Un hémistiche est proprement la moitié d'un vers à césure. On peut aussi désigner la position médiane d'un vers comme étant à l'hémistiche : ainsi, une coupe à l'hémistiche signifie que la coupe se trouve au milieu du vers. On parle alors du premier hémistiche et du deuxième hémistiche d'un vers.
L'hémistiche représente la moitié du vers. On l'utilise surtout dans le cas de l'alexandrin (vers de douze syllabes), où il se trouve après la sixième syllabe. - L'hémistiche se trouve immédiatement après écoutais, ais étant la 6e syllabe.
- une strophe de 2 vers s'appelle un distique - une strophe de 3 vers s'appelle un tercet - une strophe de 4 vers s'appelle un quatrain - une strophe de 5 vers s'appelle un quintil - une strophe de 6 vers s'appelle un sizain - une strophe de 8 vers s'appelle un huitain - une strophe de 10 vers s'appelle un dizain → Un ...
Groupement des vers
Dans les genres lyriques, on appellera strophe un bloc de vers. Souvent de longueur fixe, la strophe peut se caractériser par un arrangement particulier de ses rimes. Traditionnellement, on groupe les vers du sonnet en deux quatrains et deux tercets.
Un hémistiche est proprement la moitié d'un vers à césure. On peut aussi désigner la position médiane d'un vers comme étant à l'hémistiche : ainsi, une coupe à l'hémistiche signifie que la coupe se trouve au milieu du vers.
Le découpage du vers
Dans un vers, on ne compte le -e final muet que si le mot suivant commence par une consonne. En fin de vers ou devant une voyelle, on ne compte jamais le -e muet.
On sépare les syllabes entre une voyelle et une consonne. Lorsque trois consonnes se suivent et sont différentes, on sépare après la deuxième consonne. On ne sépare jamais les groupes qui forment un seul son comme « ch », « ph », « th », « gn », « cr », « br » etc.
Le vers de deux syllabes est appelé dissyllabe, celui de quatre tétrasyllabe.
Important! Le sonnet doit respecter plusieurs règles strictes : Il doit être composé de 14 vers. Il doit contenir deux quatrains (strophe de quatre vers) suivis de deux tercets (strophe de trois vers), entièrement formés d'alexandrins (vers de douze syllabes).
On appelle monostiche une strophe se composant d'un seul vers et ainsi de suite une strophe qui a deux vers, on l'appelle distique. Il est utile d'avoir certains exemples sauf que je n'ai pas trouvé le monostiche que dans le Wikipédia. Par contre, les autres strophes se trouvent partout dans la composition poétique.
HÉMISTICHE, subst. masc. Moitié d'un vers alexandrin réparti en deux mesures rythmiques de chaque côté de la césure.
Limite rythmique à l'intérieur d'un vers, théoriquement suivie d'un repos. (La césure coupe le vers alexandrin en deux hémistiches : « Rien n'est beau que le vrai, le vrai seul est aimable.
Les vers de 1 à 12 syllabes sont appelés : monosyllabe, dissyllabe, trisyllabe, tétrasyllabe (ou quadrisyllabe), pentasyllabe, hexasyllabe, heptasyllabe, octosyllabe, ennéasyllabe, décasyllabe, hendécasyllabe, alexandrin (ou dodécasyllabe).
alexandrin
(du Roman d'Alexandre, XIIes.) Vers français de douze syllabes. (Par exemple On a souvent besoin d'un plus petit que soi.)
Les deux hémistiches s'articulent à la césure, qui est le lieu de contraintes spécifiques. Les métriciens du XIX e siècle ont cru pouvoir identifier deux formes d'alexandrin : le tétramètre, ou alexandrin classique, et le trimètre, forme particulière popularisée à l'époque romantique.
L'alexandrin peut être considéré comme la concaténation de deux segments indépendants de six « syllabes » (définies selon les lois métriques). La césure centrale fixe, précédée d'une voyelle accentuée, séparant les deux hémistiches, est soumise à une stricte réglementation.
dès 1130-1145 ds la Canso d'Antiocha, le nom d'alexandrin est issu du Roman d'Alexandre, car c'est le seul ouvrage où le dodécasyllabe s'emploie avec des rimes plates, les alexandrins rimant deux par deux [dans les chansons de geste les alexandrins sont groupés en laisses, dans les poèmes relig.
Les différents types de vers
Le vers est caractérisé par le nombre de syllabes qu'il comporte. Les trois grands types de vers les plus utilisés dans la poésie française sont: -L'alexandrin: vers de douze syllabes, le plus employé depuis le milieu du 16ème siècle.
Prononciation en deux syllabes d'une séquence qui comporte deux sons formant habituellement une seule syllabe (par exemple « nuage » [nɥaʒ] prononcé [nyaʒ]). [En versification française, la diérèse est de règle lorsque le i est précédé de deux consonnes, dont la seconde est r ou l.
Un décasyllabe est un vers de dix syllabes.
La césure ne peut avoir lieu qu'à la demande de l'étudiant1 auprès de son établissement d'inscription d'origine et sous réserve de l'accord de celui-ci. Pendant la période de césure, l'étudiant est inscrit administrativement dans son établissement mais il n'est pas inscrit pédagogiquement dans un cursus de formation.
Un hémistiche est proprement la moitié d'un vers à césure. On peut aussi désigner la position médiane d'un vers comme étant à l'hémistiche : ainsi, une coupe à l'hémistiche signifie que la coupe se trouve au milieu du vers.
L'acrostiche est un texte poétique dont les premières lettres de chaque vers forment un mot lorsqu'on les lit à la verticale. Ce mot peut être le sujet du poème, le nom de l'auteur ou encore de la personne à laquelle il est destiné.
Quelques vers (| séparation entre les pieds ; || césure) : L'hendécasyllabe : ses pieds 2-3-4 sont stables (dactyle puis deux iambes). Le pied 1 est un iambe, un spondée ou un trochée. Le pied 5 est un iambe ou un trochée.