Pathologie fréquente, parfois lourde de conséquences fonctionnelles, le décollement épiphysaire est la séparation brutale post-traumatique d'une épiphyse de son attache métaphysaire au niveau du cartilage de croissance.
Les fractures diaphysaires sont les plus fréquentes et le plus souvent bénignes. Le membre supérieur est deux fois plus atteint que le membre inférieur. Le radius et le tibia sont les os les plus atteints. Les formes complètes sont analogues à celle de l'adulte (trait de fracture spiroïdal, transverse, oblique).
Les cartilages de croissance (signalés par les lignes roses) sont des zones de cartilage aux extrémités des os longs, tels que les os des bras et des jambes. Ils permettent aux os de s'allonger jusqu'à ce que les enfants atteignent leur taille définitive.
On parle de lésion cartilagineuse lorsqu'à la suite d'un traumatisme, le cartilage s'amincit, se creuse, se fissure, s'use ou se déchire. Dans certains cas, le cartilage peut perdre totalement son épaisseur. On parle alors d'une rupture du cartilage articulaire, ou d'une partie de celui-ci.
Fracture épiphysaire totale. C'est une lésion qui s'approche de la fracture supracondylienne et son traitement est similaire. Le mécanisme est souvent peu clair et le diagnostic tardif ! L'interprétation radiologique est particulièrement difficile chez le nourrisson.
Les fractures ouvertes : l'os brisé traverse la peau et est apparent. Les fractures de fatigue : l'os se brise après de petits chocs qui se répètent sur une longue durée. Les fractures de compression : lorsque le membre touché est « écrasé. » Les fractures en « bois vert » : présentes chez les jeunes enfants.
Le remodelage osseux se fait plus rapidement chez les enfants que chez les adultes. Cela signifie que l'os fracturé d'un enfant peut ne pas devoir être redressé parfaitement. Pendant sa guérison, l'os se redresse par le remodelage. En fait, plus l'enfant est jeune, mieux les os vont se redresser.
Les fractures ouvertes sont les plus graves sur le plan clinique, puisqu'elles sont associées à des plaies ouvertes souvent contaminées par des saletés et des débris et, de ce fait, sensibles à l'infection.
Mais, déformation ou non, après une fracture, l'os est aussi solide qu'avant!
Une fracture de fatigue se manifeste par une douleur progressive, vive et localisée. Elle s'accentue lors des mouvements, puis s'atténue au repos. Lors de fractures de fatigue impliquant les métatarses (les plus courantes), les douleurs surviennent souvent après l'arrêt de longs exercices intensifs.
Les fractures sont généralement dues à des blessures ou à une sollicitation trop importante. La partie lésée fait mal (tout spécialement lorsqu'elle est sollicitée), est généralement enflée et peut présenter une ecchymose ou paraître déformée, tordue ou déplacée.
– des protéines comme les poissons gras, la volaille, les œufs, les amandes, le tofu ou les légumineuses ; – des fruits et légumes frais et bio ; – des aliments ayant une forte teneur en calcium, magnésium, phosphore, manganèse et vitamine K (choux, épinards, salades).
Consolidation : quel temps de guérison après une fracture du pied ? Pour une guérison complète de l'os du pied, il faut compter environ 3 mois. Cependant, le patient pourra recommencer à marcher avec prudence au bout d'un mois et demi.
L'épiphyse désigne l'extrémité des os longs, constituée de tissu spongieux. Le reste des os est composé de la diaphyse au centre et de la métaphyse dans sa partie intermédiaire.
Partie de l'os comprise entre son milieu (diaphyse) et son extrémité (épiphyse).
Membrane fibreuse blanchâtre gainant l'os, à l'exception de ses surfaces articulaires. (P.N.A. periosteum.) Le périoste joue un rôle essentiel dans la vascularisation et la croissance de l'os, notamment en épaisseur ; c'est à partir de lui que se constituent les cals osseux lors de la consolidation des fractures.
1) Le citron. Malgré son acidité, il se transforme en aliment alcalin (c'est-à-dire non acide) quand il est métabolisé par notre organisme. De ce fait, il devient un aliment bon pour la minéralisation de nos os. Qui plus est, il est très riche en vitamine C et favorise ainsi la bonne absorption du calcium par les os.
Il apparaît qu'une consommation modérée de café (jusqu'à 3 ou 4 tasses quotidiennes) n'a pas d'impact sur le risque de fracture ostéoporotique. Pour une consommation supérieure à 4 tasses par jour, le risque est diminué lorsqu'il est associé à une prise suffisante de calcium.
Comme par exemple : l'orange, riche en vitamine C, en potassium, et en calcium. Parmi les fruits les plus riches en calcium on trouve aussi la figue, la prune, la rhubarbe, et les abricots secs. Ces fruits, riches en minéraux, permettent de lutter contre la déminéralisation des os !
Les fractures étant la conjonction d'une fragilité osseuse et d'une chute, de bons muscles autour des os sont précieux pour assurer une bonne stabilité. D'où l'intérêt de l'énergie apportée par les protéines d'origine animale (viande, poisson, oeufs, laitages) ou végétale (légumes secs, céréales, soja…).
17*10^7 N/m^2. De quelle hauteur peut sauter une personne de 60 kg sans se briser le tibia de section transverse 3*10^-4 m^2? En plus on suppose que le centre de masse se déplace de 0,6m pour amortir la chute.
Les chaussures de protection
Les patients souffrant de fractures de fatigue au pied ou à la cheville peuvent avoir besoin de porter des chaussures orthopédiques spéciales pendant la période de repos, en vue de réduire les tensions dues aux chocs pendant les activités quotidiennes de la vie.
Dans le cas d'une fracture de fatigue, l'intensité et/ou la régularité de l'activité physique augmente de manière trop soudaine : les os sont soumis à une force inhabituelle et n'ont plus le temps de se remodeler. C'est pourquoi on conseille de reprendre l'activité physique progressivement.