se produit : les vapeurs de brut remontent dans la tour, les résidus lourds restent à la base.
Au sens courant, la liberté est perçue comme l'absence de contrainte qui accompagnerait « la conscience d'un pouvoir indéterminé et la capacité d'un commencement absolu », qui s'exprime plus vulgairement dans l'expression « de pouvoir faire tout ce que l'on désire ».
« Le désir est l'essence même de l'homme » – Spinoza.
Essence : les nouveaux noms des SP95, SP98, SP95-E10 et super-éthanol. Tous les carburants de type essence sont dorénavant marqués par la lettre « E » à l'intérieur d'un cercle. Y est accolé un chiffre qui désigne la teneur maximale autorisée en biocarburants qui lui est associée.
Le désir semble contradictoire. D'une part il traduit la puissance d'exister d'un être qui enchante par son dynamisme sa vie et le réel et produit grâce à lui une réalité aux couleurs de ses rêves ; d'autre part il confronte l'homme à l'impuissance et au désespoir du désir insatisfait.
Risquons une distinction : le désir est riche de son vide quand la volonté est remplie d'elle-même. Le désir aime la complexité du réel quand la volonté ne veut que le forcer. La résistance du réel intéresse le désir quand elle rend folle la volonté.
Emprunté du latin essentia, « nature d'une chose », dérivé du verbe esse, « être ». ☆1. Ce qui fait qu'une chose est ce qu'elle est, ce qui constitue la nature profonde d'un être.