En mathématiques, une équation du second degré, ou équation quadratique, est une équation polynomiale de degré 2, c'est-à-dire qu'elle peut s'écrire sous la forme :
Une fonction polynôme du second degré est une fonction définie sur R dont une expression est de la forme ax2+bx+c, où a, b et c sont des réels tels que a=0.
Un polynôme du second degré P(x) = ax² + bx + c admet au plus deux racines. Le nombre exact de ses racines est déterminé par le signe d'un expression notée Δ qu'on appelle le discriminant. Δ = b² - 4ac. Pour tout x appartenant à ]-∞ ; x1[ ∪]x2 ; +∞[, P(x) est de même signe que le coefficient a.
Fonction polynôme du second degré :
Une fonction polynôme de degré 2 est une fonction définie sur R dont l'expression algébrique peut être mise sous la forme : f ( x ) = a x 2 + b x + c f(x)=ax^2+bx+c f(x)=ax2+bx+c, avec a ≠ 0 a\neq0 a=0.
Si a≠0 alors le monôme ax2 est présent. Si a≠0 alors nous avons une fonction polynôme de degré 2. Si a=0 et b≠0 nous avons affaire à une fonction polynôme de degré 1, que l'on appelle une fonction affine.
Polynôme : qu'est-ce que c'est ? Somme d'expressions algébriques formées par des termes où figurent une ou plusieurs variables. Exemple : 3X3 + 56X2 + 2 est un polynôme de la variable X.
Une fonction (polynôme) de degré 3 est une fonction qui peut s'écrire sous la forme f(x) = ax3 + bx² + cx + d avec a un réel non nul, b, c et d trois réels. La fonction f définie par f(x) = –2x3 + 3x² – 5x + 1 est une fonction du troisième degré. On identifie les coefficients : a = –2 ; b = 3 ; c = –5 ; d = 1.
En algèbre commutative, le degré d'un polynôme (en une ou plusieurs indéterminées) est le degré le plus élevé de ses termes lorsque le polynôme est exprimé sous sa forme canonique constituée d'une somme de monômes. Le degré d'un terme est la somme des exposants des indéterminées qui y apparaissent.
En mathématiques, une racine d'un polynôme P(X) est une valeur α telle que P(α) = 0. C'est donc une solution de l'équation polynomiale P(x) = 0 d'inconnue x, ou encore, un zéro de la fonction polynomiale associée. Par exemple, les racines de X2 – X sont 0 et 1.
Exemple : L'équation 3x2 − 6x − 2 = 0 est une équation du second degré. Définition : On appelle discriminant du trinôme ax2 + bx + c , le nombre réel, noté A, égal à b2 − 4ac . Exemple : Le discriminant de l'équation 3x2 − 6x − 2 = 0 est : ∆ = (-6)2 – 4 x 3 x (-2) = 36 + 24 = 60. En effet, a = 3, b = -6 et c = -2.
Pour résoudre une équation du second degré de la forme ax^2+bx+c=0, on détermine les éventuelles racines du trinôme. Le nombre appelé discriminant du trinôme est particulièrement utile dans la recherche des solutions d'une équation du second degré.
Pour cela, dans le cas général, il faut d'abord calculer le discriminant Δ (delta), donné par la formule : Δ = b² - 4ac.
Le discriminant est strictement positif, donc le trinôme admet deux racines réelles qui sont en fait les solutions de l'équa- tion : Calcul des solutions : x1 = −b− √∆ 2a = −2− √16 2·1 = −2−4 2 = −3 x2 = −b+ √∆ 2a = −2+ √16 2·1 = −2+4 2 = 1. L'ensemble solution est donc S = {−3;1}.
L'expression « second degré » apparait dans divers domaines pour qualifier le fait de se situer dans une deuxième étape d'une gradation, notamment par opposition au premier degré. Dans l'enseignement français, le second degré correspond à la scolarité en collège et lycée - avant l'enseignement supérieur.
Une fonction quadratique est une fonction de la forme f(x) = ax2 + bx + c où a, b, c ∈ R et a ≠ 0. Cette fonction est aussi dite fonction polynomiale du second degré. La représentation graphique d'une telle fonction est une parabole.
Un polynôme nul est un polynôme dont tous les coefficients sont nuls, y compris le coefficient constant.
Définition : Discriminant d'une équation du second degré Si Δ est strictement positif, alors il y a deux solutions réelles à l'équation du second degré. Si Δ = 0 , alors il y a une solution réelle (répétée). Et si Δ est strictement négatif, alors il n'y a pas de solutions réelles.
3,14159265358979323846264338327950288419716939937510582. Dans la pratique, on utilise 3,14 mais il est souvent aisé de retenir 22 septièmes ou racine de 10 pour valeur approchée de Pi. Les décimales de Pi ont été la proie des savants depuis près de 4000 ans.
Les polynômes sont des expressions algébriques contenant un ou plusieurs termes. Un polynôme est en fait la somme ou la différence algébrique de plusieurs monômes. On utilise couramment le mot « polynôme » pour désigner les expressions contenant plusieurs termes. Ces termes peuvent être constants ou algébriques.
Pour déterminer la valeur d'un angle, il faut prendre l'arc-tangente de la hauteur divisée par la largeur, le tout multiplié par 180/π pour obtenir la valeur en degré.
Comment calculer une racine d'un polynôme ? Le principe général de calcul de racine est d'évaluer les solutions de l'équation polynome = 0 en fonction de la variable étudiée (où la courbe croise l'axe y=0 zéro). Le calcul de racines de polynôme passe généralement par le calcul de son discriminant.
On regarde la puissance de x la plus grande. C'est x4, donc le degré de P est 4. Montrer que x = -1 est une racine de ce polynôme. Il suffit de remplacer x par -1 dans P et si on trouve 0 c'est que -1 est racine de ce polynôme.
Si l'équation est donnée, comme souvent eu égard, historiquement, à Cardan, sous la forme x3 = px + q, il faut alors changer p et q en -p et -q et la formule devient alors : Cette formule, dite de Cardan, résout l'équation du troisième degré lorsque p et q sont des entiers positifs (forme primitive du problème).
Si le discriminant est strictement négatif, il n'a pas de racine carrée réelle et donc l'équation n'admet pas de solution réelle.
Soient f et g deux fonctions polynômes de degré inférieur ou égal à 2. et g(x) = a'x2 + b'x + c'-où a, b, c, a', b' et c' sont des nombres réels. Commençons par vérifier que si les deux fonctions f et g ont le même degré et les mêmes coefficients, alors elles sont égales. donc f = g .