Le français québécois, aussi appelé français du Québec, est la variété de la langue française parlée essentiellement par les francophones du Québec.
Chez les francophones hors Québec, le terme « Canadiens français » est parfois utilisé, dans un contexte contemporain, pour faire référence à tous les Canadiens francophones, se confondant ainsi avec l'expression « Franco-Canadiens ».
En gros, les Québécois trouvent les hommes français simultanément machos, galants, romantiques et volages. Ils ont moins d'idées préconçues sur les Françaises, sauf qu'ils sont déçus qu'elles ne ressemblent pas plus à Amélie Poulain.
les Canadiens et les Canadiennes.
Le français est une langue indo-européenne de la famille des langues romanes dont les locuteurs sont appelés francophones, également surnommé la langue de Molière.
Les Français sont arrogants...
C'est la perception la plus répandue chez les Québécois. A leurs yeux, les Français transforment la moindre conversation en joute verbale, critiquent tout, comparent toujours avec l'Hexagone, sont prompts à s'énerver pour rien, se disputent en public...
La raison principale pour laquelle les Québécois parlent de moins en moins le français est la qualité inacceptable de la version de cette langue qui est pratiquée au Québec. On ne parle pas ici de la langue d'une petite élite cultivée.
Nous utilisons aussi les termes copain, petit ami ou amoureux comme synonymes de Jules. Toutefois, il faut aussi savoir que certaines personnes mariées, surtout les plus jeunes, parlent de leur conjoint en disant « mon chum » ou « ma blonde ».
Foufoune = fesse
Pourquoi pas, mais outre-Atlantique les « foufounes » ce sont les fesses. Et si vous entendez parler d'« une paire de boules », ce sont les seins.
Français canadien : je t'adore (pour dire je t'aime). Français canadien : je t'aime (pour dire je t'aime bien). Féroïen : eg elski teg.
Voici quelques comportements à bannir dès que vous franchissez le sol canadien. Première règle à respecter : évitez de fumer ou de boire de l'alcool dans un lieu public comme dans la rue, à la terrasse d'un restaurant ou d'un café ou encore dans un parc.
Un héritage de l'ancien Français
Au XVIIIème siècle, les habitants de la Nouvelle-France, ancienne colonie française d'Amérique du Nord, parlaient le même Français que les habitants de Paris. Il s'agit à l'époque d'un français populaire qui se distingue toutefois du dialecte de la Cour, sans en être très éloigné.
Bisoune : Désigne un sexe masculin, un pénis. Généralement, c'est une expression un peu infantile.
Tu : en québécois, le "tu" est le pronom de la deuxième personne du singulier, comme dans le français académique. Mais parfois, le mot tu est utilisé pour signifier que l'on pose une question, il est donc signe d'interrogation. Il peut donc y avoir deux "tu" dans la même question.
Tabarnak : C'est un juron québécois, en référence au tabernacle d'église. Dans l'église catholique, le tabernacle est le meuble qui abrite le ciboire contenant les hosties. Ce mot à été déformé en français canadiens, pour devenir un sacre ( un juron ) familier : tabarnak.
Amis visiteurs de passage au Québec, rassurez-vous tout de suite : le mot char est simplement le terme le plus couramment utilisé pour désigner une voiture. Il tire son origine du vieux français, il est de la même famille que le char à voile, la charrette ou la charrue.
2 — Chum. Le mot chum a plusieurs sens, ce qui le rend assez difficile à comprendre pour les non-initiés. En effet, un chum peut être un amoureux (un jules), un conjoint de fait, un mari, un ami ou un camarade. Julie explique que c'est en sortant avec ses chums de filles qu'elle a rencontré son nouveau chum.
Les Québécois te répondront "oui" ou bien "yes sir".
Un schmoutz, par exemple, désigne un «bisou» alsacien, un «bec» canadien. Mais d'où vient donc ce mot?
en Europe : France et Monaco. en Afrique : Bénin, Burkina Faso, République démocratique du Congo (RDC), Congo, Côte d'Ivoire, Gabon, Guinée, Mali, Niger, Sénégal et Togo.
Les Québécois supportent peu les incursions dans leur intimité, et il est mal vu de leur poser des questions personnelles (par exemple « où avez-vous acheté votre casserole ? »), car ce qui est pour nous un signe de politesse leur paraît le début de la drague ou d'une psychanalyse.