De sorte que dans le dernier tiers du XVe siècle, le gobelet est la forme du verre à boire la plus répandue à l'échelle de l'Europe. Récipient en pierre ollaire en chloritoschiste provenant du val d'Aost (Italie), découvert à Pratz.
Une hypothèse (non attestée, ne trouvant crédit dans aucun écrit médiéval) suggère que trinquer au Moyen Âge permettait d'échanger un peu du breuvage des deux verres, et donc d'en boire le contenu sans craindre que votre convive vienne de l'empoisonner. Au Moyen Âge, trinquer était en effet un signe de confiance.
Ecuelles, assiettes, bols et petits plats constituent les éléments de vaisselle les plus communs au Moyen-âge. Bien que peu retrouvée car mal conservée, la vaisselle est souvent en bois, mais aussi en terre ou faïence, parfois en étain ou en verre.
L'ancêtre du verre à vin actuel voit le jour dans l'empire égyptien environ 3000 ans av JC. Cependant, celui-ci n'était pas encore confectionné avec le matériau en verre que nous connaissons bien.
Le verre est appelé gobelet s'il n'a pas de pied, « forme haute » s'il est plus haut que large, « forme basse » s'il est plus large que haut.
Le calice : c'est le corps du verre appelé aussi bol, gobelet ou ballon. Un calice destiné au vin rouge est plus volumineux que celui conçu pour un vin blanc.
Le plus souvent, il y avait deux repas par jour. Le dîner se prenait entre 10 heures et 11 heures. Le souper se prenait entre 16 heures et 19 heures et correspondait à notre dîner d'aujourd'hui.
L'alimentation des paysans est surtout constituée de céréales (seigle et avoine) sous forme de pain, de bouillie ou de pâtes, de soupe de légumes, de féculents, de fromage et de vin. Les élites mangent du pain blanc, de nombreuses viandes issues de la chasse ou d'animaux domestiqués, du poisson, des fruits, du fromage.
Un troubadour (de l'occitan trobador : « trouveur », « trouveuse » au féminin) est un compositeur, poète, et musicien médiéval de langue d'oc qui interprétait ou faisait interpréter ses œuvres poétiques par des jongleurs ou des ménestrels.
Expression chinoise à l'origine, «qing qing» (prononcer «tchin-tchin»), pouvant se traduire par «je vous en prie», était une formule utilisée pour inviter quelqu'un à boire. L'expression, d'après le CNRTL, proviendrait de «tsing tsing» qui signifie «salut» en pidgin de la région de Canton, en Chine.
Il s'agit alors de formuler un vœu, un souhait, un engagement, un accord ou un hommage. Cette tradition remonte au moins au Moyen Âge, voire à l'antiquité. La superstition veut que l'on regarde la personne avec qui l'on trinque dans les yeux.
Bien que le mot « toast » renvoie à l'anglais, l'expression trouve son origine en France . En effet, la coutume remonte aux XVII-XVIIIe siècles : en Ancien Français, le mot « toste » se rapportait à une tranche de pain grillée plongée dans du vin que l'on buvait au moment de célébrer quelqu'un.
Une trobairitz, forme féminine de troubadour en langue d'oc, est une poétesse et compositrice d'expression occitane ayant vécu dans le sud de la France aux XII e et XIII e siècles. En langue d'oïl (français du nord), c'est une trouveresse.
Les termes troubadours et trouvères (du provençal trobar : trouver) signifient : 'inventeurs du texte et de la mélodie' (poètes-musiciens). Ils diffèrent par le dialecte. La Loire forme frontière linguistique. Au sud règne la langue d'oc des troubadours, au nord c'est le domaine de la langue d'oïl des trouvères » [1]
Les troubadours du Moyen Âge sont connus pour leur maîtrise de la poésie et leur mise en scène de la musique. Véritables artistes médiévaux, les troubadours sont apparus vers l'an 1000 de notre ère.
regardait en mangeant des beignets ou des gâteaux salés Page 2 Les paysans mangeaient surtout du pain, des fromages, des légumes et des fruits cultivés ou cueillis en forêt (pommes, prunes, poires, mûres, framboises, fraises).
Les fruits courants au sud étaient les citrons, les cédrats, les oranges amères (la variété douce ne fut introduite que plusieurs siècles après), les grenades, les coings et, bien sûr, le raisin. Plus au nord, on trouvait facilement des pommes, des poires, des prunes et des fraises.
BOIRE Au Moyen Âge, on consomme différentes boissons de l'eau à la bière en passant par le vin, la cervoise, le cidre, l'hydromel et tant d'autres. Les boissons diffèrent selon les régions du monde, les revenus et la disponibilité des ingrédients.
Ils sont à l'origine de nombreux fromages dont les appellations nous sont encore familières : le Pont-l'Evêque, le Maroilles, le Munster, La Tête de Moine, le Citeaux, le Herve ou encore le Limbourg.
En Europe occidentale, le banquet au Moyen Âge est une occasion festive. On organisait par exemple un banquet pour un mariage, pour le retour de la chasse, mais aussi pour un événement religieux ou parfois même pour récompenser certains paysans en fin d'année.
Le peuple se nourrit en général de blé sous forme de pain, de galettes (notamment de sarrasin comme en Bretagne), de bouillie également, de légumes secs, de légumineuses (complémentaires pour leur apport en protéines), des légumes du potager, quelquefois de la viande, du poisson (les jours où l'Église interdit la ...
Un «shot» qui vient de loin. C'est au Far West, au XIXe siècle, qu'a été utilisé pour la première fois ce terme pour désigner un petit verre d'alcool fort à boire d'une traite. Cette pratique était liée à une habitude des cow-boys peu fortunés, qui se rendaient dans les saloons à cette époque.
L'amour courtois n'est ni libertinage, ni passion brutale, il est presque une ascèse pour le chevalier, qui doit, pour mériter la femme qu'il aime, se soumettre entièrement à elle. La dame est suzeraine, le chevalier est son vassal.