Aux Antilles françaises, un béké est un blanc
Les Blancs créoles sont les descendants des premiers colons. Ils sont couramment appelés « Békés ». Cette appellation peut être ressentie comme péjorative [10]. Cependant, mes informateurs blancs créoles se désignent eux-mêmes comme « Békés ».
Les Arawaks, premiers habitants de l'île
S'il est difficile de dater précisément le début de la présence humaine sur l'île, l'arrivée des Arawaks en Martinique remonterait à environ un siècle avant notre ère, soit plus de 2000 ans en arrière.
L'histoire de la Guadeloupe (appartenant à l'ensemble insulaire des Antilles dans la mer des Caraïbes) est marquée par la déportation massive, à partir des années 1670, d'esclaves noirs ouest-africains, ancêtres de la majorité de la population actuelle.
Il se pourrait également être de la langue Manjack parlée en Guinée Bissau, « Béké » signifie « Ces gens-là », c'est lorsque l'on parle des personnes que l'on méprise, en qui on n'a pas confiance, que l'on trouve différents..., cela a un sens péjoratif, comme en français.
Aux Antilles françaises, un béké est un blanc créole descendant des premiers colons. Ce terme concerne principalement les descendants originaires de Martinique mais aussi ceux de Guadeloupe. En Martinique, les békés constituent un peu moins d'un pour cent de la population, soit environ 3 000 personnes.
Il loge depuis à l'hôtel. Cette demeure ainsi que la propriété d'Alain Huygues-Despointes sont situées à Cap Est, près du François, dans la partie Est de la Martinique, surnommée «Békéland». C'est là que vivent la plupart des békés, qui représentent entre 1 et 2,5% de la population martiniquaise.
Les « Blancs-Matignon » sont les descendants de ces colons arrivés en Guadeloupe à la fin du XVIIe siècle, dans le sillage de Léonard Matignon, dit « la Creuse », qui ensuite firent souche au nord-est de l'île de Grande-Terre, après la première abolition de l'esclavage, en 1794.
Au moins 3000 ans avant J.C., la Guadeloupe est d'abord peuplée par des populations amérindiennes, comme en témoignent plusieurs découvertes archéologiques. Puis, s'installent dans la région des Indiens Arawaks, peuple pacifique d'agriculteurs et de pêcheurs arrivés du bassin de l'Orénoque (Vénézuela).
L'île s'appelait alors « Karukéra », qui signifie « l'île aux belles eaux » en langue caraïbe. Christophe Colomb aborda la Guadeloupe en novembre 1493. L'île fut baptisée "Guadeloupe" en référence à un monastère d'Estrémadure.
À une quarantaine de kilomètres de Pointe-à-Pitre, dans la région des Grands Fonds, dans la commune du Moule, vivent ceux que l'on appelle les « Blancs-Matignon » en Guadeloupe, et dont l'histoire est unique.
La religion en Martinique
La religion catholique constitue la première communauté martiniquaise mais est loin d'être la seule religion en Martinique. En plus des chrétiens créoles, vous rencontrerez également les hindous, les adventistes, les méthodistes, les baptistes, les témoins de Jéhovah…
Ils l'appelaient Matinino, nom que Colomb traduisit par isla de las mujeres , « l'île aux femmes » et non l'île aux fleurs ainsi que l'affirment l'Encyclopædia Universalis ou la Britannica. Comme Colomb avait, par décret, le monopole des découvertes des nouvelles Indes, il privilégia Matinino à Joanacaera.
Dans les départements, régions et collectivités de la France outre-mer (DROM-COM), le terme Z'oreille (qu'on peut aussi orthographier Zoreilles, Z'oreil ou encore Zorey) désigne un Français métropolitain.
Cependant, il y a des personnes très susceptibles avec certains types de questions. Donc, peut-être que ce que tu as demandé a surpris ou véxé… Il y a aussi une grande habitude de fonctionner à la confiance. Bon parfois, il y a qqs mauvaises surprises, mais la majorité du temps tout va bien…
La Martinique doit son surnom d'« île aux fleurs » aux plantes exotiques de toutes les couleurs qui y sont présentes : un mélange de jaune, d'orangé, de rouge et de rose.
Des îles à l'origine précolombienne
C'étaient majoritairement des peuples d'Indiens, venant pour la plupart d'Amérique centrale et notamment du Venezuela, y compris un peuple de pêcheurs, les Arawaks. Ils vivaient de cultures, principalement de manioc, et de pêche traditionnelle en pirogue.
La colonisation française se fit sous le patronage du cardinal de Richelieu et de la Compagnie des îles d'Amérique. En 1635, des Français, sous le commandement de Liénard de l'Olive et de Jean du Plessis, prennent pied à la Guadeloupe.
La population noire représente 28 pour cent de la population. Ce sont les descendants certes des esclaves noirs mais aussi des « nègres congo » venus suppléer au manque de main-d'œuvre, au 18 siècle, après l'abolition et qui se sont installés en Guadeloupe au terme de leur contrat de 10 ans.
À une quarantaine de kilomètres de Pointe-à-Pitre, dans la région des Grands Fonds, dans la commune du Moule, vivent ceux que l'on appelle les « Blancs-Matignon » en Guadeloupe, et dont l'histoire est unique.
Il donna le nom de Guadeloupe à cette île du fait de la similarité de ses montagnes aux montagnes de la Sierra de Guadalupe en Espagne. Habitée par le peuple Caraïbes, son nom indigène était Turuqueira. L'île fut négligée par les espagnols qui finirent par quitter le territoire en 1604.
Issus de grandes familles békés et de lignées d'entrepreneurs, souvent ancrés dans la grande distribution, ils font fructifier l'héritage familial. 1 Bernard Hayot, l'empereur de la grande distribution. La famille de ce brillant entrepreneur s'est installée sur l'île aux fleurs au XVIIe siècle.
Dans les villes les plus « riches », en Martinique, que sont Case-Pilote et Schoelcher, 20 % de la population vit avec moins de 720 euros par mois…
La côte Caraïbe sud regroupe les villes d'Anses-d'Arlets, les Trois-Îlets et le Diamant. Cette partie de l'île est assez animée, car la zone est très appréciée des visiteurs. On retrouve sur la côte Atlantique sud, la commune de Sainte-Anne, Sainte-Luce, Marin, Le François, Vauclin, Rivière-Pilote, et Saint-Esprit.