Dans le domaine de la psychiatrie, on entend par fou un malade mental, c'est-à-dire une personne atteinte de troubles mentaux. Ce n'est néanmoins pas un terme scientifique, mais une dénomination utilisée par le grand public. Voyez Folie. Dans le langage courant, un fou est une personne idiote, stupide ou imbécile.
Les symptômes sont notamment les suivants : idées délirantes récurrentes, hallucinations, pensée désorganisée, comportement très désorganisé ou agitation extrême.
Toutes ces études laissent penser que la schizophrénie, mais aussi les troubles bipolaires, sont à l'origine d'un risque accru de violence et que la consommation d'alcool ou de drogue multiplie ce risque dans un facteur très significatif.
Devenir fou, c'est perdre le contrôle, se sentir débordé par une forte inquiétude pour les siens, pour soi-même à ne plus en dormir. L'important c'est d'arrêter la machine à temps.
Non. Chaque maladie – physique ou mentale – laisse des traces dans l'organisme. Mais elle a parfois des conséquences positives. Le terme de guérison est toujours difficile à définir dans la mesure où l'idéal qu'il représente n'est que rarement, voire jamais, atteint.
La dépression sévère avec symptômes psychotiques : les personnes atteintes de dépression psychotique souffrent de symptômes psychotiques (hallucinations et/ou délires). La plupart du temps, une dépression sévère ordinaire est sans symptômes psychotiques.
Les symptômes les plus connus sont le repli sur soi, l'incapacité d'agir, les sautes d'humeur, un comportement désorganisé, des problèmes de concentration, des mouvements répétitifs, des difficultés à tenir une conversation.
La folie peut être passagère ou chronique, latente ou foudroyante, héréditaire ou provoquée. Elle peut être l'expression d'une démesure comme « la folie des grandeurs », ou un simple penchant, comme « la folie douce ». Elle peut être « guerrière » ou qualifier un sentiment aussi fort que « l'amour fou ».
Folies à étiologie connue : traumatique avec blessure matérielle, traumatique psychique. Après un traumatisme crânien grave, avec lésions du cerveau, il n'est pas rare qu'apparaissent des changements de caractère, des incapacités professionnelles, éventuellement associés à divers syndromes neurologiques.
Il est préférable de parler de faits concrets pour décrire les événements plutôt que d'attribuer des caractéristiques définitives à l'interlocuteur ou au monde, ce qui l'enferme mentalement dans une case. Et surtout, ne jamais prendre personnellement ce que la personne pourrait nous reprocher.
Maniaques du contrôle selon leur entourage, parfois appelées control freaks, elles sont décrites par des termes comme « rigidité, froideur, intransigeance, critique inlassable ». Avec elles, il est souvent difficile de garder patience au fil des ans.
Ainsi, par rapport à la population générale, l'espérance de vie des personnes vivant avec des troubles psychiques est écourtée de 10 à 20 ans et leur taux de mortalité4 est trois à cinq fois supérieur3 (OMS, 2015).
Les traitements psychothérapeutiques comprennent la psychothérapie (individuelle, de groupe ou familiale, ainsi que de couple), les techniques de thérapie comportementale (telles que la relaxation ou la thérapie d'exposition) et l'hypnothérapie.
La peur de devenir fou est parfois la raison-même qui mène au premier rendez-vous avec le psychologue. Il s'agit souvent d'une grosse inquiétude, qui provient généralement de pensées intrusives automatiques et incontrôlables, qui sont souvent à caractère agressif (faire du mal à quelqu'un, à un enfant, à soi-même).
Hegel insiste en outre sur le fait que chez le fou demeure une vitalité de la conscience [36], si bien que le traitement psychique visant à guérir le dérangement de son esprit est possible.
Le schizophrène peut paraître insensible, froid, distant, dépourvu d'émotions. Sa capacité à exprimer ses sentiments est fortement diminuée. Il rechigne à s'engager dans une conversation. En réalité, il est souvent en proie à des émotions intenses et à des pulsions contradictoires.
Les personnes atteintes ont deux ou plusieurs identités et des trous de mémoire sur les événements de tous les jours, les informations personnelles importantes et les événements traumatiques ou stressants, ainsi que beaucoup d'autres symptômes, y compris la dépression et l'anxiété.
FOLIE1, subst. fém. 1. Trouble du comportement et/ou de l'esprit, considéré comme l'effet d'une maladie altérant les facultés mentales du sujet.
Si possible, proposez-lui plusieurs moyens de l'aider pour lui donner le sentiment de maîtriser la situation. Transmettez-lui un message d'espoir en lui disant qu'on peut l'aider et que les choses peuvent aller mieux. Si la personne refuse de discuter avec vous, ne l'obligez pas à se confier.
Il est nécessaire, chaque fois, de partir de ses intuitions, de ses sensations et de ses perceptions. Ce qui veut dire que pour telle personne telle situation est folle et qu'elle refuse de la vivre, alors que quelqu'un d'autre ne la considèrera pas de la même façon ou s'en accommodera plus ou moins.
Les antidépresseurs considérés comme étant les plus dangereux sont l'agomélatine, le citalopram et l'escitalopram (Seropram, Celexa, Seroplex…). Ils risquent de déclencher des hépatites, des pancréatites et d'augmenter l'agressivité du patient.
Burn-out. Le burn-out se manifeste par un épuisement physique et émotionnel. La plupart du temps, il est déclenché par un stress chronique subi sur une longue durée, par exemple au travail, en raison d'une maladie ou de problèmes familiaux. Le burn-out est considéré comme un facteur de risque pour la dépression.
En mai 2020, 13,5 % des personnes âgées de 15 ans ou plus vivant en France1 déclarent des symptômes évocateurs d'un état dépressif, une proportion en hausse de 2,5 points par rapport à 2019. L'augmentation est plus marquée chez les femmes et les moins de 44 ans, et tout particulièrement chez les 15-24 ans.