Il faut ajouter à cette confrontation binaire des variantes, puisque dans le Nord, on dit "petit pain au chocolat", ou "couque au chocolat", comme en Belgique, alors que dans l'Est et la Suisse romande, on évoque plutôt le "croissant au chocolat", un dérivé de l'allemand "schokoladencroissant".
Le pain au chocolat, aussi appelé chocolatine, couque au chocolat, croissant au chocolat ou encore petit pain et petit pain au chocolat, est une viennoiserie constituée d'une pâte levée feuilletée, identique à celle du croissant, rectangulaire et enroulée sur une ou plusieurs barres de chocolat.
Bon alors, c'est quoi le pain suisse? En fait, c'est une viennoiserie faite de pâte briochée garnie d'une crème pâtissière et de pépites de chocolat. Elle n'a rien de suisse. C'est un produit typiquement français qu'on appelle également suisse, pavé suisse, pepito, brioche suisse ou petit suisse au chocolat.
En Belgique, on emploie plus volontiers le mot « Couque au chocolat », mais « pain au chocolat » est aussi connu, alors que « chocolatine » est très marginal. Au Québec, c'est « chocolatine » qui remporte le match puisqu'il est un terme quasiment officiel outre-atlantique.
Faut-il dire pain au chocolat ou chocolatine ? Le débat sur l'appellation de cette viennoiserie agite la France depuis de nombreuses décennies. D'un côté, les Français du Sud-Ouest pour qui "chocolatine" est le terme correct, de l'autre, le reste du pays, qui opte plutôt pour "pain au chocolat".
Le pain au chocolat, chocolatine, ou même couque au chocolat, est une viennoiserie constituée d'une pâte levée feuilletée - identique à celle du croissant - enroulée autour de deux barres de chocolat.
Pendant de longues années, toute la France parlait alors de “chocolatine”… jusqu'à ce que des pâtissiers s'approprient la recette et remplacent la pâte à brioche par une pâte feuilletée. “Les boulangers qui vendaient cette viennoiserie l'ont rebaptisée pain au chocolat pour qu'un lien soit fait avec leur métier.
Attention, sujet sensible ! Si vous entrez dans une boulangerie toulousaine pour acheter votre traditionnel pain au chocolat, demandez une « chocolatine ». Oui, c'est ainsi que les habitants de la Ville rose (et du Sud-Ouest en général) nomment cette viennoiserie au chocolat.
En Espagne, une variante du pain au chocolat se nomme napoletana. Alors qu'en Amérique Latine et au Mexique, on emploie le terme chocolatine.
Doit-on dire pain au chocolat ou chocolatine ? Le débat fait rage depuis des années. L'Alsace propose quant à elle une autre appellation, petit pain.
Le terme Confédération suisse ne devient courant qu'au XVIII e siècle, où il n'est encore ni officiel ni unique, puisque les appellations Corps helvétique, Magna Liga, Ligues et Helvetia sont également utilisées pour désigner le pays.
C'est le 1er août 1959 que l'association suisse des maîtres boulangers-confiseurs a lancé cette viennoiserie au beurre surmontée d'un petit fanion. D'après l'association, le petit pain du 1er août doit sa naissance à la semaine suisse.
Notre pays possède des qualités qui ont contribué à sa stabilité, à sa cohésion et à sa bonne réputation. La prospérité, la sécurité, la diversité, le progrès et la solidarité sont les cinq qualités qui constituent, depuis 1848, l'essence même de notre pays.
Il faut ajouter à cette confrontation binaire des variantes, puisque dans le Nord, on dit "petit pain au chocolat", ou "couque au chocolat", comme en Belgique, alors que dans l'Est et la Suisse romande, on évoque plutôt le "croissant au chocolat", un dérivé de l'allemand "schokoladencroissant".
Dans une région où le débat entre “pain au chocolat” et “chocolatine” est presque une question d'identité, il est surprenant de constater que seulement 63% des habitants d'Aquitaine utilisent le terme “chocolatine”.
Autre enseignement de ce sondage, la répartition régionale apparait clairement dans le sondage : 63% des Aquitains disent chocolatine, tout comme 47% des Occitans, alors que plus de 90% du reste des Français s'en tiennent à l'appellation pain au chocolat.
En Suisse et dans l'est de la Lorraine, on dit d'ailleurs "escargot" alors qu'en Belgique, on parle davantage de "couque suisse" ou "brioche suisse".
Quant aux adeptes du «pain au chocolat», pas besoin de monter sur vos grand chevaux. Au fond, c'est bien vous qui avez raison. Car si l'on parle alors de «chocolatine», c'est pour évoquer la version qui existe à l'époque, c'est-à-dire à base de brioche, la même que celle d'Auguste Zang.
Les historiens et les pâtissiers tranchent plutôt pour chocolatine, les linguistes estiment eux que les mots croissants et chocolat convenaient mal à la langue occitane et que les habitants du sud-ouest l'ont adapté à une sonorité familière de terminaison ("ina" prononcé "ino").
À Marseille, comme dans une grande partie du pays, le pain au chocolat est roi. Mais attention, dans le sud-ouest, si vous vous y rendez, notre meilleur ami du petit déjeuner se dit "chocolatine".
Dans la guerre linguistique pour nommer la célèbre viennoiserie chocolatée, la chocolatine a conquis le Québec. Surtout utilisée dans le sud-ouest de la France, la variante «chocolatine» domine dans la partie francophone du Canada.
Nom commun. (Par plaisanterie) Pain aux raisins.
Bien qu'il soit un des symboles de l'art de vivre à la française les plus connus, le croissant est originaire de Vienne, la capitale de l'Autriche. En 1683, la ville était assiégée par l'armée ottomane, qui attendait le bon moment pour l'envahir.
Chocolatine ou pain au chocolat
C'est très simple, à l'époque : "Entre l'accent autrichien qui prononce les 'd' comme des 't' et le nôtre, les Parisiens ont appelé la viennoiserie 'chocolatine'." explique Jean Lapoujade. Si on en croit cette explication, il faudrait donc utiliser le mot chocolatine.
Durant le Moyen Âge tardif se forme progressivement l'ancienne Confédération, qui est l'ancêtre de la Suisse que nous connaissons aujourd'hui.